Le Fordisme Et Le Toyotisme

scientifique du travail O.S.T), base de la deuxième Révolution Industrielle au XXe siècle, est une méthode de gestion et d'organisation des ateliers de production, elle est aussi communément appelée taylorisme et fut poussée à l'extrême dans le fordisme. L'OST a conduit à une division extrême du travail, la parcellisation des tâches, en forçant les ouvriers et les employés à ne devenir que de simples exécutants dans d'immenses entreprises mécanisées Taylor a ainsi introduit dans le monde du travail

dés 1939, puis en 1998 de la semaine de 35h par Martine Aubry. Responsabilité patronale dans le cadre des accidents du travail. Différence entre les positions au niveau du travail. Baisse de la pénibilité du travail, Remise en cause du Tayloro-fordisme, analyse de Simone Weil qui fait l'expérience de l'usine : cf « Journal d'usine ». Cette remise en cause a été faite au profit d'un travail + qualifié, dans le travail de bureau. Travail devient polyvalent, remise en cause de certaines fonctions

matière d’organisation et qui sont perçues par leurs auteurs comme des références. En ce qui nous concerne, nous allons développer deux modèles organisationnels de référence très largement répandus dans les entreprises. Il s’agit du Taylorisme et du Toyotisme. 1 – Le Taylorisme Plus connu sous le sigle de l’OST (organisation scientifique du travail) le modèle organisationnel développé par F.W. Taylor (1856-1915) est fondé sur les principes suivants : Une division fonctionnelle du travail fondée sur

exploiter l’OST  Il crée la 1ère voiture accessibles aux ouvriers et ils augmentent les salaires pour que les ouvriers puissent l’acheter, & ça marche ! Grace a l’OST, le temps de fabrication d’une automobile passe de 12H a 1H30. Ce phénomène, appelé fordisme, est un élément important de la RI. Le taylorisme entraine d’importants gains de productivité. Ces gains entrainent premièrement, une hausse des salaires ainsi qu’une baisse des prix, par conséquent, une augmentation du pouvoir d’achat. Mais ils

même parfois se substituer au travailleur. Le progrès technique est constitué d’une part du progrès technologique (nouveaux produits, nouveaux procédés de fabrication, nouvelles technologies, et surtout les progrès organisationnels : fordisme, taylorisme, toyotisme). Schumpeter : croissance par le progrès techniques, les grappes d’innovations. Pour lui, la croissance économique s’explique essentiellement par l’action du progrès technique. L’irrégularité de ce progrès technique qui justifie les irrégularités

Le  Néo  Taylorisme       Le  taylorisme  n’a  pas  disparu.  Il  est  réapparu  après  la  crise  du  fordisme  durant  les   Trente  Glorieuses  sous  une  nouvelle  forme  :  le  néo-­‐taylorisme.  Il  a  su  s'adapter  aux   avancées  technologiques  et  morales  du  monde  de  l’entreprise.  Le  néo-­‐taylorisme  s’est   beaucoup  développé  depuis

de l’exode rural Essor du monde ouvrier Urbanisation alphabétisation Deuxième révolution industrielle Pétrole Electricité Moteur à explosion Moteur électrique Industrie électrique Chimie Biens de consommation Automobile Avion Tramway électrique Fordisme Essor des emplois de bureau Début de la mécanisation des campagnes Essor des classes moyennes Début de la consommation de masse Grandes lois sociales Les cycles de Kondratiev ou les mouvements de longue durée = Alternance de phases de croissance

est aussi favorable à l’emploi. Le progrès technique a aussi des effets qualitatifs À court terme • Le progrès technique modifie le niveau des qualifications, à la baisse (ce fut le cas du taylorisme et du fordisme) ou à la hausse (nouvelles technologies, polyvalence du toyotisme). • Il modifie aussi les conditions de travail, en les améliorant : élimination des tâches les plus pénibles ou dangereuses (ateliers de peinture dans l’industrie automobile…). • Le progrès technique peut dégrader

Toyota : L’industrie automobile actuelle dans sa quasi-totalité utilise l’organisation du travail dite d’inspiration Toyotiste qui a succédé au fameux système Fordiste, lui-même hérité de l’organisation scientifique du travail de Taylor. Le Toyotisme a été imaginée par l’ingénieur japonais Taiichi Ohno, employé de Toyota dans les années 60. Son application par son employeur dans les années 70 a permit à Toyota de résister mieux que ses concurrentes lors de la crise pétrolière de cette décennie

productifs, est depuis longtemps l’objet de fortes inquiétudes. Lors du développement de la Révolution Industrielle, la mécanisation provoque d’importants rejets de la part du mouvement ouvrier. Au début du siècle, l’introduction du Taylorisme et du Fordisme se heurte à de vives contestations syndicales. Aujourd’hui encore, ces craintes sont ravivées par l’extension des nouvelles technologies. Pour un bon nombre de nos contemporains, c’est d’ailleurs dans le développement sans cesse croissant du Progrès