Le Corps De La Femme Description

à la femme« mon âme » → apposition → idée romantique : discussion personnelle, intérieure« si doux »→ hyperbole → on s’attend à lire un poème lyrique traditionnel « une charogne infâme » → pléonasme → pour l’horreur et de la surprise, surprise déjoue aussi l’attente du lecteur « les jambes en l’air » « femme lubrique » , « brûlante », « suant les poisons » → CL de la Luxure → charogne femme aux allures érotiques « brûlante » « suant » → adj→ suggère le désir dérangeant vulgaire de la femme« nonchalante »

représentation d’une femme fatale est présente durant les premières strophes (« La Dame » v.1), suivie de sa description vestimentaire (« Une robe en ottoman violine » v.1-2, « tunique brodée d’or » v.3, « composé de deux panneaux s’attachant sur l’épaule » v.4-5). Ensuite une description physique de son visage (« yeux dansant » v.6, « visage aux couleurs de France » v.8, « les yeux bleus les dents blanches et les lèvres très rouges » v..9) donne lieu à une comparaison des yeux de la femme avec ceux des

nombreux termes sur son anatomie sont présents avec une description détaillée qui va du haut de son corps jusqu’en bas ; cela renforce l’admiration qu’elle se porte. Cette description est longue, précise et complète notamment grâce aux prépositions qui nous permettent de situer et donner une position aux objets. On peut alors qualifier cette description comme étant méthodique. Ensuite, on se rend compte que Nana est présentée comme étant une femme-enfant, d’un jeune âge mais loin d’être innocente. Au

qu'est la Pléiade). I- Un éloge de la femme ... : • Description physique de la femme idéale. Le corps de la femme est vanté par l'isotopie des matières précieuses : « argent » / « dorée » / « cristal » / « ébène » / « dorés » : « glace ». • La Femme = déesse. Sa perfection est à l'image du sonnet classique, sonnet pétrarquiste de la Pléiade par les « ô » qui montre l'invocation, la vénération de la femme. Du Bellay évoque de même toute les parties du corps. Vers 13 --> « divines beautés ». Utilisation

Nous verrons donc en quoi le poète parvient à troubler le lecteur quant à la réelle apparence de la femme qu'il décrit. Pour ceci, nous travaillerons en deux axes ; dans un premier temps nous étudierons le poème tel que le lecteur le perçoit lors d'une première lecture, et dans un second temps, nous analyserons la deuxième lecture du poème qui se révèle être totalement différente. I./ Une femme idéalisée par le poète ? Une présence marquée Par l'usage de la première personne du singulier

spleen étant le désespoir. Dans le cas de “Parfum exotique”, le poème a plutot une tournure vers “l’idéal”. Dans ce poème, Baudelaire présente au lecteur une île paradisiaque et imaginaire à laquelle il songe lorsqu’il se trouve niché près d’un corps féminin. Ce personnage féminin est en réalite Jeanne Duval, la maîtressé de Baudelaire. On peut dégager deux enjeux de ce poème. En premier lieu on ira s’intéresser au côté sensuel de ce poème surtout centré sur le personnage féminin. Et dans un deuxième

“beauté” de la femme liée à la vieillesse que nous étudierons en s' interrogeant sur Comment les poètes célèbrent-ils la femme ici? Nous le verrons dans un premier temps grâce à l'éloge de la femme, de sa beauté. Il propose également avec malice une contre éloge, une parodie. C’est cette démarche que nous analyserons dans notre seconde partie. Partie I: Tout d'abord, dans l'alexandrin de Dubellay, l'éloge de la femme est omniprésente grâce à la description physique de la femme idéale. Le corps de la femme

parfaitement cette conception. Ou le poète va décrire de façon surprenante une charogneLe poème se divise en deux les quatres premières strophe Baudelaire fait cette illustration d’une prostitué, et la fin du poème est réserver a une comparaison avec sa femme. Baudelaire démarre son poème par une invitation au souvenir avec l’impératif « rappelez vous »Utilisation de « nous » le poète inclus quelqu’un d’autre dans ce poème.Ensuite le beau matin d’été renvoie a un cadre romantique paradisiaqueMême si le

de temps). Cette réussite à l’examen ne déclenche pas chez elle une grande satisfaction puisqu’elle semble gâchée par quelque chose : la mort de son père. Première description de la mort de son père Paradoxe : l’évènement heureux vécu mal, et la mort de son père décrite sans sentiments affectifs. Le passage sur la description de la mort est dénué de sentiments : Ernaux ne fait qu’une approche factuelle dans l’ordre chronologique. Elle ne semble pas impliquée : on dirait un narrateur externe

9 3.1.1. Temps de l'écrivain 9 3.1.2. Temps historique 9 3.1.3. Le temps du lecteur 9 3.2. Temps internes à l'oeuvre 9 3.2.1. La durée du temps de l'histoire 9 3.2.2. Temps de la narration 9 5. Descriptions 12 5.1. Importance dans le texte 12 5.2. Fonction(s) des descriptions 12 6. Aspects stylistiques 13 6.1. Champs lexicaux 13 6.2. Figures de style, structures rythmiques particulières 13 7. Explication du choix de la couverture 14 8. Références 15 1. Approche globale