Le Fanatisme Dans L Ingenu

relation entre sa physionomie et son caractère: « esprit simple », « sa physionomie annonçant son caractère ». Il décrit ses origines généalogiques: c'est un enfant naturel. Candide est un personnage naïf, incapable de dissimulation. Toutefois, il est ingénu mais pas sot: « il avait le jugement assez droit ». Cela laisse une perspective d'évolution, et montre qu'il est capable d'éducation et de progrès. Candide est en porte-à-faux au château, car il est discrédité et il n'appartient pas à la caste représentée

français du 18èmesiècle. C’est une figure emblématique de la philosophie des lumières. Il est l’auteur d’une vingtaine de contes philosophiques dans les plus célèbres sont l’Ingénu, Candide et Zadig. Son nom reste attaché à son combat contre le fanatisme religieux. -Œuvre : Titre / L’ingénu de Voltaire Style / Conte philosophique de l’époque des lumières Texte / C’est une œuvre satirique. On y trouve une critique à la fois sociale et religieuse. La question religieuse à l’époque de Voltaire était

Ingénu, chapitre 6 Biographie: Voltaire ne s'est jamais marié bien qu'il ait aimé. De son temps, l'Église condamne le concubinage. Situation du passage : * Le Huron et mademoiselle de st Yves se sont promis en mariage. Le soir l'ingénu entre dans la chambre de melle de st Yves pour « accomplir » sa promesse et l'épouser à sa façon. Plan : I- Un plaisant récit romanesque * Les débuts de l'intrigue romanesque * Les procédés du conte * Un récit divertissant II- Satire

au fatalisme et à l’injustice. En 1767, Voltaire écrit l’Ingénu (personne crédule et naïf) qui met en scène un jeune Huron (impoli) qui découvre les mœurs françaises dans la France entre 1689 et 1690. L’Ingénu critique l’esprit Français et le fanatisme religieux (intelligence aveugle). Voltaire à pour objectif de dénoncer les abus de Louis XV politiques comme religieux (janséniste = prennent le pouvoir) à travers le regard neuf (candide 1759) et naïf de l’ingénu. Il combine l’actualité de son

le « despote éclairé » et les années passées à la cour de Prusse se soldèrent par une brouille et une nouvelle déception. Désormais, il décide de s’engager sur tous les fronts : pour la liberté et la raison avec Candide (1759), puis contre le fanatisme et l’oppression avec l’Essai sur les mœurs aux côtés des Encyclopédistes. Indésirable en France, ce Parisien nostalgique ne sera jamais très loin de la capitale et il s’installera en 1760 près de Genève, à Ferney, qui deviendra le centre de l’Europe

réalisme, sanglant épique, épopée (gloire, courage) Point de vue interne (le lecteur ne sait/voit que ce que sait/voit le personnage) Extrait de Candide : CHAPITRE 6, L'AUTO-DA-FE Auto-da-fé = acte de foi, sacrifice → fanatisme religieux Sa se faisait au Moyen age (sorcières, Cathares, ''hérétiques''), au 16e siècle (Saint Barthélémy), au 16e/17e siècle (justice inquisitorial) Voltaire prend parti implicitement ''Le même jour, la terre trembla de nouveau.'' Il critique

parvient-il à dénoncer le fanatisme religieux ? I.AXES DE LECTURE I. La présentation des personnages Les personnages sont présentés successivement selon l'ordre d'entrée en scène. Tout d'abord, Candide est un élément important du premier paragraphe. Le narrateur établit une relation entre sa physionomie et son caractère: « esprit simple », « sa physionomie annonçant son caractère ». Candide est un personnage naïf, incapable de duplication ni de dissimulation. Toutefois, il est ingénu mais pas sot: « il

justement lié à ce régime monarchique est la question religieuse. Finalement, les réflexions du personnage principal en Basse-Bretagne permet d’en savoir plus sur l’appareil religieux injuste de l’époque, puisqu’il y arrive avec des yeux nouveaux : « [l]’Ingénu apporte du sang neuf dans la petite société provinciale et étriquée. » Déjà à son arrivée, une remise en question de l’application du texte sacré qu’est le Nouveau Testament se produit. Le Huron, ayant lu ce texte biblique au même titre que n’importe

occupe une place particulière dans la mémoire collective française et internationale. Figure emblématique de la France des Lumières, chef de file du parti philosophique, son nom reste attaché à son combat contre « l’Infâme », nom qu’il donne au fanatisme religieux, et pour la tolérance et la liberté de penser. Candide ou L'Optimisme, publication anonyme en 1759. Le texte que nous allons étudier se trouve au début du conte philosophique Candide de Voltaire. Ce conte est paru en 1759, alors que

courant en littérature : Montesquieu (1689-1755), Voltaire (1694-1778), Jean-Jacques Rousseau (1712-1778). La liberté de l’homme et la raison sont les mots d’ordre des philosophes. La religion? Beaucoup de philosophes de l’époque critiquaient le fanatisme et le conservatisme de l’Eglise. Les Jésuites font d’ailleurs l’objet de beaucoup de critique de la part des philosophes des Lumières. Les cérémonies n’étaient pas la meilleure façon de prouver à Dieu qu’on l’aimait. La tolérance et l’humanisme l’étaient