Le Dualisme Et Le Capitalisme

qu’elle est aussi le fait des institutions politiques et des idéologies sociales et culturelles. On dira de ces auteurs qu’ils sont des « structuro-marxistes » pour souligner que leur marxisme est axé sur l’étude des structures fondamentales du capitalisme, qu’ils présentent d’ailleurs comme si elles existaient objectivement en dehors des individus. C’est de ces marxistes contemporains que s’inspirent les auteurs marxistes en théories des organisations (Benson, 1977 ; Clegg, 1979 ; Clegg et Dunkerley

l’objet.Situons les par rapport à des paramètres diffèrents, à un dualisme – monisme.Carré de Malberg et Dugit on en commun d’être des juristes dualiste, c’est-à-dire qu’ils pensent que l’Etat et le droit sont deux entités diffèrentes. D’un côté l’Etat et de l’autre côté le droit.Tandis que Kelsen, se démarquant, par son monisme, lui, considère que l’Etat et le droit c’est la même chose et non deux entitès différentes.Au regard du dualisme, où Kelsen est isolé, objectivisme, subjectiviste, c’est Carré

certains, n’a pas apporté le bien-être à la grande majorité de la population de la planète. C’est un fait que la mondialisation est aujourd’hui une réalité qui va au-delà des systèmes politiques et idéologiques et qui est marquée par l’emprise du capitalisme, du marché, du néolibéralisme5 et de technologies toujours à la recherche d’une meilleure productivité. Cette réalité a conduit à des modifications rapides dans les relations entre certaines parties du monde et le monde globalisé. Les changements

et poser le problème suivant : en quoi l’organisation et les mutations de l’espace économique américain sont-elles révélatrices de la puissance économique des Etats-Unis ? A- L’ORGANISATION DE L’ECONOMIE AMERICAINE. 1- Les Etats-Unis, patrie du capitalisme libéral. Le système économique américain repose sur la libre entreprise, la concurrence - qui favorise la performance, la compétitivité et élimine les faibles au profit des forts - et l’intervention minimum de l’État fédéral dans le domaine économique

perdue avec elle que par le biais de l'inceste, acte interdit par le père. D'où peut-être la hargne situationniste ou écologiste contre la loi, l'État, la Technologie qui symbolisent le père. Pour les situationnistes, cet État, ce Père, c'est le capitalisme, qu'il faut tuer, contre lequel il faut faire la révolution. La culture, l'art sont la communication avec la société, avec la mère, qu'il faut sauver. Si donc l'art se compromet avec la marchandise capitaliste, si dans les recherches avant-gardistes

de consommation semble avoir opté implicitement pour la devise inverse à celle de Stuart Mill, car « l’homo consumeris » préfère apparamment être un porc satisfait plutôt qu’un Socrate insatisfait…Cette société de consommation engendrée par le capitalisme au 20ème siècle nous a promis le bonheur à travers les biens matériels. Or, comme l’a bien montré Freud en 1927 dans son livre Le malaise dans la culture, la richesse matérielle ne garantit pas le bonheur si elle n’est pas accompagnée par un épanouissement

rationalisme, par la relecture de l’histoire et des techniques, alimente la production théorique. Ses théoriciens interprètent de façon critique la rupture, qu’apportent la production industrielle et les techniques du « machinisme » régis par le capitalisme. En France, le traité d’architecture publié à partir de 1850 par de Léonce Reynaud, expose la théorie d’un développement structurel rationnel, et identifie toute construction « au domaine de l’architecture ». les premières réalisations de cette

traitant du capitalisme américain, depuis Burnham (1947) et Berle et Means (1968), jusqu’à Williamson (1985) et Chandler (1988 ; 1989 ; 1990), en passant par les travaux, en France, du courant de la régulation (Boyer 1986). Mais on connaît plutôt mal les réflexions — certes récentes et peu nombreuses — concernant le consumérisme, le volet « consommation » du même capitalisme américain (Campbell 1987 ; Strasser 1989 ; Tedlow 1990). Or ce dernier ensemble de travaux suggère que le terme de capitalisme est

résistances en France, en 1974. On a une vraie difficulté, car l'économie est une production positive, mais aussi négative car elle appelle à la consommation. Le retard n'est plus seulement politique et économique. Les sociétés sont entrées dans un capitalisme tardif, une forme qui intègre une production positive et négative. C'est une vraie difficulté, car c'est un retard économique complet. Toutes les sociétés européennes n'ont pas un tel retard. Seuls les Pays-Bas, le Luxembourg, et la Belgique pour

croissantes et "l'ascenseur social" est en panne. Les anciens pays socialistes, l'Afrique, l'Argentine plongent dans la pauvreté. De plus, la croissance est instable (bulle de la "net économie") et inégalitaire. Les Européens sont attachés à un "capitalisme rhénan" adapté à la mondialisation mais soucieux du social; dans les NPI, la revendication sociale grandit; la mondialisation est critiquée par des anti ou altermondialistes aux idées très diverses (anticapitalisme, écologie, solidarité, etc.)