Le Dahir Berbère

présence au Maghreb de la forte identité berbère, ses langues, sa culture… o le problème du plurilinguisme, grandes diversités de cultures et dialectes au Maghreb face à l’uniformité de la langue et culture arabe au Machrek le problème, plus récent, des flux migratoire (COURS n° 2) Le Maghreb pré-colonial La berbérité Le XIXe siècle, le temps de la colonisation mondiale Le Maghreb et la crise de l’Empire ottoman Biblio : Gabriel Camps, « Les berbères, mémoire et identité », Paris, Ed. Errance

informations de cet article ou section devraient être mieux reliées aux sources mentionnées dans la bibliographie ou en liens externes.Améliorez sa vérifiabilité en les associant par des références. | Habité dès la préhistoire par des populations berbères, le territoire marocain a connu des peuplements phéniciens, carthaginois, romains, vandales, byzantins avant d'être islamisé par les Arabes. C'est en 788, lors de son exil qu'Idris Ier, fuyant les persécutions du califat des Abbassides, a donné naissance

par les arrêtés. Les décrets appartiennent au premier ministre , les arrêtés appartiennent aux ministres et une 5circulaire appartienne au directeur. * Le roi est une autorité investit du pouvoir , le roi exerce le pouvoir réglementaire par " Dahir". Si la loi et le règlement constituent des sources modernes du droit objectif, ils existent des sources traditionnelles de la règle de droit. L'une des sources traditionnelles de la règle de droit est la coutume, elle est considérée comme une règle

et chraâ dans le cadre d'une politique de division entre « berbères » et « arabes », elle a cherché à soustraire une partie du peuple marocain à l'application du droit musulman en créant les tribunaux coutumiers (8). Dès l'indépendance, cette législation coloniale a été abrogée (9). Mais localement, les règles coutumières continuent dans de nombreux cas à ordonner les pratiques des justiciables, qu'ils soient d'ailleurs de langue berbère ou arabe, et même à inspirer les décisions des cadis. Quand

Certains adultes célibataires (plus précisément, ni divorcés ni veufs) en ont un. Mais il s'agit d'exceptions qui confirment la règle… une règle écrite nulle part, d'ailleurs. Mais enfin, comme des documents concernant "l'épouse" sont spécifiés dans le dahir réglementant le livret de famille, on peut en déduire que vous y êtes éligible une fois marié. Dès que vous vous mariez, donc, Monsieur, vous devez demander votre propre livret. En tant que "chef de famille", le livret sera en votre nom. Votre épouse

Il se tient traditionnellement le premier week-end de mai à Kelaat Mgouna . La date précise du festival dépend de la récolte des roses. b. Le Moussem des fiançailles d'Imilchil : Au début de l'automne, dans le Haut Atlas, en plein coeur du pays berbère, Dans la région d’Imilchil convergent plus de 30 000 nomades, pour le plus grand moussem de l'année, celui des fiancés. c.Le Moussem des dattes : Le Moussem des dattes, à Erfoud, est organisé au mois d’octobre, pour fêter les dattes du Tafilalet

l'indépendance du Maroc. délaissée La avant Autre que la "Touiza", ils existent d'autres associations autochtones comme la "jemaâ , "l'agadir", "la mousharaka" ou encore "le mouzaraâ" qui étaient fondés sur la loi islamique ou les coutumes berbères . Ces associations bénéficiaient au niveau du financement, de donations privées ou de fondations religieuses dans les zones urbaines et rurales. Cette forme de l’économie sociale tout comme le rôle de la jmaâ ont perdu du terrain et se sont désintégrés

existe aussi la justice makhzen, qui avait progressivement réduit le domaine du charia. Le pacha ou le caïd, le représentant du pouvoir central, s’occupait du domaine pénal, civil et commercial. Sans oublier la justice prédominant dans les régions berbères avait un caractère coutumier et arbitral. Ainsi qu’aux tribunaux consulaires qui s’intéressent aux étrangers. Section 2 : période du protectorat : Les autorités du protectorat s’étaient fixé 3 objectifs essentiels : Mettre fin à la justice consulaire

comme antinomique. Le nationaliste marocain se trouve alors solliciter par un idéal perçu comme le modèle d’une puissance dominante et usurpatrice des droits des individus dominés. Cette sollicitation se traduira par la mobilisation contre le dahir berbère de 1930, et par la création de la ligue des droits de l’Homme de Tétouan en 1934 qui jettera les premières bases d’un cadre organisé autour duquel se cristallisent toutes les demandes de réforme politiques, économiques et sociales. Au lendemain

tribunaux makhzen étaient compétents en matière civile, commerciale et pénale pour juger les litiges nés entre les marocains et sanctionner les infractions et délits commis par les marocains. B. Les tribunaux coutumiers créés en 1930 dans la campagne berbère dite (tamazgha). Ils avaient pour but de soustraire une partie de la population marocaine, à la justice musulmane rendue par les Cadis. Ces juridictions qui appliquaient la coutume locale à la place de la loi musulmane (charia) avaient été contestées