Le Corps Chez Ronsard

La Parque t’a tuée, et cendre tu reposes. Pour obsèques reçois mes larmes et mes pleurs, Ce vase plein de lait, ce panier plein de fleurs, Afin que vif, et mort, ton corps ne soit que roses.           Pierre de Ronsard, Sur la mort de Marie, 1578 Sur un Tombeau Celle dont la dépouille en ce marbre est enclose  Fut le digne sujet de mes saintes amours.  Las ! Depuis qu'elle y dort, jamais

de rapports sexuel avec la Nature. La gradation dans la décomposition que mets en place Baudelaire fait passer la charogne à un simple tas d’os restant cependant désirable pour la chienne, cette image d’horreur représente bien l’attrait du morbide chez

nouveaux – Les sciences et la connaissance – Le rôle du Prince – La religion, ses principes et sa pratique Tableau : la naissance de vénuse (1484), Sandro Botticelli. Auteur Discours des misères de ce temps de Pierre de Ronsard « On dit que Jupiter, fâché contre la race Des hommes qui voulaient par curieuse audace Envoyer leurs raisons jusqu’au Ciel, pour savoir Les hauts secrets divins, que l’homme ne doit voir, Un jour étant gaillard choisit pour son amie Dame

» : l’amoureuse « pleuvoir » : concerne la pluie « lumière pleut » : oxymore A une syllabe près « pleure » : la lumière pleure  la nature pleure ce soldat (paronyme) 1er Tercet : Les éléments du corps présents dans le txt = éléments inhabituels ds la description d’un perso.  L’auteur présente un corps morcelé « glaïeul »= glaive (étymologie) → présence discrète d’une arme meurtrière. Insistance sur sommeil par refus de dire « mort » « dort », «mort » = paronymes Passage de « dormeur » à « enfant

Erasme apparaît ainsi comme un géant de l’érudition qui a donné à ses contemporains la possibilité de lire de nombreux textes de philosophes ; les géants de Rabelais qui ont renversé le monde établi pour restaurer de nouvelles valeurs de l’humanisme ; Ronsard, intermédiaire entre Dieu et les hommes ; Montaigne dt les Essais inventent un genre littéraire unique, autoportrait philosophique ; Du Bellay, voix poétique par excellence. Des géants tracent la figure de l’homme dans les arts plastiques : Michel

analytiques 1 - Ronsard - "Quand vous serez bien vieille…" 2 - Du Bellay - "Heureux qui comme Ulysse…" 3 - Musset - "La nuit de Décembre" 4 - Baudelaire - "L'albatros" 5 - Hugo - "La conscience" B - Textes complémentaires 1 - Hugo - "Demain dès l'aube" 2 - Corneille - "Marquise" 3 - Ronsard - "Mignonne, allons voir si la rose" 4 - Michaux - "Le grand combat" IV - Travail sur la forme poétique A - Textes analytiques : autour du sonnet 1 - Ronsard - "Je n'ai plus

meilleure expression de ce sentiment se fait par celui qui l’éprouve => JE (explicite ou implicite), la fonction expressive du langage domine (cf. Jacobson) L’exclamation de Villon croyant sa dernière heure venue, l’exclamation de Ronsard devant la vision de son corps décharné = deux manifestations de lyrisme personnel devant la mort. Mais le lyrisme peut aussi se passer du JE. Quand R.G.Cadou décrit la dernière image des « fusillés de Chateaubriand », son sentiment est lisible, évident, mais, par

Anthologie de la poésie française J'au eu comme sujet de faire une anthologie où l'on m'imposait les autres (Ronsard, Baudelaire, Du Bellay..). J'ai eu 20 à ce devoir donc certification de la valeur du travail ;) Shakespeare, grand poète et dramaturge du 16ème siècle expliquait que « la poésie est cette musique que tout homme porte en soi ». Avant tout, sa signification se trouve dans son étymologie  ποιεῖν qui signifie créer, le poète est une personne qui invente de nouvelles formes expressives

13 Extrait de La Joie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 14  Préface La Nature est un thème récurrent dans la poésie, notamment chez les poètes romantiques, et l'on remarque que la manière de l'aborder diffère selon les auteurs et les époques. En effet, elle peut être sujet d'une simple contemplation ou encore un lieu de repos et de recueillement. Pour certains romantiques du XIXe

conventionnelle, plus formelle et moins inspirée que celle des poètes de la Pléiade, Pierre de Ronsard ou Joachim du Bellay, il en fait son poète officiel et mondain. Desportes poussa moins loin que Ronsard l'imitation de l'antiquité. Il polit la langue, donna plus de soin à la régularité des rimes, à l'harmonie de la phrase ; les inversions chez lui sont moins fréquentes et plus claires que chez Ronsard ; les hiatus et les enjambements commencent à disparaître dans ses vers. La grâce de ses sonnets