Le Gène égoïste

fait appel à la tendance des gènes soustendant les comportements à s’auto-reproduire. Dans son ouvrage, « Le gène égoïste », Dawkins (2003) redéfini la théorie de l’évolution au niveau non plus de l’individu, mais du gène. Il eut une grande influence en promouvant la théorie du gène égoïste, union des théories de la génétique mendélienne et de l’évolution Darwinienne. Selon celle-ci, c’est le gène, unité de base de l’information, et non l’individu qui est sélectionné en fonction de sa capacité à survivre

génétiquement : apparentés. On peut alors parlé de théorie de sélection de parentèle, qui vise à préserver un génotype, plutôt qu'un individu. Ce qui n'est en soit pas nouveau car le néo darwinisme a expliqué que chaque adaptation était due à la mutation d'un gène. Cette théorie de la sélection de parentèle, basé sur les comportements altruiste, sera réellement exposé par Hamilton dans les années 1960 : L'altruisme implique un coût pour celui qui donne et un bénéfice pour celui qui reçoit. Hamilton annonce

« L’éventail du vivant : le mythe du progrès »., une réflexion magnifique sur le sens de la vie, du monde et des choses. Richard Dawkins, autre grand vulgarisateur de l'évolutionnisme: Deux livres sont disponibles en poche: - « Le gène égoïste » chez Odile Jacob -la première édition date des années 70,il est le premier a insister sur le fait que les organismes vivants ne sont que des porteurs de gènes et que leur transmission est la seule contrainte évolutionniste. Il fait un parallèle

dédommagements, de l’utiliser sexuellement sans son consentement, de s’approprier ses biens, de l’humilier, de lui infliger des souffrances, de le martyriser et de le tuer. Konrad Lorentz : Les êtres sont naturellement agressifs. Richard Dawkins : « le gène égoïste » : les conduites qui passent pour les plus neutres... visent à la reproduction des gènes : aux productions de soi (soi en tant que modèle). 2.3 Conséquences sociales et théories naïves Représentation de l'enfance et pratiques éducatives délétères

l’instinct de survie. En effet, selon la sélection naturelle, les espèces ayant le meilleur succès reproductif sont favorisées car les descendants pourront se reproduire à leur tour. Il paraît donc logique que la plupart des comportements observés sont égoïstes et que les membres d’une espèce sont en perpétuelle compétition pour permettre la survie et un succès optimal de la reproduction individuelle. Or, il existe de nombreux comportements collaboratifs, des actions censées aider d’autres individus, qui

lesquelles cette assistance semble requise. Nous distinguons deux types de comportement : 1. Comportement d’aide altruiste (désintéressé), 2. Comportement d’aide instrumental (égoïste). Ce dernier peut être engendré lorsque l’esquive semble impossible (Batson, 1991), lorsque survient le désir égoïste de supprimer la gêne que la vue de la souffrance suscite ou pour l’effet positif de l’approbation sociale (Decety, 2010). En ce qui concerne le premier type de comportement, il est important de souligner

jusqu'au bout, seul les individus ayant des cmpts égoiste vont aovir du succès. On constate par contre que c'est rarement le cas, on a plein d'exemples autant chez l'homme que chez les animaux de cmpts altruiste. Il y a 4 niveaux d'intercations sociales entre les individus qui dépendent des couts et bénifice du succès reproducteur, à la fois pour l'émetteur et l'autre. 1- Cmpts qui avantage les 2 parties 2- Aide un partie seulement, altruiste 3- Égoiste: aide un partie et désavantage l'autre (un

problématique du premier serait : Comment La Bruyère réalise-t-il le portrait satirique d’un égoïste ? Il fallait montrer comment après l’énoncé de la règle à illustrer (1re phrase), La Bruyère passait du particulier au général tout en recourant à l’amplification, avec une reprise de la règle de départ, mais énoncée de manière hyperbolique (dernière phrase). 1.Un glouton répugnant 2.Un parasite sans-gêne 3.Un être égocentrique Le second forcément plus ambitieux : La problématique du second serait

permettent d'avoir une vue d'ensemble : Quel est le sujet du texte ? Quelle est la forme dominante ? Quel est son sens ? Ce qui se résume à : Quoi ? Comment ? Pourquoi ? Le sujet est un portrait "chargé" de Gnathon, stéréotype du privilégié sans gêne, égoïste et glouton. La forme est celle du portrait, c'est-à-dire de la description, au présent d'habitude qui prend une valeur de présent de vérité générale. Le sens est la satire par la caricature pour dénoncer la conduite détestable des nobles qui

fait mal ! Il vit une douloureuse alternance d’euphorie (quand l'objet de la passion est là) et de manque (quand l'objet de la passion n'est pas là). Avant la passion, l’être humain est égoïste. Il s’est consolidé en développant des moyens de "profiter" de la vie sans se soucier des autres. La personne égoïste ne souhaite de mal à personne (ni de bien d’ailleurs). Mais elle se moque totalement des conséquences sur autrui que causeront les avantages qu’elle s’octroie à elle-même. Bien que ce ne