Le Feu Henri Barbuss

au XXème siècle: Électre (Giraudoux) Les inspirations romaines du fascisme italien BD et dénonciation politique (Iran, Kossovo, etc...: choisir une oeuvre) 1914-1918 : les écrivains dénoncent les conditions de la Grande Guerre : Le Feu (Henri Barbusse, 1916) ; Les Croix de bois (Roland Dorgelès, 1919) ; À l’Ouest, rien de nouveau (Erich Maria Remarque, 1928) ; Voyage au bout de la nuit (Céline, 1932, 100 premières pages) ; J’ai saigné (Blaise Cendrars, 1938) ; La Main coupée (Blaise

naturalisme s'insèrent dans le mouvement : aux États-Unis, Stephen Crane publie Maggie, fille des rues (1893). Une dernière phase du naturalisme commence enfin vers 1900, pour se prolonger peut-être jusqu'à la Première Guerre mondiale (Henri Barbusse, Le Feu, 1915). En 1900, Theodore Dreiser commence, avec Sœur Carrie, une carrière littéraire qui va faire de lui un représentant éminent du naturalisme nord-américain, et Thomas Mann publie, en 1901, Les Buddenbrook. En Amérique latine, on relève

naturalisme s'insèrent dans le mouvement : aux États-Unis, Stephen Crane publie Maggie, fille des rues (1893). Une dernière phase du naturalisme commence enfin vers 1900, pour se prolonger peut-être jusqu'à la Première Guerre mondiale (Henri Barbusse, Le Feu, 1915). En 1900, Theodore Dreiser commence, avec Sœur Carrie, une carrière littéraire qui va faire de lui un représentant éminent du naturalisme nord-américain, et Thomas Mann publie, en 1901, Les Buddenbrook. En Amérique latine, on relève

Jean-Paul Sartre(1945) ou Les Communistes (1949-1951)de Louis Aragon. Parallèlement le roman va se nourrir des différentes expériences de la vie de chacun en mettent au jour des itinéraires singuliers, que ce soit à travers la guerre avec Henri Barbusse (Le feu, 1916) ou Roland Dorgelès (Les croix de bois, 1919), l’adolescence avec Alain-Fournier (Le Grand Meaulnes, 1913), Romain Rolland (Jean-Christophe, 1903-1912) ou Raymond Radiguet (Le diable au corps, 1923), la condition féminine avec Colette

L'Homme que j'ai tué – J'accuse – Johnny s'en va-t-en guerre – Fusillés pour l'exemple Chansons La Butte Rouge – Le Déserteur – La Chanson de Craonne – Non, non, plus de combats – Give Peace a Chance Livres Les Damnés de la Guerre Auteurs Henri Barbusse – Didier Daeninckx – Jacques Tardi – Jean Giono – Roger Monclin Historiens Guy Pedroncini – Frédéric Rousseau – Rémy Cazals – Nicolas Offenstadt – Denis Rolland – Nicolas Mariot – Jean-Jacques Becker – Annette Becker – André Bach – Stéphane

au naturalisme s'insèrent dans le mouvement : aux États-Unis, Stephen Crane publie Maggie, fille des rues (1893). Une dernière phase du naturalisme commence enfin vers 1900, pour se prolonger peut-être jusqu'à la Première Guerre mondiale (Henri Barbusse, Le Feu, 1915). En 1900, Theodore Dreiser commence, avec Sœur Carrie, une carrière littéraire qui va faire de lui un représentant éminent du naturalisme nord-américain, et Thomas Mann publie, en 1901, Les Buddenbrook. En Amérique latine, on relève

Romains, la Chronique des Pasquier (1933-1945) de Georges Duhamel ou encore des œuvres plus complexes comme Les Chemins de la liberté de JeanPaul Sartre (1945) ou Les Communistes (1949-1951) de Louis Aragon. Henri Barbusse néraires singuliers, que ce soit à travers la guerre avec Henri Barbusse (Le feu, 1916) ou Roland Dorgelès (Les croix de bois, 1919), l’adolescence avec Alain-Fournier (Le Grand Meaulnes, 1913), Romain Rolland (JeanParallèlement le roman va se nourrir des différentes ex- Christophe,

victimes de guerre, Mesdames, Messieurs, 11 novembre 2010, 92ème anniversaire de l’armistice du 11 novembre 1918 qui mit fin à la première guerre mondiale entre les peuples d’Europe et du monde … Sur le front, les clairons entament les « cessez-le-feu », « levez-vous», « au drapeau » de rigueur. Dans les tranchées, la Marseillaise jaillit à pleins poumons… C’est la fin de la guerre…L’Armistice vient d’être signé à Rethondes… En 4 années 1800000 allemands, 1600 000 français, 1500000 turcs, 800 000

des soldats, les hommes refusent, les femmes restent le « sexe faible ». Certains vont alors accuser les femmes d’avoir profité de la guerre pour acquérir un nouveau statut. L’écrivain Henri Barbusse condamne le caractère parfois trop joyeux de la vie à l’arrière du front, en faisant dire à l’un des personnages du Feu, « Y a deux pays. J’dis qu’on est séparés en deux pays étrangers : l’avant tout là-bas où il y a trop de malheureux ; et l’arrière ici où il y a trop d’heureux ». En 1918, lorsque les

font que le lecteur s’identifie plus à la scène décrite. Cette compassion accordée à l’auteur du fait qu’il a vécu la scène est très importante dans la persuasion du lecteur. Par exemple, « Si c’est un homme » de Primo Lévi ou encore « Le Feu » de Henri Barbusse concernent tous les deux la guerre et ses horreurs, et tout deux nous dressent le portrait très précis du combat quotidien de la survie dans un camp de concentration dans un cas et des horreurs des tranchées dans l’autre. Ainsi, le récit