Le Doigt sur la gâchette

d'origines différentes. C'est ainsi qu'il les différencie. Ensuite durant prêt de 10 ans, aucune nouvelle technologie n'est apparue. C'est seulement une miniaturisation des composants électriques qui a permis d'ajouter plus de boutons ou mêmes des gâchettes. Cela a permis d'offrir de nouvelles façons de jouer et donc des systèmes de jeux ("gameplay") ainsi que des jeux vidéo plus complexes et plus poussés. Mais avec une croix qui ne permettait que de bouger dans 8 sens différents, une manette pas forcement

décidé ou si le Parti me l’avait commandé. HOEDERER : Tu m’étonnes. (Hugo va pour plonger la main dans sa poche mais Hoederer la lui saisit et l’élève légèrement au-dessus de la table.) Suppose que cette main tienne une arme et que ce doigt-là soit posé sur la gâchette... HUGO : Lâchez ma main HOEDERER, sans le lâcher. : Suppose que je sois devant toi, exactement (comme je suis et que tu me vises... HUGO : Lâchez moi et travaillons. HOEDERER : Tu me regardes et au moment de tirer, voilà que tu

que tout a vacillé » le corps de Meursault se tend, son doigt se crispe sur la gâchette du révolver. 4- Et c'est là […] que tout a commencé » -> premier coup de feu 5-« Alors, j'ai tiré encore quatre fois » = Meursault manipulé, geste instinctif, malheureuse victime d'une suite de circonstances incontrôlables. 2-IRRESPONSABILITE #  premier coup de feu est évoqué de manière indirecte + sujet de la phrase est la gâchette :« La gâchette à cédé » (22) = objets ne dépendent pas de la volonté Meursault

décidé ou si le Parti me l'avait commandé. HOEDERER. -Tu m'étonnes. (Hugo va pour plonger la main dans sa poche mais Hoederer la lui saisit et l'élève légèrement au-dessus de ta table) Suppose que cette main tienne une arme et que ce doigt-là soit posé sur la gâchette... HUGO. -Lâchez ma main. HOEDERER, sans le lâcher: -Suppose que je sois devant toi, exactement comme je suis et que tu me vises... HUGO. -Lâchez-moi et travaillons. HOEDERER. -Tu me regardes et au moment de tirer, voilà que

couteau. Le soleil se reflète alors dans cette lame, et soudain, la sueur inonde le visage de Meursault. 3. « c'est alors que tout a vacillé », la nature toute entière semble se liguer contre Meursault, le corps de Meursault se tend, son doigt se crispe sur la gâchette du révolver. 4. « Et c'est là […] que tout a commencé » -> premier coup de feu 5. « Alors, j'ai tiré encore quatre fois » => Une fois l'harmatia commis, le héros semble pris dans l'engrenage tel un héros tragique manipulé par des

couteau. Le soleil se reflète alors dans cette lame, et soudain, la sueur inonde le visage de Meursault. 3. « c'est alors que tout a vacillé », la nature toute entière semble se liguer contre Meursault, le corps de Meursault se tend, son doigt se crispe sur la gâchette du révolver. 4. « Et c'est là […] que tout a commencé » -> premier coup de feu 5. « Alors, j'ai tiré encore quatre fois » => Une fois l'harmatia commis, le héros semble pris dans l'engrenage tel un héros tragique manipulé par des

couteau. Le soleil se reflète alors dans cette lame, et soudain, la sueur inonde le visage de Meursault. 3. « c'est alors que tout a vacillé », la nature toute entière semble se liguer contre Meursault, le corps de Meursault se tend, son doigt se crispe sur la gâchette du révolver. 4. « Et c'est là […] que tout a commencé » -> premier coup de feu 5. « Alors, j'ai tiré encore quatre fois » => Une fois l'harmatia commis, le héros semble pris dans l'engrenage tel un héros tragique manipulé par des forces

couteau. Le soleil se reflète alors dans cette lame, et soudain, la sueur inonde le visage de Meursault. 3. « c'est alors que tout a vacillé », la nature toute entière semble se liguer contre Meursault, le corps de Meursault se tend, son doigt se crispe sur la gâchette du révolver. 4. « Et c'est là […] que tout a commencé » -> premier coup de feu 5. « Alors, j'ai tiré encore quatre fois » => Une fois l'harmatia commis, le héros semble pris dans l'engrenage tel un héros tragique manipulé par des forces

couteau. Le soleil se reflète alors dans cette lame, et soudain, la sueur inonde le visage de Meursault. 3. « c'est alors que tout a vacillé », la nature toute entière semble se liguer contre Meursault, le corps de Meursault se tend, son doigt se crispe sur la gâchette du révolver. 4. « Et c'est là […] que tout a commencé » -> premier coup de feu 5. « Alors, j'ai tiré encore quatre fois » => Une fois l'harmatia commis, le héros semble pris dans l'engrenage tel un héros tragique manipulé par des

j'ai un pas un seul pas en avant » Pourtant a un moment il dit que ce qu'il va faire c'est pas bien « je savais que c'était stupide ». Il dit que ce n'est pas de sa faute et qu'il n'était pas mettre de soi « la gachette » a cédé, comme si c'était son doigt qui avant appuyé sur la gachette tout seul. On dirait que c'est les objets qui le manipule ( avec le revolver) et le cadre dans laquel il est ( le soleilt ) « la mer a charrié » « le ciel souvrait pour laisser pleuveur du feu » Il faut aussi prendre