Le Crime Au Père Boniface Résumé

|celui que la tradition désigne sous le nom de Tarquin le Superbe ; de royauté militaire, la monarchie étrusque | |serait devenue tyrannie au sens complet du terme. Tarquin se serait emparé du pouvoir par la force, en faisant | |périr son beau-père Servius Tullius. « Avec Servius Tullius, écrit Tite-Live, disparut la royauté à la fois | |régulière et légitime : simul justa ac legitima regna occiderunt » (Histoire romaine, I, 48, 7). Rendu méfiant | |par la conscience de ses crimes, Tarquin

Le latin va se substituer aux multiples dialectes locaux. Les romains vont aussi lutter contre les cultes sauvages de la Gaulle, notamment les sacrifices humains. Les gaulois, les celtes étaient persuadés que lorsqu'un individu commettait un crime, le crime pouvait être racheté si on commettait le sacrifice humain. Ils vont également chasser les druides, interdire à ces druides de professer, en matière de justice et d'éducation. On considère que ces druides se comportent avant tout comme des sorciers

hérésie qui consistent à nier la rémission des péchés dans le baptême, à réputer vain le sacrement du corps et du sang du Christ, à condamner le mariage, à prétendre qu'il n'y a d'autre Eglise catholique que la leur, à considérer tout serment comme un crime ". Selon les conceptions de l'époque, l'hérétique trouble l'ordre social mais il est en outre inspiré et en contact avec le diable dont le Moyen Age avait grande peur. Un pays accueillant l'hérésie: En Languedoc, par contre, les partisans d'une

seuls les habitants de Rome ont accès à la citoyenneté mais tous ne l’ont pas forcement (les esclaves et les étrangers par exemple). Sous la république, il y’avait trois moyens d’accès à la citoyenneté :  La naissance : l’enfant doit être né d’un père citoyen.  La concession de la citoyenneté : il y’a différents degrés dans cette conception et sous certaines conditions. Ex : Les latins peuvent devenir citoyens s’ils établissent domicile à Rome.  L’affranchissement : Un esclave affranchit devient

au pouvoir politique, avec des émeutes en faveur d’Octave Auguste si bien qu’il revient et lui accorde la puissance tribunicienne. En 12 av. JC, il devient pontifex Maximums, il est le 1er du collège des prêtres. En 2 av. JC, il reçoit le titre de père de la patri, le pater patriatel. Auguste conduit plusieurs guerres aux frontières, notion de sécurité qui fait que l’Empire connaît la PAX ROMANA. Il a la sagesse de maintenir les magistratures, les censeurs, les prêteurs… et laisse au sénat un rôle

vassal meurt sans héritier, le fief revient au vassal concédant. Dans certains cas ce fief peut faire retour au roi. Troisième processus: la confiscation qui permet au monarque de récupérer les fiefs des seigneurs qui ont été condamnés pour un crime capital. Malgré cette politique le roi doit s'extraire du jeu des relations féodaux vassaliques. Il lui faut dépasser sa simple suzeraineté et affirmer son entière souveraineté. b- la souveraineté royale. Corpus idéologique et politique. Pour

l’Empire par contre ce droit est moins marqué. -    Jussacrorum : droit et devoir de participer au culte public et privé. -    Droit de suffrage qui est le droit de vote dans les assemblées populaires -    Le droit au tribut : obligation pour chaque père de famille de payer cet impôt proportionnel de guerre qui n’existe que jusqu’à 167 av JC. -    Le droit de Vertigal (unité de mesure de surface) : c’est le droit d’occuper l’ager publicus et de payer en échange une redevance. L’augmentation de l’ager

deviennent trop nombreux et ne sont pas affichés partout. Paul, juriste du 3ème siècle, est l’un des premiers à le faire. Ces premiers recueils fabriqués par les juristes ne comprennent en général pas les textes dans leur intégralité mais uniquement des résumés ou quelques extraits. A la fin du 3ème siècle et au début du 4ème siècle, sont fabriqués deux recueils plus importants et d’un genre nouveau : des recueils qui donnent les textes dans leur intégralité. Ces deux recueils ne contiennent que des rescrits

à la diaspora qui prendra fin en 1948. Paragraphe 2 : Sources et caractère du droit hébraïque. Caractère très religieux. Droit est conçut d’origine divine c'est-à-dire que Dieu est la source du droit et il intervient aussi pour sanctionner. Le crime est considéré comme un pêché, la collectivité est responsable devant dieu et non devant un gouvernement humain. Le roi n’est pas Dieu mais il devient le représentant de dieu par son sacre, et le sacre contient le rappel des devoirs du souverain vis-à-vis

l’écart de nombreuses fonctions publiques : les fonctions municipales, les fonctions de juge et de soldats. Leur attitude est jugée intolérable, est assimilée à un trouble de l’ordre public et comme ils renient le culte impérial, ils sont accusés de crime de lèse-majesté. La légende finit aussi de discréditer les Chrétiens. La rumeur et l’attitude du Chrétien font que les persécutions vont s’intensifier. B – La politique de persécution Au 3e siècle, l’Empire romain évolue vers une monarchie militaire