Le Costume Dans Dom Juan

« crispain médecin » *1692 pièce de dolimond « le médecin dérobé » Molière a écrit 6 pièces où il met en scéne des médecins. *le médecin volant *l’amour médecin *dom juan *MML *monsieur de ponseauglac *MI Le médecin est personnage pittoresque comique non inventé par molière. Ce qu’il dénonce chez les médecins ce sont les excès et les impostures. C’est

tragédies de Shakespeare par exemple) sont supplantés par l’opéra qui regroupe tous les arts en un tout unifié. Plusieurs auteurs écrivent des pièces de théâtre durant la période baroque tels que Corneille (Comédies, L'Illusion comique) et Molière (Dom Juan ou le Festin de pierre) en France ; Shakespeare (Roméo et Juliette) en Angleterre ; Tirso de Molina (Marthe la dévote, comédie ; le Trompeur de Séville, drame historique) et Lope de Vega (l’Etoile de Séville, Aimer sans savoir qui, comédies) ou Calderon

la prison du Châtelet… Ni beau, ni vraiment laid, Molière a toutefois l’âme d’un chef et s’impose très rapidement comme chef de troupe : il est partout à la fois, conseillant les acteurs, les aidant dans l’apprentissage des textes, s’occupant des costumes, des lumières, des décors et des finances. Sa troupe c’est sa famille. On ne doute plus du pouvoir de séduction de cet homme : Il devient après des efforts non négligeables, le protégé du Roi qui lui permet de jouer même quand la censure interdit

de choix du thème, de la construction de la narration etc.) Ex : Shakespeare, Le Songe d’une nuit d’été où la Liberté, ainsi qu’un choix très grand dans la mise en scène (décors, costumes, lumières, sons) permet de varier à l’infini un texte de départ et de lui donner de multiples interprétations. Autre ex : Dom Juan sans cesse mis en scène au XXe siècle par divers metteurs en scène et pour des résultats très différents. La mise en scène de Marcel Bluwal ne ressemble pas à celle de Lassalle ou

atmosphère plaisante et festive, n’aime pas son mari + montre importance et s’émerveille > rendu + fort par pt de vue Emma Bovary = émmerveillé ms naïve. > veut appartenir à un mode où elle n’a pas sa place > veut faire c les autres > pas elle-m : robe = costume pr nouveau rôle. Madame de LF, La P de Clèves, la demande en mariage de M. de Clèves, 1678 : La P se mari par devoir = considération pour MdC ms ne l’aime pas \ MdC se mari par <3, courageux. Tradition demande > MdC avoue ses sentiments et demande

spectateurs, il existe différents registres comme: le comique de situation, de geste, de mot ou encore de caractère. Le comique de mots (le personnage utilise une accentuation particulière, se sert du registre burlesque, prend un ton comique: exemple Dom Juan lorsque Pierrot parle avec un accent très campagnard) Le comique de situation(quiproquo entre plusieurs personnages, scènes à témoins caché)  Ou encore le comique de caractère(le personnage possède une déformation naturelle drôle). Ceux-ci déclenchent

même à Paris, et se fraies un chemin dans le théâtre de Molière, ou encore dans les pièces de Brecht. Brook nous fait remarquer, que les pièces les plus populaires, sont souvent les plus ennuyeuses, il pense que les gens associe la culture au grands costumes hitoriques, et aux longues tirades. L'ennui est favorable au spectacle. Ensuite, Brook nous parle de Broadway (quartier musical de New York), il nous apprend que les prix des places pour aller voir un spectacle de Broadway ne fait qu'augmenter et

Corneille pour les personnages de guerre, à Topaze de Pagnol en instituteur méritant et naïf qui deviendra homme d’affaire avisé dans un monde corrompu,  au père sévère mais sensible de Diderot dans Le père de famille ou à Don Luis le père bafoué de Dom Juan. Si les exemples abondent, on remarque toutefois que ces détenteurs de l’autorité juste sont très rarement de grandes figures. C’est sans doute que, lorsque les rôles sont bien remplis, ils ne donnent pas lieu à une histoire passionnante ou alors

discours d'un personnage, dans Un chapeau de paille d'Italie: « ne revient qu'à onze heure ». Quant à l'époque dans laquelle se déroule l'action, plusieurs indices peuvent nous orienter: la manière de parlé des personnages et le vocabulaire utilisé, les costumes ou encore le décor; On ne badine pas avec l'amour, « la bête est tant soit peu rétive », « une place devant le château »; Le Barbier de Séville, « en grand manteau brun et chapeau rabattu ». Le sujet de l'œuvre nous est dévoilé par la prise de

c’est que tous les personnages sont hommes. 2. Les Costumes. Le principe des costumes c’est celle de faciliter l’identification des acteurs, les textes des œuvres ne comprennent pas aucune indication de costume, mais il existe des représentations comme des peintures sur vases ou encore des figurines. Les costumes ont été introduises au théâtre par Eschyle, étant très variées en fonction de l’œuvre. Le costume comique masculin consiste souvent en un tunique et un manteau