Le Financement Du Commerce International Par Le Credit Documentaire

acquises ailleurs et s’est vu doter rapidement d’établissement de crédit répondant aux besoins de son économie. Le contrôle de l’activité bancaire s’exerce par un ensemble d’organes dont les compétences sont définies de façons précises par la loi bancaire de 1967 il s’agit essentiellement du ministère des finances et de BANK AL MAGHRIB dont les pouvoirs de règlement et de contrôle sont complétés par le rôle consultatif du comite de crédit et du marché financier, et la mission de coordination et de

 Financement de l’entreprise La bourse, les crédits et les outils de financement 2DA2 - Sophie Jacquemin Table des matières Chapitre 1 : la bourse 2 BEL20 : composition et évolution sur le dernier semestre 2 KBC Equity Fund – Strategic Telecom & Technology 5 Evolution d’actions individuelles 8 Chapitre 2 : les crédits 16 KBC : Crowdfunding et crédit de caisse 16 Le prêt Business Angel 18 Delhaize Group et son activité à l’international 20 Chapitre 3 : les outils de financement 23 Le crédit documentaire

qu’il m’a fait vivre durant ces deux mois au sein de la banque. PREMIERE PARTIE : Présentation de la structure organisationnelle de la BPCS Chapitre I : Présentation du Groupe Banques Populaires I- Le Crédit Populaire du Maroc 1- Présentation du CPM Le Crédit Populaire du Maroc (CPM) est un groupement des banques à caractère coopératif constitué de la Banque Centrale Populaire (BCP) d'une part et de 11 Banques Populaires Régionales (BPR) dont le capital est détenu par des clients

LE FINANCEMENT DU COMMERCE INTERNATIONAL : LE TRAITEMENT DU CREDIT DOCUMENTAIRE PLAN INTRODUCTION 1/ LA DEFINITION DE CREDIT DOCUMENTAIRE ET CARACTERES GENERAUX 2/ LE FONCTIONNEMENT OU LE DEROULEMENT DU CREDIT DOCUMENTAIRE 3/ LES FORMES DE CREDIT DOCUMENTAIRE. 4/ LES DIFERRENTS MODE GENERAUX DE REALISATION DES CREDOCS 5/ LES DOCUMENTS COMMERCIAUX 6/ LES AVANTAGES ET LES INCONVENIENTS

l’entreprise Introduction…………………………………………………..21 Financement des besoins cycliques d’exploitation………………………………………………….21 Financement de la phase production…………21 Financement de la phase commercialisation…………………………………..25 Financement des marchés………………………..27 Les crédits par signature…………………………..28 Les opérations du commerce extérieur……....33 Conclusion……………………………………………………….38 Partie III : L’intervention de la banque dans le financement du développement de l’entreprise Introduction…………………………………………………

services de la BMCI : 22 • Les comptes 23 • Les packages 25 • Les cartes 26 • Les crédits 27 ❖ Conclusion 29 ❖ Annexes 30 ❖ Bibliographie INTRODUCTION : Le secteur

1 INTRODUCTION : PRESENTATION D’UNE OPERATION DU COMMERCE INTERNATIONAL Aujourd’hui, de plus en plus d’entreprises marocaines et étrangères entretiennent des relations commerciales avec l’étranger. Ces relations peuvent prendre la forme d’un achat (acte d’importation) ou d’une vente (acte d’exportation). Nous allons nous intéresser à une importation marocaine. Une entreprise italienne dont l’atelier de fabrication est situé à Milan a conclu un accord avec une entreprise marocaine installée à

site www.inforisk.fr. • En suivant de près les notations établies par les assurances-crédit (Euler-Hermès, COFACE...). II] Le Choix d’une couverture a) Les règles générales pour choisir une technique de protection: L'entreprise dispose de deux grands types de choix pour se protéger du risque de non-paiement : - Soit elle se tourne vers des mesures de couvertures « internes » tels que le crédit documentaire => l'engagement pris par la banque de l'importateur de garantir à l'exportateur le paiement

mise en place (Fonctionnement) * Acteurs * Types ou formes III. ASSURANCE CREDIT * Définition * contexte et objectif * Mécanismes ou Etapes de la mise en place (Fonctionnement) * Acteurs * Types ou formes IV. ETUDE COMPARATIVE V. CONCLUSION INTRODUCTION Le commerce international présente des besoins originaux à cause des risques liés aux rapports internationaux. L’originalité de ses besoins tient au conflit d’intérêt existant entre le vendeur-exportateur

d'un accord stand-by avec le FMI (Fond Monétaire International) en avril 94, la libéralisation du commerce extérieur s'est renforcée davantage se traduisant par la suppression progressive de toutes les mesures administratives de protection de la production nationale. Cela étant d'un côté, les opérateurs économiques ont eu la possibilité de réaliser des opérations du commerce extérieur aux seules conditions de s'inscrire au registre de commerce et de satisfaire les règles de bancabilité édictées