Le Fantôme de la rue Morgue

cousin et mari de la Thérèse du même nom, je suis un être faible de par ma taille, mon tempérament et ma repartie. On me dit souvent que je suis frêle et chétif et que ma naïveté est égale a celle d’un enfant de dix ans. Lorsque l’on me croise dans la rue, lors de mes rares sorties en ville, mon physique révèle mon caractère, maigre, petit et frêle voila ce que les passants voient de moi. Mon allure languissante, mes cheveux d’un blond fade, ma barbe mal taillée et mes taches de rousseur révèle mon manque

cholera, rabies, suicide (although likely to be mistaken with his suicide attempt in the previous year), tuberculosis, heart disease, brain congestion and other agents. Source: Wikipedia Disponible sur Feedbooks pour Poe: • Double Assassinat dans la rue Morgue (1841) • Le Scarabée d’or (1843) • Silence (1837) • La Lettre Volée (1844) • Le Sphinx (1846) • La Chute de la maison Usher (1839) • Aventure sans pareille d'un certain Hans Pfaal (1835) • Le Cœur révélateur (1843) • Hop-Frog (1850) • Bérénice (1835)

réalité, le rattachant donc au thème du réel. Nous aborderont maintenant les thèmes important pour le réalisme, premièrement les corps, comme il a été dit plus tôt, les corps sont décrit avec une grande précision comme par exemple au chapitre 13 à la morgue, lorsque Laurent identifie Camille, le champ lexical du corps est utilisé et tout son corps est décrit, de haut en bas, il va également décrire les textures et les couleurs. Deuxièmement, l’argent. L’argent est utilisé à plusieurs moments dans le

Dans ce texte, nous voyons la description réaliste d'une rue: L'auteur à fait en sorte que le narrateur puisse se projeter dans la rue à travers ses yeux grâce a des précisions spatiales, temporelles puis il s'efface petit à petit avec des tournures impersonnelles. Tout d'abord nous pouvons voir dans ce texte différentes précisions spatial introduites par l'auteur comme les noms des rues bordant le pont-Neuf « au bout de la rue Guénégaud, lorsqu'on vient des quais » l1-2, qui nous permettent

des hommes de cette époque travaillent comme ouvriers dans de grandes administrations. Schéma narratif de l’histoire Situation initiale : La famille Raquin vit à Vernon, Camille décide de retourner à Paris et épouse Thérèse quand elle a 21 ans, rue du Pont-Neuf ↓ Elément perturbateur : Retrouvailles de Camille et Laurent, un ami d’enfance ↓ Relation amoureuse entre Thérèse et Laurent et rencontres dans la mercerie, en présence du chat François, pendant 8 mois ↓ Plus de relations pendant

peintre en 3 tableaux Une scène de rue la nuit Tableau de la boutique en journée Une scène de genre Ne pas mettre I ou 1) devant les paragraphe, regarder comment la prof l'a fait sur la feuille donné ! Problématique: Comment l'écriture naturaliste peut donner un deuxième sens à cette incipit ? Dans ce texte, nous voyons la description réaliste d'une rue: L'auteur à fait en sorte que le narrateur puisse se projeter dans la rue à travers ses yeux grâce a des précisions

époque. La vision du monde exprimée par les auteurs naturalistes est en général très pessimiste. 3 Résumé de chaque chapitre. Chapitre 1: Dans ce premier chapitre, l’action se déroule à Paris dans le passage du Pont-Neuf qui relie la rue Mazarine à la rue de Seine. L'auteur y fait la description de la mercerie de Mme Raquin et de Thérèse, de leur habitudes quotidiennes (la banalité). Il nous présente aussi d'autres personnages du Pont-Neuf qui restent anonymes (une jeune femme, une vieille dame

Résumé de chaque chapitre du livre Thérèse Raquin | CHAPITRE 1 : exposition : L’action se déroule à Paris, près des bords de Seine, du côté de la rive gauche, dans le passage du Pont-Neuf qui relie la rue Mazarine à la rue de Seine. La date n’est pas précisée. Description du passage, de son atmosphère, des boutiques, et plus particulièrement d’une boutique de mercerie (au nom de Thérèse Raquin) et de l’étage d’habitation. Présentation successive des occupants qui restent anonymes (une jeune

du Pont-neuf, un endroit sombre et humide. Thérèse n’aima pas mais ne le dit pas. Un peu après être installés ils organisèrent, le jeudi soir, une soirée thé avec monsieur Michaud, un ami de mme Raquin, qu’elle avait rencontré le jour même dans la rue, Olivier et sa femme, Suzanne, le fils de Michaud, monsieur Grivet, un des supérieurs de Camille et Laurent, un ami d’enfance de Camille. Thérèse n’aima pas ces soirées. Laurent parla de son histoire, il demanda à Camille s’il pouvait faire son portrait

éléments qui permettent d’ancrer le roman dans un contexte réel et contemporain (lieux, métiers, situations…) et analysez l’effet produit. Les premières lignes du roman ancrent immédiatement l’intrigue à Paris : « Au bout de la rue Guénégaud », « de la rue Mazarine à la rue de Seine » (p. 17). L’insistance sur l’éclairage diffus (« trois becs de gaz », p. 18 ; « lampe munie d’un abat-jour », « deux lampes à schiste », « une bougie, plantée au milieu d’un verre à quinquet », p. 19) rend bien compte