Le Comte Almaviva

Pierre de Thomas Corneille de 1677 ; Le Barbier de Séville ou la Précaution inutile est une comédie en quatre actes de Beaumarchais, représentée pour la première fois le 23 février 1775. C'est le premier volet d'une trilogie intitulée Le roman de la famille Almaviva. La comédie définitive comportera 4 actes et une grande part est réservée à la chanson. Le deuxième volet, Le Mariage de Figaro, est écrit en 1778 et mis à la scène en 1784 seulement. Le troisième, L'Autre Tartuffe ou La Mère coupable, est achevé

Séville », une prodigieuse comédie de l’écrivain révolutionnaire « Beaumarchais » écrite quelques années avant la révolution de 1789. Tout était clair désormais, je regardais ce personnage qui achevait son monologue et qui sans nul doute était le Comte Almaviva, dans une rue de Séville juste sous la fenêtre de la belle Rosine. Ainsi se terminait la scène 1 de l’acte I et je me réjouissais d’avance de rencontrer a nouveau, le grand et l’irremplaçable Figaro qui allait faire son entrée pour cette deuxième

armée entière. Des héros quotidiens dans la comédie La comédie met en scène des personnages qui appartiennent à toutes les classes sociales : des valets (Dorine dans Tartuffe de Molière), des bourgeois (Orgon dans Tartuffe), des nobles (le comte de Almaviva dans le Mariage de Figaro de Beaumarchais). Elle traite de problèmes quotidiens : mariage (Le Mariage de Figaro), argent (l'Avare de Molière), médecine (Le Malade imaginaire de Molière). Des acteurs de chairs et d'os Contrairement au héros

il est traité, il rit, ce qui ne laisse pas d’étonner le comte Almaviva auquel il explique: « je me presse de rire de tout, de peur d’être obligé d’en pleurer », attitude qu’il qualifie de « philosophie d’existence ». Or dans cette scène d’exposition, Beaumarchais nous propose une véritable analyse du comique au théâtre il s’agit en effet, d’une mise en abyme dans laquelle Figaro en racontant sa vie joue son propre rôle devant un Almaviva devenu le spectateur amusé de son valet-acteur. L’auteur nous

Mariage de Figaro Une comédie en cinq actes de Beaumarchais, mise en scène par Christophe Rauck (2008), avec Laurent Stocker (Figaro), Anne Kessler (Suzanne), Michel Enregistrée à la Comédie-Française, cette version, Vuillermoz (le comte Almaviva), orchestrée par le jeune metteur en scène Christophe Elsa Lepoivre (la comtesse), Rauck, renoue avec la modernité du texte de Benjamin Jungers (Chérubin). Captation réalisée par Don Kent, Beaumarchais, où le pouvoir repose sur

société est là où nous vivons nous faisons partie de cette société, elle est constitué de plusieurs classe sociales comme nous pouvons le constater dans. Le mariage de Figaro de Beaumarchais nous avons affaire à une juge (Brid-Oison) à un comte (le comte Almaviva) à un valet dans (Figaro) ces classes sociales. Il y a plusieurs causes qui sont à l’origine de cette critique de la société. Premièrement il y a les inégalités et les injustices, comme nous pouvons le voir dans La tête des autres de

Mariage de Figaro, il multiplie les figurants en habits de fête (acte IV). Il veut donner à son œuvre une dimension festive, spectaculaire. Il veut monter au spectateur la grandeur du théâtre. C’est un spectacle à l’intérieur d’un spectacle et le comte Almaviva en arrive même à se questionner : « Jouons-nous une comédie ? ». Beaumarchais crée un effet de « mise en abyme ». Le travestissement au théâtre peut servir à impressionner. Mais il peut aussi servir à faire rire. En effet, dans le théâtre antique

l’auteur 1. Rapidité des dialogues 2. Importance du jeu des comédiens : didascalies, rire 3. Le théâtre d’intrigue : dupeurs et dupés, retournements, complicité avec le public II. Une scène représentative des relations entre les personnages 1. Le Comte : un maître dupé 2. La servante rusée III. Une scène représentative des messages de l’œuvre 1. La critique des maîtres abusifs 2. La victoire des valets Proposition de devoir rédigé Introduction [Présentation de l’auteur et de l’œuvre] Beaumarchais

  Beaumarchais   dénonce   le   statut  injuste  des  valets  et  des  servantes.  Suzanne  la  soubrette  qui  doit  épouser  Figaro  est   en  proie  à  un  chantage  de  la  part  du  comte  Almaviva.  Celui-­‐ci  la  menace  de  ne  pas  lui  donner   son  accord  si  elle  ne  cède  pas  à  ses  avances.  Ce  droit  de  cuissage  accordé  comme  privilège   aux  seigneurs  d’autrefois

Est une comédie en quatre actes et on va nous centrer dans le premier qui est Le Barbier de Séville. L’argument de l’histoire est inspiré par L’École des femmes de Molière. Le comte Almaviva est tombé amoureux d’une jeune, Rosine. Elle est orpheline et la pupille du docteur Bartholo, qui a pour projet de l’épouser. Le comte avec l’aide de son ancien valet Figaro, fera l’impossible pour l’arracher de Bartholo. Il se déguise comme Lindor et donne des sérénades á Rosine et Figaro comme barbier et apothicaire