Le Consensus De Washington

accéder à une technologie qu'elle ne maîtrise pas (l'informatique), l'URSS doit coopérer avec l'Occident. Gorbatchev est donc favorable à la détente. Dès 1985, il renoue le dialogue avec les États-Unis. Les négociations aboutissent aux accords de Washington de 1987, qui prévoient la destruction sur 3 ans d'une partie des stock de l'armement. Au sommet de Malte en 1989, Gorbatchev et Bush annoncent un accord sur le désarmement chimique et le futur accord START sur la réduction des armements stratégiques

libérale: ouverture des frontières, libéralisation financière, privatisations, etc. Ces mesures sont censées assurer un équilibre durable des finances publiques et des échanges extérieurs. L'ensemble de ces politiques est souvent baptisé "consensus de Washington", ville où sont basés le FMI et la Banque mondiale. Banque mondiale Créée en 1944, elle compte 181membres. C'est la somme de plusieurs institutions, dont la Banque pour la reconstruction et le développement (la Bird, chargée de définir des

(European Recovery Program) était proposé à toute l’Europe, y compris les pays de l’Est et l’Union soviétique elle-même. Il était toutefois assorti de deux conditions : l’aide américaine serait gérée par des institutions européennes communes et Washington aurait un droit de regard sur sa répartition. Staline hésita, puis, fin juin, fit part de son refus. La Pologne et la Tchécoslovaquie, qui, dans un premier temps, avaient donné une réponse favorable à la proposition américaine, se virent obligées

du pouvoir. B/ Traités de Westphalie (1648) et système westphalien Les traités mettent fin à la vision médiévale de la primauté de la religion. Ils sont conclus avec la France (Münster) et la Suède (Osnabrück) et concerne le fait d'adopter un consensus pour les dirigeants exercent leur pouvoir sur leur territoire de manière souveraine (souveraineté interne). A cela s'ajoute la souveraineté externe, ou la reconnaissance partagée de cet exercice de la souveraineté interne par toute entité politique

européennes en les plaçant sous la tutelle de Washington. Selon la doctrine Jdanov, le monde était désormais divisé en deux camps antagonistes : d'un côté, un « camp impérialiste et anti-démocratique » dont les États-Unis serait « la principale force dirigeante » ; de l'autre, un camp « anti-impérialiste et démocratique » placé sous l’égide de Moscou. À partir de 1947, plusieurs conférences internationales réunissent les grandes puissances afin de dégager un consensus sur les problèmes qui les divisent :

Europe, Etats-Unis, Chine, Japon, BRICs… tous les Etats dont les besoins grandissent cherchent à prendre pied dans les pays détenteurs de l’Or Noir. Ainsi, ce type d’évènement est déjà survenu dans l’Histoire lors de la guerre en Irak en 2003 où Washington a pu évincer ses concurrents Français, Russe et Italien de ce pays. Tout cela dans le seul but de conserver un avantage énergétique et par là économique. Par ailleurs, le sentiment d’épuisement des ressources peu déjà se faire sentir aujourd’hui

périodes précédentes, sous les IIIème et IVème républiques, le pouvoir législatif détenait une compétence quasi absolue en matière financière. Cette inadaptation du droit public financier a conduit à commencer à le réformer. C’est alors qu’un large consensus s’est établi sur le fait que le budget de l’Etat était essentiel pour l’équilibre et le développement du marché économique. Dans un premier temps, cette fonction économique de l’Etat s’est exprimée dans un décret de 1956. Ensuite, la Constitution

(il tire sur son quota) et fournit en échange sa monnaie nationale. Au-delà des tirages libres sur le quota (1ère tranche : or 2ème : réserves) les tirages ultérieurs sont soumis à des conditions de plus en plus strictes (conditionnalité/consensus de Washington). Maintes fois étendue par des procédés divers (la mise en place des accords généraux d’emprunts de 1962 et facilités de réserves supplémentaires en 1997) ce mécanismes des tirages a été très souvent utilisé et demeure à la base des interventions

strictement encadrée par les lois. Aux États-Unis, l’euthanasie passive est acceptée par la Cour Suprême. La législation dépend en fait des États : l’Oregon et l’État de Washington sont les seuls à accepter le suicide assisté, mais ils n’en légalisent pas, pour autant, l’euthanasie. Par le référendum du 4 novembre 2008, l'État de Washington a autorisé le recours à l’euthanasie pour les malades en phase terminale. En Espagne, le corps médical doit respecter la volonté du patient, même si cela entraîne

arrière-plan les besoins et les intérêts des États-Unis. Nous avons besoin de marchés, de gros marchés, pour y acheter et pour y vendre. »[4] L’objectif du plan Marshall, toutefois, n’était pas uniquement économique. Le gouvernement fédéral américain à Washington avait compris que la détresse des populations européennes faisait le jeu des partis marxistes alignés sur Moscou. En France et en Italie notamment, plus d’un quart de l’électorat votait communiste. Dès lors, l’injection de capitaux américains était