Le Consensus De Washington

« charte de l'Atlantique », dans laquelle ils s'engagent à appliquer des principes communs dans les politiques nationales des pays où leurs pays respectifs jouissent d'une influence : c'est le prélude à la décolonisation. Intégrée à la conférence de Washington de 1942, la charte de l'Atlantique devient ipso facto le programme de paix des Nations unies.  – 1er janvier 1942 : Roosevelt utilise pour la première fois l'expression « nations unies ». Ce jour-là, ces « nations unies » (au nombre de 26) s'engagent

conditions multiples du développement DOC 24 p 307 c) Les limites de la libéralisation sur les MPA DOC 25 p 307 D/ Le rôle controversé des institutions financières internationales a) L’OMC DOC 27 et 28 p 308 b) Le consensus de Washington, le FMI et la banque mondiale DOC M et N III LES ENJEUX DE L’OUVERTURE INTERNATIONALE Internationalisation des échanges et mondialisation Chap 11 Commerce international, croissance et développement Notions clés : Avantage

exporter vers l’Allemagne : euro en dehors de sa zone d’origine, de création) 2- La déréglementation financière : -néo-libéralisme (couple libre-échange/croissance surtout au sein de la Triade) -libéralisation des régies d’investissement (Consensus de Washington : programme économique libéral mettant en place la privatisation dans certains pays d’Amérique latine, comme Mexique à cause de la crise de la dette) -possibilité d’investir à l’étranger mais investissements restent captifs (Tunisie) 3- De

|Président de la Banque mondiale | | |[pic]Robert Zoellick | |Statut |Active | |Établi |27 décembre 1945 à Washington | |Site web |http://www.banquemondiale.org/ | |Organisation(s) parent |BIRD, AID | |modifier [pic] |

circulant dans le monde. Néanmoins, le rôle de l'organisation reste, encore actuellement, de tout premier ordre en ceci qu'elle permet aux différents Etats de participer pleinement à l'économie mondiale. Le FMI, dont le siège se trouve à Washington, est en effet ouvert à tous les Etats souverains, et il est administré par un Conseil des gouverneurs, instance suprême de l'institution, composé des représentants respectifs de chacun des Etats membres. Les affaires courantes sont, elles, conduites

SOMMAIRE INTRODUCTION PREMIERE PARTIE : debat et consensus dans le processus de reforme du conseil de securité CHAPITRE I : dEbat actuel SUR La reforme des Nations unies CHAPITRE II : CONSENSUS SUR L’IDEE DE LA REFORME DEUXIEME PARTIE : RECOMPOSITION ET AMEL- IORATION DU FONCTIONNEMENT DU CONSEIL DE SEURITE CHAPITRE I : LA RESTRUCTURATION DU CONSEIL DE SECURITE CHAPIRE II : LES OBSTACLES A LA REFORME DU CONSEIL DE SECURITE CONCLUSION TABLES DES SIGLES

long terme … II - … mais qui fait part aujourd'hui d'un bilan chaotique de la situation des marchés financiers 1) Une libéralisation excessive des mouvements de capitaux - Un processus d'intégration trop rapide ("consensus de washington") - Une entrée "violente" dans une logique de "court terme" - Une globalisation qui fait les crises se propager à travers le monde ( une crise peut débuter dans une région du monde peut se répercuter au reste du monde sans égards)

concurrence pure et parfaite, les conditions du système capitaliste ne sont donc pas respectées. QUESTION 4 : Francis Fukuyama, économiste et philosophe, enseigne à Washington l’économie politique. Il défend la théorie selon laquelle l’histoire touche a sa fin puisque le combat des idéologies n’existe plus et que l’on a le consensus mondial de la démocratie libérale. Le progrès satisfait les besoins consuméristes des sociétés des grands pays. Ayant trouvé la recette de la paix er de la stabilité

(Président de la commission européenne) ratifie l’acte unique Européen, et instaure ainsi la libre circulation des capitaux au sein des 12 Etats de L’union Européenne à travers les quatre libertés. Aux Etats-Unis en 1989, ce déroule le consensus de Washington. Dans ce consensus l’économiste John Williamson propose 10 propositions au gouvernement pour faire face à l’hyperinflation. Au sein de ces propositions 3 concernent la globalisation financières : la libéralisation des taux d'intérêt, élimination des

Chine deviennent membres permanents du Conseil de sécurité, disposant chacun d’un droit de veto. Le nouvel ordre international repose donc sur l’entente de ces puissances. • De même, alors que la SDN était un lieu de dialogue devant aboutir à des consensus (selon principe de l’unanimité), le conseil de Sécurité de la nouvelle organisation peut prendre des décisions concrètes (appelées " résolution ") autorisant des interventions armées. II L’organisation et le fonctionnement de l’ONU Commentaire