Le Diable Chiffonnier

projets de préfaces en prose. 121. Lésine: avarice; mot archaïsant, encore employé dans Le Crépuscule du matin. 122. Baudelaire, "incorrigible catholique" comme il se qualifie lui-même (lettre à Calonne du 10 novembre 1858), évoque fréquemment le diable dans sa poésie: voir, par exemple, Les Litanies de Satan (poème CXX), La Destruction (poème CIX), Le Mauvais Vitrier, Le Joueur généreux (Pl. I, p. 285, 325), comme dans ses écrits intimes: Fusées, X, XIV (Pl. I, p. 657, 663); Mon coeur mis à nu,

le poète, revêt une certaine importance. En effet, le vin est perçu comme le consolateur de l'ouvrier pour apaiser les souffrances quotidiennes mais aussi un moyen de s’évader et d’échapper au « Spleen ». Par exemple, dans le poème « Le Vin des Chiffonniers », Baudelaire raconte comment le vin transforme un pauvre homme en roi, en héros épique et comment il échappe au désespoir car cette boisson lui permet de « noyer les rancœurs et bercer l’indolence » (Vers 31). En outre, le vin est aussi une invitation

se dédouble, en quelque sorte. LXXXIV. L’IRREMEDIABLE L’auteur décrit plusieurs personnages qui se trouvent dans des situations sans réelles solutions et qui sont pris au piège. Il parait associer ces situations (et la sienne) aux actes du Diable (Mal). LXXXV. L’HORLOGE Il fait une métonymie : en parlant de l’horloge, il désigne le temps qui passe et qui le presse. Le temps transforme les actes en souvenirs. Tableaux parisiens LXXXVI. Paysage L’auteur semble expliquer qu’il veut

chronologie 1792 loaisiel de tréogate le château du diable 1793 pixérécourt sélico ou le nègre généreux 1797 Béraud et Rosny adonis ou le bon nègre loaisiel de tréogate la forêt périlleuse ou les brigands de la calabre pixérécourt les petits auvergnats 1798 hapdé le petit poucet ou l'orphelin de la forêt pixérécourt le château des Apennins pixérécourt Victor ou l'enfant de la forêt 1799 cuvelier de trye c'est le diable ou la bohémienne loaisiel de tréogate Roland de monglave

Délivré en partie de ses éternels soucis financiers, il produira énormément durant cette période. 1896 Une grande rétrospective chez Samuel Bing, à Paris, conforte sa notoriété et lui procure une certaine aisance à lui qui avait toujours tiré le diable par la queue. Il fut dès cette époque recherché internationalement et participa à de nombreuses expositions à l’étranger particulièrement en Allemagne et en Autriche. 1899 Il se fait construire une maison et un grand atelier, à Ixelles (commune faisant

................................................................72 L'AME DU VIN.......................................................................................................................................................72 LE VIN DES CHIFFONNIERS...............................................................................................................................73 LE VIN DE L'ASSASSIN..............................................................................................

il se dédouble, en quelque sorte. LXXXIV. L’IRREMEDIABLE L’auteu d it plusieu s personnages qui se trouvent dans des situations sans réelles solutions et qui sont pris au piège. Il parait associer ces situations (et la sienne) aux actes du Diable (Mal). LXXXV. L’HORLOGE Il fait une métonymie : en parlant de l’ho loge, il d sig e le te ps ui passe et qui le presse. Le temps transforme les actes en souvenirs. Tableaux parisiens LXXXVI. Paysage L’auteu se le e pli ue u’il veut être

front avec le plat de la main, pivote sur ses talons et file ventre à terre vers la plage. Une fois hors de portée d’un ordre ou d’une sommation, il s’arrête pour reprendre son souffle, plié en deux, la poitrine saturée et la gorge en feu. — T’as le diable aux trousses ? lui demande Haroun le Sourd qui passe par là, nu comme un ver, son caleçon à la main. — Non. — Alors pourquoi tu détales à cette allure ? — T’es à poil, Haroun, dit Junior pour changer de sujet. — C’est à cause des morpions. Y en a

bourbeux et noir? L'espérance qui brille aux carreaux de l'Auberge Est soufflée, est morte à jamais! Sans lune et sans rayons, trouver o`u l'on héberge Les martyrs d'un chemin mauvais! Le Diable a tout atteint aux carreaux de l'Auberge! (v. 21 - 30) Les nuits d’Edward Young (très lues en France après 1770) et les Hymnes à la nuit de Novalis (1800) ont été des « jalons essentiels vers l’élaboration de cette mystique de l’obscur, qui est

18 juillet 1958, dans le Prologue, puis, dans le premier chapitre, sa quasi- noyade un jour du mois d'août 1963, alors que sa mère est occupée à préparer la venue d'un certain abbé Pierre, que le héros associe au fondateur des disciples ou chiffonniers d'Em- maus. C'est vraiment au cours du mois d'août 1968 que se déroulent les principaux événe­ ments qui ont marqué ses vacances pour le moins tumultueuses, à commencer par la querelle de ses parents qui entraîne le départ de la mère. Le lendemain