Le Doute Sceptique

marche le premier sur ses deux pattes arrière, il est le chef de la propagande, et dans la fable, un très bon orateur.On peut donc, suite à sa première place dans le cortège, lui donner le rôle principal dans l'accomplissement de ce défilé : c'est sans doute le conseiller de Napoléon. Par la suite, les moutons entrent en scène, ils ont leur importance dans la bonne conduite d'une dictature, plus particulièrement, dans le bon fonctionnement de la propagande : ils empêchent les autres de se rebeller « quand

philosophique de la vérité distingue 4 critères de vérité. 1. La vérité est-ce ce qui est évident ? a. Vrai = Evident, Certain ; « Ca saute aux yeux » ; « Ca crève les yeux » ; « 2+2=4 » ; « Ca va de soi ». L’évidence est ce qui est inaccessible au doute, c’est ce qui se présente clairement et distinctement de toute autre idée à l’esprit. Descartes dans Règles pour la direction de l’esprit « Chacun peut voir par intuition qu’il existe, qu’il pense, qu’un triangle se détermine par trois lignes seulement

l’entourent. Il lui faut tout apprendre, tout découvrir par lui même pour pouvoir être certain de détenir la vérité car si son savoir acquis comporte une faille, une erreur, si une des leçons qu’il s’est appropriée comme vraie sans la remettre en doute est erronée, tout son raisonnement risque de n’être qu’illusion, et ce, sans même qu’il en ait conscience. « Je sais que je ne sais pas », telle fut l’une des devises philosophiques de Socrate. Alors, si la vérité apparaît dérangeante, difficile à

valeur de nos actes = empathie, se mettre à la place de l’autre & se détacher de soi II - LA CONSCIENCE DÉLIVRE-T-ELLE UN SAVOIR ? a. le doute : première étape du savoir Descartes cherche à trouver une réalité indubitable via le doute méthodique, cartésien ≠ doute sceptique, permanent (scepticisme datant de l’antiquité) « tout ce sur quoi un moindre doute sera possible, je le considérerai comme faux » valable pour 5 sens, non fiables pour accéder à la réalité vérités mathématiques : soupçon d’une

Nature des connaissances ? → Le doute radical, le scepticisme extrême (Descartes) : Pour avoir une certitude, il faut commencer par douter de tout ce que l’on croit savoir. Cela aboutit à « je pense, donc je suis ». (Méthode cartésienne) → On peut aussi partir de nos connaissances considérées comme valides, mais comment expliquer ces connaissances ? Quelle est la nature de ces connaissances ? Ici la connaissance est considérée comme acquise, il n’y a pas de doute. * On peut privilégier le rôle

David Hume David Hume est un penseur britannique important des lumières, il s’est notamment penché sur la formation des idées dans l’esprit humain et a la particularité d’être un sceptique prononcé. Dans ce texte, il évoque la manière dont les Hommes font usage de leurs opinions. Hume émet ici l’idée que le doute méthodique est préférable au dogmatisme. Il répond donc à la question suivante : le dogmatisme est-il un usage souhaitable de sa pensée ? Nous pouvons découper le texte en trois

Hedayat, doute, quête de certitude L’homme conscient de sa situation éphémère sait qu’il est la proie de la mort qui mettra fin un jour à son existence. Une vérité éclatante, évidente, sans équivoque mais pourtant accablante. Se soumettre à cette évidence pertinente est le noeud essentiel de l’existence humaine. Car l’homme et certes uniquement l’homme est aussi une conscience questionnante. Il aspire à répondre à cette présence fugitive. Son questionnement est toujours hôte de l’angoisse qui

chose. Socrate est celui qui provoque le doute dans les esprits, et force les gens à remettre en question leurs opinions. Il force les gens à penser, à développer l'esprit critique. C'est en ce sens que c'est le premier philosophe. Méthode pédagogique ; la maïeutique = méthode d'enseignement qui consiste à ne pas dire les vérités mais à les faire venir dans l'esprit des autres à l'aide de questions. Socrate nous apprend que la philosophie se définit par le doute (remettre en question ses propres opinions)

Faut-il préférer la certitude au doute ? Lorsqu’on est certain, on est à la fois convaincu d’avoir raison et d’avoir la preuve que l’on détient la vérité. Au contraire, douter, c’est remettre en question des prétendues vérités. De nos jours, beaucoup d’Hommes sont certains d’avoir raison, notamment au niveau religieux, et on aurait tendance à leur tenir ce caractère comme une qualité grâce à l’assurance que la certitude leur procure. Cependant, il est incontestable qu’il n’existe objectivement

stoïcien). Il en est de même sur le plan religieux : les grecs ont Zeus, les romains avaient Jupiter. Il y a aussi un vent d’irréligions à cause des philosophes grecs. La philosophie grecque remet en question cette religion. Ce sont les sceptiques qui mettent le doute. Les Epicuriens aussi sont souvent des matérialistes : le monde est une combinaison aléatoire d’atomes. Ils ne nient pas l’existence des Dieux mais les pensent inactifs. C’est l’hellénisation. Certains romains contestent contre l’influence