Le Grand Ennemi De L Art C Est Le Bon Goût Duchamp

L.H.O.O.Q le tableau “L.H.O.O.Q.” est un portrait d'une femme,parodiant le très connu chef-d'oeuvre “La Joconde” Marcel Duchamp ajoute a la femme une barbe et une moustache qui s'est imspiré du tableau de la Joconde. Duchamp a travers ce tableau nous montre les points communs entre les deux artistes, ils avaient tous les deux une passion pour les anagrammes et jeux de mots Il ne s'agit pas que d'une simple provocation,mais aussi le fait que la Joconde ressemble plus a un homme qu'une

Marcel Duchamp né en Seine maritime en 1887 est le troisième de six enfants appartenants à une famille d’artistes. Ses deux frères aînés Raymond Duchamp-Villon, Jacques Villon et sa sœur Suzanne Duchamp, furent des artistes de renom, son père avait également une certaine réputation, c’est donc naturellement que le jeune Marcel Duchamp se lança dans la peinture. Ses frères fondent en 1911 le Groupe de Puteaux avec des artistes d'inspiration cubiste comme Fernand Léger ou Robert Delaunay, Albert

forcément. A la question « Qu’est-ce que le beau ? » Emmanuel Kant répond dans la critique de la faculté de juger ce qu’est le beau car il fait l’objet d’un jugement de goût, avant tout, désintéressé. C’est alors que nous pouvons nous demander si la beauté de l’art dépend du jugement que l’on porte sur une œuvre. Nous verrons que beauté et art sont parfois indissociables mais que l’art, pour certains artistes, n’a rien à voir avec l’esthétique et puis que la beauté étant une notion subjective la perception

L’éloge de l’ennui - L’art et la vie confondus - A l’origine du mouvement Fluxus - Faire œuvre de l’environnement Par Jacques Amblard, musicologue - « Un infiltré » dans le monde musical ? - 4’33’’ Bibliographie Actualité John Cage JOHN CAGE, D’UN ART À L’AUTRE Par Norbert Godon, plasticien John Cage, connu comme compositeur, rassemble une œuvre dont l’influence s’étend au-delà du seul champ musical, creusant le lit des courants artistiques d'après-guerre tels que le mouvement Fluxus et préfigurant

Histoire de l’art 14 décembre : Devoir d’1h. Analyse de plusieurs œuvres. Beaux-arts : peintures, sculptures, architectures. Un art devait être forcément beau. Maintenant on ne parle plus de beaux-arts mais d’arts plastiques. Le critère premier pour définir une œuvre d’art de nos jours est le critère d’originalité. Le Néoclassicisme entre 1760 et 1800 : Apparu en réaction à l’art rococo. Contexte : Herculanum (1738) et Pompéi (1763) : 2 sites qui ont beaucoup d’importance et de répercussions

terminée (1981) 3 Table des matières Présentation de l’œuvre et de l’auteur Du même auteur Introduction I. Commencement et fin de l'histoire de l'art 1. La mort hégélienne de l'art 2. Le déclin de l'art occidental selon Spengler 3. L'anti-art 4. Marcel Duchamp, l'inceste et le meurtre 5. Fluxus : l'art Selavy 6. La négativité dans la peinture 7. Une scolastique artistique 8. La critique situationniste 9. Ceux qui cessent 10. La mort 11. L'obsession muséographique II. Hygiène de l'art 1. Hygiène de

est donné par l’expérience, existe indépendamment de l’esprit, par opposition au sujet qui pense. Le sujet et l’objet… Le Petit Robert, édition mai 1998 La collection d’œuvres de l’Artothèque contient un grand nombre de pièces (600), chacune faisant appel à différentes techniques (photographie, dessin, lithographie, sérigraphie, gravure, huile, encre…). Dans quelques cas la technique est mixte (photo et lithographie, peinture et lithographie, collage et

l'Académie des Beaux - Arts d'Amsterdam où il commence par créer des paysages des plus réalistes. Petit à petit, il attrape un penchant pour le fauvisme et le divisionnisme en utilisant les couleurs pures dans ses peintures. Ayant toujours eu le goût pour les lignes horizontales et verticales, il s'intéresse au cubisme et part à Paris où il rencontre plusieurs artistes, dont Cézanne et Picasso. Il va donc se livrer à des abstractions pour ensuite mettre des lignes noires et des couleurs rouges

d'une communauté désemparée, ni le public ; tous certains que l'art devait résoudre la crise en édifiant les foules ou en soignant les âmes. La fin des couleurs, le retour au beau et vieux métier, l'importance attribuée au dessin, la revendication d'un art pour tous, l'appel à un « nouvel humanisme » et au sacré, le retour au portrait, la convocation d'une identité française : tout cela germe en amont de la catastrophe, mais dérape plus d'une fois dans un contexte de crise favorable à toutes les dérives

de la création. A cela s'oppose donc les prétentions romantiques ou lyriques, célébrant un au-delà aux idéaux absolus, éternels, mais donc immobiles, et ainsi, morts, selon Nietzsche. La poésie du modeste et du quotidien se veut le contrepied des grands poètes du prétentieux et de l'exceptionnel. La poésie du concret, du présent vivant et donc du changement s'oppose alors à celle de l'abstrait, du passé mort, de l'immobilité de l'idéal. Les poètes modernes doivent avoir la volonté d'atteindre la