Le Coq Et Le Renard

Monsieur, c’est sept heures, il faut se lever. - - Comment ? – Non, non, oui, j’ai entendu, j’ai entendu. Oui, je me lève, je me lève. » Il bâille. Il se lève, il s’assied sur le bord du lit. C’est le matin, il faut faire chanter le coq ! Il se lave les dents. Il range ses affaires dans la valise. Il replie, tout ça. Il s’habille, il est prêt à descendre et au moment où le train entre en gare, discrètement, encore un petit pour la route. À ce moment-là

occasionné la mort . Tel était le chef d’accusation qui faisait comparaître en cour d’assises le sieur Léopold Renard, tapissier. Autour de lui les principaux témoins, la dame Flamèche, veuve de la victime, les nommés Louis Ladureau, ouvrier ébéniste, et Jean Durdent, plombier. Près du criminel, sa femme en noir, petite, laide, l’air d’une guenon habillée en dame. Et voici comment Renard (Léopold) raconte le drame : * Mon Dieu, c’est un malheur dont je fus tout le temps la première victime, et dont

adhéraient l’un à l’autre quand on les rapprochait. Hommes et femmes, vêtus des mêmes combinaisons pratiques, se distinguaient par les couleurs. Pour obéir sans doute à cette loi de la nature qui pare toujours les mâles plus que les femelles, fait le coq rutilant et la poule grise, une habitude s’était peu à peu établie d’employer les couleurs vives pour les vêtements des hommes et les couleurs sombres pour ceux des femmes. Jérôme Seita portait ce soir-là une combinaison d’un rouge éclatant qui s’ornait

sera le titre d’une bande dessinée de G. Ri en 1915, tandis qu’en 1929 la planète rouge inspirera à Félix Jobbé-Duval son À la conquête de la planète Mars dans les pages de Cri-Cri. Plus tard, de 1946 à 1948, Marijac tiendra en haleine les lecteurs de Coq Hardi en contant, avec la complicité des dessinateurs Liquois puis Dut, comment les Martiens ont déclaré la Guerre à la Terre. De voyage dans l’espace, il sera encore question dans le Rayon mystérieux d’Alain Saint-Ogan, qui paraît dans Cadet Revue

d’un coup, m’explique que c’est son tour de garde mais qu’il reviendra ce soir. En me faisant ses adieux, il manque de me broyer un doigt. Je me rendors d’un sommeil agité. Je sursaute en entendant « à l’aide » mais ce n’est que le cri du coq. Dehors la guerre fait toujours rage. Je me lave et m’habille à la sauvette. Si seulement je savais où la veuve est allée se réfugier ! Des voix se rapprochent, voilà toute une troupe de femmes avec en tête la veuve qui sanglote. Elle tombe

comme un lavabo, comme un linge, comme un mort, comme neige. Jaune comme un cierge, comme un citron, comme un coing. Noir comme l'ébène, comme l'encre, comme du jais, comme poivre, comme de la suie, comme une taupe. Rouge comme une cerise, comme un coq, comme un coquelicot, comme une écrevisse, comme un homard, comme une pivoine, comme une pomme d'api, comme une tomate. b) les cheveux : Blond comme les blés Chauve comme une boule de billard, comme un genou, comme un œuf. Raide comme la justice, comme

de France avait pour emblême la salamandre ? Francois Ier A qui Martine Aubry a-t-elle succédé à la tête du Parti socialiste en novembre 2008 ? François Hollande Quel animal est le héros du film d'animation "Fantastic Mr. Fox" ? Un renard 34 Questions Réponses Combien de paires de pattes ont les animaux hexapodes ? 3 Dans le tableau de Géricault "Le Radeau de la Méduse", les naufragés sont les rescapés de la frégate baptisée... La Méduse En 1985, de quel jeu Garry

II. La comédie de cour A/ Un flatteur Intervention du renard en continuité de celle du lion Rime entre « roi » et « moi » Le renard va tenter de maitriser la parole à son profit Soumission au roi, 1er mot à l’attaque de son discours appellatif « sire », apostrophe postposée « seigneur »  replace le lion au sommet de la hiérarchie 2 occurrences de l’adverbe « trop » sur 2 substantifs successifs  traduit l’enthousiasme du renard « vous êtes trop bon roi, vos scrupules font voir trop de délicatesse »

sa soupe, mangeait sa fouace sans pain, mordait en riant, riait en mordant, souvent crachait on 1 bassin, pétait dégraisse, pissait contre le soleil, se cachait en l'eau pour la pluie, battait à froid, songeait creux, faisait le sucré, écorchait le renard, disait la patenôtre du singe, retournait à ses moutons, tournait les truies au foin, battait le chien devant le lion, mettait la charrette devant les bœufs, se grattait où ne lui démangeait point, tirait les vers du nez, trop embrassait et peu étreignait

occasionné la mort. Tel était le chef d’accusation qui faisait comparaître en cour d’assises le sieur Léopold Renard, tapissier. Autour de lui les principaux témoins, la dame Flamèche, veuve de la victime, les nommés Louis Ladureau, ouvrier ébéniste, et Jean Durdent, plombier. Près du criminel, sa femme en noir, petite, laide, l’air d’une guenon habillée en dame. Et voici comment Renard (Léopold) raconte le drame : – Mon Dieu, c’est un malheur dont je fus tout le temps la première victime, et