Le Compromis De Bretton Woods

............................................................................... 42 C-3-2 LE RÉGIME DE L’ÉTALON D’OR .................................................................................................... 44 C-3-3 LE SYSTÈME DE BRETON WOODS ................................................................................................ 45 C-4 ORGANISMES SPECIALISES MAROCAINS INTERVENANTS DANS LE COMMERCE INTERNATIONAL ..................................................................

mondialisation repose sur quelques transformations clefs. D'abord, il y eut la libéralisation progressive des marchés à la suite des multiples «rounds» du GATT, puis la libéralisation des devises qui mit fin, en 1971, aux accords de Bretton Woods, enfin la libéralisation des mouvements transfrontaliers de capitaux sous la forme d'investissements de portefeuilles, notamment de la part des investisseurs institutionnels, tels que les fonds de pension et les fonds collectifs de placement. De

largement les flux financiers, les fonds monétaires, la banque mondiale, et puis l’organisation mondiale du commerce. A-     La régulation des flux monétaires et financiers Le fond monétaire international a été créé en 1944 à la conférence de Bretton-Woods et est devenu une institution spécialisée rattachée aux USA en 1947. 1. 1.       Le fonctionnement C’est à l’origine un fonctionnement inégalitaire qui vient d’être réformé, rénové dans le sens d’un certain équilibrage. 1. Un fonctionnement

monétaire formée par le Canada (cas que Mundell privilégie24) satisfait-elle aux conditions de l’optimalité monétaire ? Le choix fait par ce pays au cours des années 1950 de s’affranchir en partie du cadre multilatéral des changes fixes (les règles de Bretton Woods) se justifie-t-il ? Le critère de la mobilité de facteurs ne justifie-t-il pas un autre découpage des frontières monétaires ? Mundell évoque l’hypothèse d’une aire monétaire optimale en Amérique du nord qui diviserait le continent verticalement

période de prospérité les "Trente glorieuses". Les bases de cette croissance sont multiples : La reconstruction de l'Europe et du Japon, aidée par les Etats-Unis, permet de stimuler l’économie. Les monnaies sont stables, encadrées par le système de Bretton Woods dans lequel les monnaies sont indexées sur le dollar. La standardisation et la tayloro-forsdisme se généralisent. Le prix du pétrole est bas et permet de produire avec une énergie peu coûteuse. Le secteur des services se développe. Standardisation

européenne sont issues de décisions politiques des Etats qui négocient entre eux des compromis interétatiques : -La place financière considérable occupée dès le début par la PAC reflète l’acceptation de la RFA de financer la modernisation de l’agriculture de la France et de l’Italie. - En échange, les produits manufacturés allemands ont accès aux deux grands marchés français et italien. - Cette base du compromis franco-allemand demeure jusqu’à aujourd’hui. Dans la décennie 1960, deux crises

Italie) qui se traduit par : - le développement des emplois à temps partiels et temporaires (subis), - une dégradation des conditions d'emploi et de protection sociale (femmes, jeunes, non-qualifiés, immigrés). Le maintien des compromis sociaux tant pour les salariés que pour les chômeurs (Danemark, Pays-Bas, Norvège, France) entraînant : - un développement encadré du temps partiel, - le développement des congés parentaux ou congés formation correctement rémunérés

importante crise monétaire, les réserves américaines en or demeurent intactes, de même que l’agriculture et l’industrie. Les États-Unis possèdent 2/3 du stock d’or mondial et imposent un nouveau système monétaire international à la conférence de Bretton Woods en juillet 1944. Depuis la fin de la guerre froide et le démantèlement de l'Union Soviétique en 1989-1991, les États-Unis sont aujourd'hui la seule superpuissance dans le Monde. Pour le Royaume-Uni, la relation spéciale qu’il entretenait avec

prises soit prises à la majorité). En juillet 1965, la France a décidé de ne plus participer aux institutions européennes (politique de la chaise libre) jusqu’en janvier 1966 où se passe le compromis de Luxembourg : les 6 membres annoncent qu’ils sont d’accord de constater qu’ils ne sont pas d’accord. COMPROMIS DE LUXEMBOURG, les Six annoncent qu’ils sont d’accord de constater qu’ils ne sont pas d’accord sur le fonctionnement. La prise de décision continue à se faire à l’unanimité. La France a donc

états et les peuples. Ce sont les seuls qui ont une vie et une existence propre. Le reste : idéologie, regroupement supranationaux...etc... ne sont pas des concepts opératoires chez le Général, ce ne sont au mieux que des constructions fragiles, des compromis artificiels et momentanés. Cette conception de la primauté de l’etat-nation, que l’histoire a façonné au travers du temps et des épreuves est essentielle chez de Gaulle. Elle explique la méfiance du Général envers toutes les constructions qui s’efforcent