Le Credo Histoire Des Art

fr Clarisse Bouillet, le 01/12/2010 Réunir des artistes contemporains autour du sujet du thème du recyclage et du déchet ? (…) Le résultat est étonnant (…) A travers les œuvres de cette quinzaine d’artistes travaillant sur le recyclage, Rehab trace une histoire de l’art « écologique » qui est tout sauf ennuyante. Le Monde Emmanuelle Lequeux, le 13/01/2011 Ici rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme : la vingtaine d’artistes invités s’est choisi comme matière première le déchet et le recyclage

tout symbolique comme l’a supposé M. Victor Basch, dans son feuilleton dramatique, mais définit assez bien une tendance de l’art qui si elle n’est pas plus nouvelle que tout ce qui se trouve sous le soleil n’a du moins jamais servi à formuler aucun credo, aucune affirmation artistique et littéraire. L’idéalisme vulgaire des dramaturges qui ont succédé à Victor Hugo a cherché la vraisemblance dans une couleur locale de convention qui fait pendant au naturalisme en trompe-l’œil des pièces de mœurs dont

théorème chaque acte qu'il a imaginé. Il crée un décor, une situation, une histoire qui nous amène dans un autre monde et qui semble en plus de nous divertir ,nous éloigner toujours un peu plus d'une réalité. Pour finir l'art est une production matériel et esthétique. Certes une œuvre est réel, devant nous, et même palpable. Mais la réalité d'un objet prend aussi en compte sa fonction et son utilité, et donc dénigre tout art car il ne s'agit que d'expression personnel et de ressentis. Il n'y a donc

d’indélicatesses, de fausses citations. Voltaire forge aussi des textes pour les besoins de sa cause, comme semble-t-il le discours d’Osius admonestant les évêques avant la réunion du concile de Nicée (« Arius ») et le credo de l’abbé de Saint-Pierre qui porte son estampille (« Credo »). Ces considérations conduisent à la prudence et à la modestie quand il s’agit d’apprécier la présence du « déjà dit » dans le DP. La vigilance critique doit rester de mise. De subtils glissements, gauchissements et

Pour ce faire ils se tournèrent vers des modèles étrangers. Les critiques, humanistes encore et volontiers italianisants, du règne de Louis XIII lurent et relurent Aristote et ses commentateurs modernes de la Renaissance italienne : un Vida et son Art poétique de 1527, un Scaliger et sa Poétique de 1561, un Castelvetro et son Commentaire de 1570. En France, ce fut surtout la génération de 1630 qui célébra à son tour, avec Chapelain, Scudéry, La Ménardière, etc., le culte d'Aristote. Mais la génération

prix : réduire aussi le rôle de l'Histoire dans le théâtre shakespearien à un cadre. En ce point précis, le critique à orientation biographique a substitué sans en avoir conscience sa problématique à celle de Musset et de Shakespeare. Refusant toute Histoire autre que biographique, incapable de concevoir une autre dimension historique que celle des faits empiriques qui se résorbent toujours dans l'individu et le posent comme fondement exclusif de toute interprétation, il a été conduit à ramener les œuvres

Françoise Zylberberg La musique sacrée au Moyen Age Du plain-chant à la polyphonie Nous parlerons du passage d’une tradition orale à un art extrémement sophistiqué, de La notation musicale, qui, permettant de garder trace des inventions musicales de cette époque a induit à son tour d’autres inventions. Grâce à ces outils forgés pendant le Moyen Age nous pourrons écouter des extraits musicaux qui témoignent du chemin de la musique psalmodique polyphonique à la musique monophonique, au retour à

novembre deux mille treize. Une fois les fascicules recueillis à la Médiathèque de Strasbourg, nous avons choisis à l’unanimité le genre d’œuvre que nous souhaitions étudier : le Cinéma. Ce choix s’explique par l’intérêt commun que nous éprouvons pour cet art et, contrairement à la dance et ou à la musique, il n’est pas nécessaire d’avoir des connaissances approfondie du genre pour traiter convenablement le sujet. Par ailleurs, notre choix s’est naturellement porté en faveur d’une œuvre anglaise, étant

L'Unicité de Dieu Le témoignage, dans le Coran, porte donc avant tout sur l'unicité du Dieu transcendant, qui ne connaît pas d'égal. Il exclut par conséquent aussi bien toute multiplicitéde dieux que toute multiplicité en Dieu. C'est ce qu'exprime le credo que Dieu commande au Prophète de prononcer (« Dis ! ») en témoignage de foi, dans la sourate 112, qui clôture le Coran: 1 Dis : « Lui, Dieu [est] Un2 Dieu, le Rocher (5) ,3 Il n'a pas engendré et n'a pas été engendré,4 et il n'y a pour Lui d'égal

immoralité quelconque. Il est vrai qu’en prenant littéralement, entendez par là « en décontextualisant », l’œuvre littéraire de Machiavel (Le Prince, La Mandragore, Les Discours sur la première Décade de Tite-Live, L’Art de la guerre, Les Histoires florentines, Vie de Castruccio Castracani …), l’on consentirait avec tout le monde que le machiavélisme est un mal à bannir à tout prix. Cependant, pris dans son contexte, il nous serait difficile de porter un jugement ni absolument positif, ni absolument