Le Destin Tragique Dans Andromaque

construction des scènes 6 à 10 de l'acte 10. Dans cette scène deux camps s'opposent : Les veillards, Priam, et le Géomètre font l'Eloge d'Hélène et pensent qu'il faut faire la guerre pour la garder. De l'autre côté Hector et soutenu par sa femme Andromaque et sa mère Hécube. Ils sont contre cette guerre et veulent rendre Hélène au Troyen. Chacun donne ses arguments pour défendre la guerre ou au contraire son aspect néfaste sur les hommes. L'enjeu de cette scène est donc essentiel le débat qui se joue

andromaque, Phèdre, Bérénice... les grandes tragédies de Jean Racine ont marqué l'histoire de la littérature française. Auteur du siècle de Louis XIV, les oeuvres de Racine constituent des classiques que l'on étudie notamment dans les lycées. Il est l'auteur des plus célèbres alexandrins de la littérature et ses livres sont étudiés dans tous les lycées de France et de Navarre. Il est l'auteur d'Andromaque et de Phèdre. Il a côtoyé les grands de ce monde dans un siècle illuminé par le prestige de

genre du théâtre qui prend source dans l’antiquité grecque et qui met en scène des personnages de rang élevé destiné souvent à une mort fatal. Il y a dans ces pièce un héro qui est le protagoniste et le personnages autours duquel l’intrigue tourne . Le héro dispose de caractéristique humaine physique qui peuvent être mentale ou bien les deux, elles sont poussées à leurs paroxysme. Le héro tragiques dans ces pièce malgré toutes leurs bonne volonté peuvent mettre leurs énergie vitale au service d’un mauvaise

Sommaire I/ Biographie de Giraudoux II/ Résumé de la pièce III/ Réflexion : le destin IV/ Bilan personnel I/ Biographie de Giraudoux Né à Bellac (Limousin) en 1882, Jean Giraudoux se passionne pour la culture germanique. Il est reçut à l’Ecole normale supérieure en 1903, devient diplomate en 1910 puis chef du service des œuvres françaises à l’étranger en 1924. Nommé en 1924 chef des services de presse, Giraudoux est donc un homme de relation et cultivé. Blessé à deux reprises

où, très tôt, il se lia avec Boileau et La Fontaine. 
Il fit représenter la Thébaïde (1664) par la troupe de Molière puis confia Alexandre (1665) aux comédiens de l'Hôtel de Bourgogne. Les dix années suivantes furent fécondes en chefs-d'œuvre : Andromaque (1667), qui fut un triomphe, Les Plaideurs (1668), son unique comédie, puis Britannicus (1669), Bérénice (1670), Bajazet (1672), Mithridate (1673), Iphigénie (1674) et enfin Phèdre (1677), qu'une cabale fit échouer sans affecter sa gloire. Cette

exemple, une bonne partie d ela piece est employer pour exprimer l’amour de Dom Juan envers les femmes. Dans Brenice de Racine, plusieurs scenes sont cnsacré a l’expression des entiment des trois personnages, Titus, Berenice et Antiochus. Enfin, dans andromaque, malgres le conflit qui regne la qusi totalité de l’oeuvre, certaine scene montre l’amur que porte un perosnnage pour un autre, tel aue Pyrrhus et Oreste pour Hermione. B. le theatre, un lieu de reflexion et de critique de la société Avnt d’étre

dépouillée); | |la catharsis (pour un "état modéré et conforme à la raison"). | |- La forme de la tragédie, selon Alain ("Système des Beaux-Arts: Du tragique et de la fatalité."): l'accélération du temps | |- La matière de la tragédie (idem): la passion (Eros-Thanatos) dans "Bérénice"; la "pitié" et la "frayeur" du spectateur (selon Aristote). | |

L’extrait que nous avons à commenter est un extrait de « Phèdre », tragédie classique écrite par Jean Racine, un très grand dramaturge du XVIIe, en 1677, il s’agit d’une pièce éponyme. Les plus célèbres pièces de Racine sont « Andromaque » (1667) et « Phèdre » (1677) qui représente son apothéose. Cette pièce nous raconte l’histoire de Phèdre, épouse de Thésée roi d’Athènes, follement éprise du fils de son mari avec une Amazone, cherchant par tous les moyens de cacher son amour pour

Cette pièce en deux actes et en prose est, de l’aveu de son auteur, une « comédie dramatique » et une « tragédie bourgeoise », mais, en dépit d’un mé­ lange de propos comiques et grossiers dans une atmosphère parfois féerique, c’est surtout le tragique qui importe, et la mort menace jusqu’à la fin. À cette dynamique conçue pour maintenir l’attention du spectateur s’ajoutent les liens avec l’Antiquité, qui tantôt éclairent le présent de l’entre-deux-guerres, et tantôt l’en distinguent. Cette

dans les Andromaque d'Euripide et de Racine par Lorraine K. M. Lawton La légende tragique d'Andromaque existe en plusieurs versions où la passion joue un grand rôie. Dans le théâtre classique grec et français, la passion devenait souvent un monstre que personne ne pouvait contrôler, symbolisée par la plainte horrifiée de la Phèdre racinienne, dans ces deux vers: «Ce n'est plus une ardeur dans mes veines cachée C'est Vénus toute entière à sa proie attachée» (305-06). L Andromaque euripidienne