Le Controle Interne Des Imf

affirmer leur émancipation, les nouvelles autorités issues de la sécession refusent de réhabiliter ou de conserver la monnaie antérieure. Elles pourraient choisir de créer leur propre monnaie et donc de s’engager sur la voie de l’ancrage nominal interne. Mais elles préfèrent renoncer et s’accrocher à un substitut externe. Elles refusent ainsi d’affirmer toute forme de souveraineté monétaire. Ceci peut s’expliquer par le déficit potentiel de crédibilité des nouvelles autorités monétaires, mais surtout

rendement annuel) CGAP Consultative Group to Assist the Poor (Groupe consultatif d’assistance aux plus pauvres) TIE Taux d’intérêt effectif IF Institution financière RH Ressources humaines IRR Taux de rendement interne TIC Technologies de l’information et de la communication IMF Institution de microfinance SIG Système d’Information et de Gestion OER Ratio des frais d’exploitation PAR Portefeuille à risque PPI Progress out of Poverty Index ROA Rentabilité des actifs ROE Rentabilité

Direction de Contrôle de Qualité de l‟Enseignement et des Innovations Pédagogiques (DCQEIP) SECTION 2 : Démarche méthodologique SECTION 3 : Analyse des Résultats SECTION 3 : Suggestions CONCLUSION BIBLIOGRAPHIE ANNEXES Réalisé par ELEAZAR Olivia & HOUENON D. Ruthus Page vi Alphabétisation, Genre Féminin et Pauvreté LISTE DES PRINCIPAUX SIGLES BM : Banque Mondiale CEDEF : Convention sur l‟Elimination de toutes formes de Discrimination à l‟Egard des Femmes DCQEIP : Direction du Contrôle de la Qualité

change ouvert aux banques (1996), à une libéralisation progressive (depuis 1983) et accélérée (depuis 2005). Mais avant cette époque, le Maroc a poursuivi une politique de change qui va de la stabilité à la dépréciation dans un premier temps, puis du contrôle à la libéralisation progressive dans un deuxième temps. 2.1. La politique de change au Maroc : de la stabilité à la dépréciation du dirham Avant les années 1980, deux systèmes de change différents ont marqué la pratique effective de taux de change

libéralisation partielle et attentive des taux avec la mise en application de la politique d’ajustement structurel en 1983. Une réglementation excessive : le système bancaire marocain souffrait de la prépondérance des autorités de surveillance et de contrôle. Les instruments utilisés à ces fins étaient : L’encadrement du crédit : instauré entre 1969-1972, il fut repris en 1976 puis bondonné 1991. Le poids des emplois obligatoires : il s’agissait des réserves monétaires obligatoires, Le plancher d’effets

réserve de la conclusion du cycle de Doha : − de réduire substantiellement les soutiens internes à l’agriculture et d'assurer l'élimination de toutes les formes de subventions à l'exportation et des disciplines concernant toutes les mesures à l'exportation d'effet équivalent avant fin 2013 ; d’éliminer toutes les formes de subventions à l’exportation pour le coton en 2006, et de réduire les subventions internes à la production de coton qui ont des effets de distorsion des échanges de manière plus

contre la pauvreté. Elle contribue également à créer de l’emploi et à générer des revenus plus élevés pour les pauvres. Toutefois, face aux nombreux défis, le Vietnam propose d’adopter une politique en vue d'une part, de mobiliser des ressources internes, considérée comme la source décisive, et d’autre part, d’élargir et d’améliorer l'efficacité de la coopération internationale, comprenant l'investissement direct de l’étranger (IDE), l’aide publique au développement ainsi que le commerce international

pauvres d’avoir accès au crédit et de leur offrir d’autres services financiers et d’aide au développement d’entreprise ». Ce sont environ 130 millions de personnes qui bénéficient en 2006 des services de plus de 10 000 institutions de Micro Finance « IMF » pour un nombre total de 500 millions de personnes éligibles au Micro Crédit. La reconnaissance mondiale du rôle de la Micro Finance s’est matérialisée en 2006 par la remise du Prix Noble de la Paix à son initiateur, Monsieur Mohamed Yunus. 9

constituent encore, en 2006, 10,4 % des recettes fiscales contre 19,3 % en 2000). Afin d’éviter une chute de ses recettes publiques, le Maroc s’est engagé dans une politique de transition fiscale qui consiste à renforcer les recettes de fiscalité internes pour compenser la chute des recettes tarifaires. * Maître de Conférences CERDI - Clermont-Université, Université d’Auvergne. ** Chargé de Recherches CNRS-CERDI, Clermont-Université, Université d’Auvergne. *** Consultant international, expert en

une vingtaine d’années avant la crise, le taux de croissance étaient vraiment impressionants (autour de 10% par an). Les investissements dans les pays d’Asie étaient en pleine expansion. C’est évident que les pays asiatiques avaient des problèmes internes qui ont fragilisé la situation dans ces pays – là, mais l'intervention du FMI a provoqué, ou au moins a aggravé, la crise qui les a conduit à la fois vers une situation financière défavorable, mais aussi a empêché la sortie de cette crise. Comme