Le Garçon aux cheveux verts

 le paysage était recouvert d’un épais manteau blanc. le  soleil était de la partie ce  matin, il  réchauffait doucement la jeune fille. Un peu éblouie, elle ferma  un  instant  ses  délicats  yeux  verts…  Sarah  adorait  se  promener  l’hiver  car  le  paysage  calme  permettait de  se  reposer. Ce matin là, quand elle s’était levée, elle avait coiffé ses longs cheveux,  et  essayé  de  les  attacher  tant  bien  que  mal.  Ses  magnifiques  boucles  brunes  étaient  désordonnées,  mais  cela  rajoutait  un  petit  air  champêtre 

dessinateurs de caricature, des masturbateurs chroniques, des adolescents masculins, des enfants des petites villes, des amoureux des tortilla chips et de la salsa, des occidentaux du nord, des pauvres, des groupes funéraires, des fils bien-aimés, des garçons qui réalise que leur meilleur ami leur manque * Frapper dans le front par quelqu’un de la foule ; soigner mais veut continuer * Yucker (se lève pour shooter) * Doit être égocentrique * Interviewer avant son 2ème match de basket

ouverts tandis que la lumiére des néons du plafond me brûle la rétine de leur lumières éblouissantes. Une silhouette noire passe devant la lumiére et l'image d'un homme apparaît enfin à mes yeux. Il est en costume blanc, de taille moyenne et a les cheveux d'une couleur rouge feu. Il me tourne autour puis redresse la chaise en veillant à ce que je reste bien dessus. Je suis trop K-O pour me jeter sur lui et lui demander ce que je fais là alors je me contente de me laisser faire. Après m'avoir relevée

nouvelle maison. Le lendemain je fus réveillée par mon réveil il était 7h, je me levais, m'habillais d'un t-shirt blanc et d'un sous pull bleu marine, enfilais mon jean slim bleu (bleu jean) et de mes ballerine bleu craie. Je me coiffais : j'avais les cheveux courts en carré plongeant roux. Je pris mon sac déjeunais et partis. Ma tante avait voulu m'accompagner mais je lui avais dis que je préférais marcher, ma tante était un peu spéciale elle s'habillait toujours comme les fées tout droit sorties d'un

pommes sures, L'eau verte pénétra ma coque de sapin Et des taches de vins bleus et des vomissures Me lava, dispersant gouvernail et grappin. Et dès lors, je me suis baigné dans le Poème De la Mer, infusé d'astres, et lactescent, Dévorant les azurs verts ; où, flottaison blême Et ravie, un noyé pensif parfois descend ; Où, teignant tout à coup les bleuités, délires Et rythmes lents sous les rutilements du jour Plus fortes que l'alcool, plus vastes que nos lyres, Fermentent les rousseurs amères de l'amour

joujoux, Bonbons habillés d'or, étincelants bijoux, Tourbillonner, danser une danse sonore, Puis fuir sous les rideaux, puis reparaître encore ! On s'éveillait matin, on se levait joyeux, La lèvre affriandée, en se frottant les yeux… On allait, les cheveux emmêlés sur la tête, Les yeux tout rayonnants, comme aux grands jours de fête, Et les petits pieds nus effleurant le plancher, Aux portes des parents tout doucement toucher… On entrait !… Puis alors les souhaits… en chemise, Les baisers répétés, et

pommes sures, L'eau verte pénétra ma coque de sapin Et des taches de vins bleus et des vomissures Me lava, dispersant gouvernail et grappin. Et dès lors, je me suis baigné dans le Poème De la Mer, infusé d'astres, et lactescent, Dévorant les azurs verts ; où, flottaison blême Et ravie, un noyé pensif parfois descend ; Tous droits réservés Où, teignant tout à coup les bleuités, délires Et rhythmes lents sous les rutilements du jour, Plus fortes que l'alcool, plus vastes que nos lyres, Fermentent

à l’œil qu’il s’assit sur le siège dernier cri que l’entreprise lui avait commandé. Ce siège était doté d’une vingtaine de boutons de commande. On pouvait par exemple l’utiliser comme Talkie-Walkie, comme distributeur de boissons, comme brosse à cheveux, ou même comme pédicure. Innocent ne revenait pas de l’utilité de ce siège, il trouvait cela extrèmement important ! Il décida donc d’en commander un dès qu’il en aurait les moyens. C’est sa Iolanthe qui sera heureuse ! Sa douce et tendre Iolanthe

signe de tête hautain, la Pervenche, Vinca aux yeux couleur de pluie printanière, répondit qu’elle allait, en effet, à la pêche. Son chandail reprisé en témoignait et ses espadrilles racornies par le sel. On savait que sa jupe à carreaux bleus et verts, qui datait de trois ans et laissait voir ses genoux, appartenait à la crevette et aux crabes. Et ces deux havenets sur l’épaule, et ce béret de laine hérissé et bleuâtre comme un chardon des dunes, constituaient-ils une panoplie de pêche, oui ou non

salientes y las pupilas blancas . Christ brun changé de lys de Judée en œillet d’Espagne. Voyez-le qui s’avance ! Voyez-le qui s'en va ! D’Espagne Ciel limpide et obscur, terre grillée, fossés où coule, très lentement, l’eau. Christ brun, aux longs cheveux brûlés, aux pommettes saillantes et aux pupilles blanches. V. Memento – Mémento Cuando yo me muera enterradme con mi guitarra bajo la arena Cuando yo me muera entre los naranjos y la hierba buena. Cuando yo me muera enterradme si que querèis en una