Le Consensus De Washington

des facteurs de production, et vise à établir un tarif extérieur commun et à coordonner et harmoniser les politiques macroéconomiques et les législations entre les Etats membres. Le traité d’Asuncion a été signé dans l’esprit néolibéral du consensus de Washington, cette association apparait donc comme un moyen de sortir de la crise économique de la décennie perdue des années 1980, à l’époque, on ne parle donc pas d’intégration régionale mais d’intégration de marchés, on a donc une structure purement

l’acquisition d’un moins 10% d’une société étrangère ; Au réinvestissement des bénéfices sur le territoire d’implantation ; Aux opérations entre société-mère et filiales implantées à l’étranger. Un volontarisme gouvernemental issu du consensus de Bretton Woods : Les accords de Bretton Woods : accords issus d’une conférence qui s’est tenue en juillet 1944 à Bretton Woods (E.U.) au terme de laquelle furent jetées les bases d’un nouveau système monétaire international. Mise en place

iranienne, qui mêle tous les grands enjeux stratégiques de ce début de siècle – prolifération, terrorisme, approvisionnements énergétiques, démocratie au Moyen-Orient – est importante. On a, bien sûr, le droit de vilipender la politique suivie par Washington et par Paris dans ce domaine, et le débat sur la meilleure ligne diplomatique à suivre est évidemment bienvenu. De même est-il tout à fait légitime de s’interroger sur l’efficacité des sanctions actuelles. On a aussi le droit de considérer, comme

politiques du « consensus de Washington ». Ce consensus est le modèle universaliste de développement imposé par le FMI aux pays pauvres et diffère spectaculairement du développement connu par les Etats Unis au XIX° siècle dans lequel l’Etat jouait un rôle majeur. Et le problème réside aujourd’hui dans l’absence d’un Etat mondial surveillant l’ensemble du monde. II. Promesses non tenues Les sièges centraux du FMI et de la Banque Mondiale sont tous deux situés à Washington, sur la

bibliographie fait le point sur la situation 18 mois après les événements (pour la période qui précède, voir la bibliographie "Les attentats du 11 septembre" réalisée en mai 2002).  La question irakienne n’est pas traitée ici, mais dans la bibliographie "Washington/Bagdad : la marche à la guerre"réalisée en avril 2003. | | 1 - La situation politique internationale 2 -  La politique étrangère des Etats-Unis 2.1 - La guerre contre le terrorisme 3 - Les relations transatlantiques et l’ OTAN 4 -

au sein de l’OMC depuis les années 90 : Le FMI et le Banque mondiale préconisaient à cette époque des mesures présentées comme la recette de la croissance économique dans les Pays en Voie de Développement (PVD). Connue sous le nom de "consensus de Washington" elle incluait : Privatisation Discipline budgétaire Libéralisation des échanges Déréglementation Puis en 2000,les objectifs du Millénaire, à atteindre en 2015 ,sont définis sous forme de niveaux de réduction de la pauvreté, de

d'histoire de l'institut de recherches marxistes, (critique du livre de Gérard Bossuat, L'Europe occidentale à l'heure américaine. Le Plan Marshall et l'unité européenne 1945-1952, Complexe, Bruxelles, 1992). « Avant le Plan Marshall: Prêt-Bail et consensus américain », n° 54, 1994, p. 115-140. « Le Plan Marshall, ses clauses et ses conséquences », n° 55, 1994, p. 115-153. Envoi du 6 avril 2006 aux étudiants de Paris 7, L3, histoire des relations internationales, et divers envois postérieurs (dont

hausse des revenus dans les pays exportateurs de matières premières rend ceux-ci attractifs aux yeux des prêteurs. Question 5 Les principaux points des programmes mis en place dans les pays industrialisés entre 1979 et 1982 font partie du consensus de Washington, dont l’appellation a été donnée a posteriori, mis sur pied par les USA et le UK. Les principaux points sont : 1) Accent mis sur la rentabilité du capital 2) Lutte contre l’inflation considérée comme réduisant le pouvoir d’achat

est beaucoup moins évidente : si l’aide a un 4 5 Riddell (R.C.), 1987, Foreign Aid Reconsidered, Londres, ODI et James Currey. Voir par exemple, Dollar (D.) & Kraay (A.), 2001, « Growth is Good for the Poor », Policy Research Working Paper, Washington, Banque Mondiale, qui montrent que la croissance économique est bonne pour les pauvres : quand le revenu moyen augmente, le revenu moyen du quintile le plus pauvre de la société s’accroît. 3 impact positif sur la croissance dans les pays

carrière. Il reprend ensuite ses fonctions de professeur en économie à l’Université de Columbia. Joseph Stiglitz appartient au courant de pensée des « nouveaux keynésiens », ce qui l'a logiquement mené à dénoncer de manière virulente le Consensus de Washington et à s'opposer, alors vice-président de la Banque Mondiale, à son homologue du Fonds Monétaire International, Stanley Fisher, au sujet de la politique à mener envers les pays asiatiques. Il acquit une certaine notoriété populaire peu après