Le Couteau dans la plaie

nationalistes. -une mère portant son enfant mort : symbole de la victime innocente. Elle exprime la douleur et le désespoir (yeux en forme de larme, langue comme une lame de couteau). Elle regarde en haut, le ciel, Dieu ? Le bomberdement ? -une colombe traditionnellement le symbole de la paix. Mais ici elle est blessée (la plaie blanche) et est dans l'obscurité. A droite : -une femme qui lève les bras au ciel (d'où vient le drame) et qui tente d'échapper d'un incendie ou d'un bombardement : elle

futures ne sauront jamais ce qui c'est réellement passé. Les auteurs de ses quatre textes ont écris leurs textes pendant la seconde guerre mondiale mais les on pourtant publié après la seconde guerre mondiale de manière à ne pas enfoncer le couteau dans la plaie. Les auteurs de ces témoignages parle à la place des disparus qui n'ont pas pu témoigner. Argumentation: texte 1: Dans le texte de Michel Del Castillo, l'auteur parle de la cruauté des hommes et des enfants en vers les prisonniers qui

d'ignorer ce qu'Alix Mathurin va devenir Parfois j'ai l'impression que je n'y arriverai pas et là,je n'ai plus envie de me battre, mais de baisser les bras Crois-moi,le combat contre le mal est sans répit,intense Il fait mal,déchire,comme un couteau dans une plaie je me vide,je me perds mon cœur saigne,j'appelle à l'aide mais je ne trouve personne qui puisse apaiser mes peines Même pas une épaule sur laquelle je pourrais me reposer,trop de pressions accumulées un jour je pourrais exploser,trop exposé

le plancher pelvienContusion: tout trauma avec absence solution continuité au niveau paroi abdominalePlaie abdominale: rupture de la continuité paroi sans ouverture péritoine (plaie non pénétrante) ou avec atteinte péritoine (plaie pénétrante)41-Généralités1-2-IntérêtEpidémiologique: affection fréquente, contusion = 80% plaie = 20%, polytrauma dans 45 à 75% des cas.Diagnostique: diagnostic positif généralement facile.Thérapeutique: traitement ± bien codifiéPronostique: pronostic dépend entre autres

livre-document, Le Silence des Chagos est pour moi le livre du ressenti, qui tente de faire vivre de l’intérieur ce que peut être l’épreuve du déracinement… Le dernier livre de l’écrivain journaliste, mêlant le réel à la fiction, agite le couteau dans la plaie. L’affaire Chagos refait surface. Les histoires romancées, s’inspirant du réel, dévoilent le silence coupable de certaines autorités. * L’auteur * Résumé de l’extrait * Definition du postcolonialisme. * Donner quelques caracteristiques

trouvent. 16-Tu es en train de défendre ton bonheur en ce moment comme un os. 17-c’est vous qui êtes laids, même les plus beaux. 18-Allons vite, cuisinier, appelle tes gardes ! 19-Tu as choisi la vie et moi la mort. 20-Nous allons tous porter cette plaie au côté, perdant des siècles. 21-Oublie-la, Hémon ; oublie-la, mon petit. 22-Tout Thèbes sait ce qu’elle a fait. 23-Antigone ne peut plus vivre. Antigone nous a déjà quittés tous. 24-Crois-tu que je pourrai vivre, moi, sans elle ? Crois-tu que

des pronoms personnels.   Le narrateur qui ne se supporte plus, va retourner cette violence contre lui. En effet, le « je » joue les deux rôles, celui du bourreau et de la victime. L'auteur l'illustre à l'aide des métonymies « Je suis la plaie et le couteau ! » (V21), « je suis le soufflet et la joue ! » (V22), « je suis les membre et la roue » (V23). Ce dernier vers a une image très violence, celle du supplice de la roue utilisée au moyen age. Pour accentuer l'image de sa souffrance, il va se

comme nous pouvons le constater sur les schémas numéro 2 et 9 des données de l’Office fédéral de la Statistique. De ce fait, continuer à promouvoir le féminisme et à lutter pour des droits déjà acquis, signifierait uniquement à « remuer le couteau dans la plaie ». Cependant, malgré l’évolution et l’acquisition des droits souhaités, des inégalités persistent dans certains domaines, notamment celui du salaire. Par exemple, si nous étudions le schéma numéro 10, nous constatons que les hommes ont un

contradiction des pronoms personnels.  Le narrateur qui ne se supporte plus, va retourner cette violence contre lui. En effet, le « je » joue les deux rôles, celui du bourreau et de la victime. L'auteur l'illustre à l'aide des métonymies « Je suis la plaie et le couteau ! » (V21), « je suis le soufflet et la joue ! » (V22), « je suis les membre et la roue » (V23). Ce dernier vers a une image très violence, celle du supplice de la roue utilisée au moyen age. Pour accentuer l'image de sa souffrance, il va se

comme le comique de répétition Géronte lui reviens constamment à des considérations terre à terre lorsqu'il parle de la galère et de la somme attendu par le turc ce qui accentue d'ailleur son coté avare . De plus Scapin continue a remuer le couteau dans la plaie en convertissant cette somme en livre . Dans un second arretons-nous sur la manipulation de Scapin L'avarice de Géronte a donné du fil a retordre au valet Scapin, mais a chaque solution imaginé par Géronte il lui donnait des réponses