Le Dahir Berbère

accélération de la colonisation rurale, l’administration directe du territoire, la volonté de la suppression de la loi islamique traditionnelle au profit de la loi coutumière en pays berbère devaient constituer autant de mobiles à la mobilisation anti-coloniale       Un dahir de 1930 retira la juridiction des populations berbères au sultan, responsable de la loi musulmane, et leur établit des tribunaux propres appliquant le droit coutumier. Ce fut l'occasion d'un nouveau réveil de l'opposition à l’occupation

le juge de l’excès de pouvoir pour obtenir leur annulation. La loi est enfin permanente tant qu’une autre loi ne vient l’abroger. Ce n’est pas parce qu’une loi n’est pas appliquée qu’elle ne s’applique pas. C’est ce que exprime l’article 474 du dahir des obligations et des contrats : « Les lois ne sont abrogées que par des lois postérieures, lorsque celles-ci l'expriment formellement, ou lorsque la nouvelle loi est incompatible avec la loi antérieure, ou qu'elle règle toute la matière régie

plus d’un million de personnes perdirent la vie. Le Maroc : La France a du lutter contre la concurrence de la grande Bretagne et de l’Allemagne mais elle parvient à y instaurer en 1912 son protectorat. Le 16 mai 1930 : La France promulgue le « Dahir berbère » qui déclenche une vague de contestations et de manifestations nationalistes. Des nationalismes se développent ainsi au Maroc, dont la création du parti de l’Istiqlal, inspiré par le sultan Mohammed Ben Youssef. Suite à La seconde guerre mondiale

certaines compétences du cadi telles que celles qui sont délictuelles ou contraventionnelles pour s’octroyer une compétence à trancher les petits procès civiles liés aux créances et aux dettes ou aux atteintes à la propriété immobilière. Dans le pays berbère, il y avait aussi une juridiction pénale et une juridiction civile. Le juge pénal était le chef de la tribu : L’AMGHAR, il est l’élu par la JMÂA : une assemblée tribale qui réunit les sages et les notables de la tribu, mais dès son élection, il dresse

Sefrioui. B/ le rôle de l’Etat dans la protection du patrimoine de Séfrou Conclusion 2 INTRODUCTION : Séfrou est une petite ville du moyen atlas au sud-est de fez. Surnommée " la petite Jérusalem ", les juifs y étaient jadis plus nombreux que les berbères et les arabes, avec qui`ils vivaient en bonne entente. Paisible et accueillante, elle éblouissait les voyageurs, au point que Colette en parle comme d'un paradis terrestre. Pourtant, entre 1948 et 1968, presque toutes les familles juives de Séfrou

+ 8.4.1 Intégrité territoriale + 8.4.2 Terrorisme * 9 Démographie o 9.1 Religion o 9.2 Langues + 9.2.1 Arabe + 9.2.2 Darija + 9.2.3 Tamazight (berbère) + 9.2.4 Français et autres langues o 9.3 Éducation o 9.4 Émigration o 9.5 Immigration * 10 Armée et police o 10.1 Forces armées royales + 10.1.1 Composition

Littérature 11.10 Sport 12 Monuments et sites remarquables 13 Codes 14 Notes et références 15 Voir aussi 15.1 Liens externes Toponymie Caravane saharienne au sud du Maroc Village typique du Haut Atlas Saidia plage Le Maroc se dit en berbère lmruk (ⵍⵎⵔⵓⴽ en tifinagh), nom qui dérive de la prononciation Amur n'wakuc (« Amour » qui signifie « pays » et « Akouch » qui veut dire « Dieu » ce qui donne la « Terre de Dieu » ou la « Terre sainte »)13. Une autre étymologie donne l'interprétation

Une expérience de l’enseignement de l’amazighe (berbère) : Cas du Primaire au Maroc[1] Hassane Bouzit Centre de Formation des Professeurs de l’enseignement Primaires Marrakech, Maroc Dans notre pays, l’enseignement de l’amazighe, langue et culture, ne date pas d’aujourd’hui. Des expériences connues ont concerné beaucoup d’écoles coraniques où l’amazighe a été, en partie, une langue d’enseignement. Des institutions comme le collège d’Azrou sont aussi un bon exemple réussi. Plus récemment

cette séance, H. Rachik et M. Tozy, ont prolongé, éclairé et enrichi l’argumentaire d’A. el Moudden. H. Rachik est ainsi revenu sur le concept de «démocratie sans démocrates», en faisant référence à l’étude anthropologique d’Ernest Gellner sur les Berbères du Haut Atlas, et notamment à la notion d’une «démocratie sans verbe, sans idéologie», c’est-à-dire «une démocratie structurelle et non consciente». M. Tozy est revenu quant à lui de façon exhaustive et approfondie sur le concept de pluralisme, pour

quel environnement fonctionne l’association Foot Ensemble. 1- De l’Indépendance à la fin des années 70 : la naissance du domaine associatif marquée par la limitation à des activités spécifiques et la dépendance envers le champ politique. Le Dahir (décret royal) réglementant les associations marocaines, première législation dans ce domaine, est adopté en 1958, deux ans après l’Indépendance, et restera le seul cadre juridique de l’action associative jusqu’à l’adoption de la nouvelle loi sur les