Le Cosmopolitisme

économiques ont suscité un changement. Les facteurs sociaux et culturels sont associés à mutations de la composition familière, au développement du travail féminin, aux bouleversements des modes et de rythme de vie dans les grands centres urbains, le cosmopolitisme et l’augmentation de la valorisation des restaurants. Le développement des technologies alimentaires et de production a fomenté un changement dans la durabilité et dans la disponibilité des aliments. L’évolution et création des nouvelles technologies

permettent de mettre en scène une véritable situation d’élocution dans ces expositions, où sont transmis des messages assez explicites. Certes les nations accueillant les expositions universelles de 1851 à 1914 exposent des productions, fruit du cosmopolitisme, mais elles s’exposent également, modelant l’image qu’elle veulent renvoyer au monde occidental. B.…où coexistent paix et affirmations nationalistes a.Une œuvre de paix … Les exposition deviennent de véritables lieu d’expression de la fierté

romaine, le 5 décembre, les aigles impériaux sont distribués à l’armée rassemblée au Champ-de-Mars ; elle est à cette occasion rebaptisée la Grande Armée, perdant son caractère national en gagnant ce majestueux qualificatif qui traduit son très réel cosmopolitisme croissant. L’ordre intérieur est assuré par un contrôle croissant de la presse, dont Napoléon se défie de plus en plus. Dès 1804, il rappelle à Fouché sa mission vis-à-vis des journaux : « Réprimez un peu les journaux ; faites-y mettre de bons

société : on constate sans étonnement que beaucoup de philosophes et d'écrivains du XVIIIe s. (Voltaire, Beaumarchais…) sont issus de familles bourgeoises aisées. Le français, langue des Lumières Les Lumières ne connaissent pas de frontières. Leur cosmopolitisme découle de l'universalité de la condition humaine. Le mouvement touche donc toutes les élites cultivées d'Europe, mais sa langue est le français, qui remplace le latin comme langue internationale des intellectuels. À la cour de Vienne ou de Saint-Pétersbourg

étrangère emporte avec elle sa langue et son mode de vie, un constat qui vaut autant pour le Français expatrié ou pour le Maghrébin ou le provincial « monté à la capitale ». La société française a fait une place aux cultures venues d'ailleurs, mais le cosmopolitisme bon enfant dont se targuent la majorité des grandes villes demeure essentiellement folklorique : le « couscous » est entré dans les mœurs, tout comme le « chinois », la pizzeria ou le « japonais », et bien des citadins vantent le charme des foules

on constate sans étonnement que beaucoup de philosophes et d'écrivains du XVIIIe s. (Voltaire, Beaumarchais…) sont issus de familles bourgeoises aisées. Le français, langue des Lumières Les Lumières ne connaissent pas de frontières. Leur cosmopolitisme découle de l'universalité de la condition humaine. Le mouvement touche donc toutes les élites cultivées d'Europe, mais sa langue est le français, qui remplace le latin comme langue internationale des intellectuels. À la cour de Vienne ou de Saint-Pétersbourg

XVIIIe Siècle 4.1 – Repères historiques voir feuille 4.2 – Esprit de contestation 4.2.1 – Anciens et modernes Deux groupes qui s’opposent en littérature. 4.2.2 – Libération On aime les plaisirs et l’argent. Ex : libertins 4.2.3 – Cosmopolitisme C’est l’ouverture d’un autre univers. Grâce au développement du commerce, on découvre les ouvertures sur le monde de surface Orient. 4.3 – PHilosophie des lumières Importance à l’esprit, à la capacité éclairante de la raison. 4.3.1 – Lumières

croyant qui voit son église se déliter sous l’action du temps et les coups des barbares. Né à Paris, d’un père tchèque, financier d’un certain renom, et d’une mère viennoise, il appartient à la bourgeoise juive, laïque, en exil, incarnant, en son cosmopolitisme, son plurilinguisme, l’univers de la « culture européenne » décrit par Stéphan Zweig dans Le monde d’hier. La Diaspora est son idéal. Sa prière est que le Messie ne vienne jamais ; Jérusalem, toujours présente à sa mémoire et à son cœur, est l’horizon

l’intérieur de soi-même. C’est ce que précise Julia Kristeva : L’étrange est en moi, donc nous sommes tous des étrangers, si je suis étranger, il n’y a pas d’étrangers (…). L’éthique de la psychanalyse implique une politique : il s’agirait d’un cosmopolitisme de type nouveau qui, transversal aux gouvernements, aux économies et aux marchés, œuvre pour une humanité dont la solidarité est fondée sur la conscience de son inconscient- désirant, destructeur, peureux, vide, impossible. (Kristeva, 1988:

dualiste et au cosmopolitisme moniste. Cette proposition d’interprétation de la configuration des relations de systèmes et d’ordres correspond à une communauté internationale qui est à la fois inter-individuelle et inter-étatique et qui ne vise au dépassement d’aucun de ces deux aspects mais bien au contraire à les penser ensemble et de façon coordonnée. Substituant le pluralisme coordonné des systèmes, des cultures et des ordres juridiques à l’idée d’inter-étatisme et de cosmopolitisme, elle superpose