Le Grand Pardon

prise de parole extrêmement rare donne la possibilité à monsieur Bark d’avouer ce qu’il a fait. Le poids de la culpabilité et le besoin de pardon (catharsis) : La douleur de Monsieur Bark prend le dessus à cause de la vie ravagé et enterré de Monsieur Linh. Il s’exprime avec douceur et mêle ses mots aux larmes. Seuls les sanglots demeurent une demande de pardon et une autoaccusation. Cette confession le soulage et permet l’évacuation du poids qui obstruait son âme. Monsieur Bark a besoin de cette

ne sortent pas et n'ont aucun contact avec le monde extérieur, ils font partit du clergé régulier. Cluny joue un rôle extrêmement important dans toute l'Europe médiévale, premièrement par sa position stratégique, qui lui permet d'être au centre des grands centres de la religion chrétienne. De plus, Cluny acquiert. Au XIIème siècle un statut plus important, de part ses autres monastères et couvents affiliés, En 1059, Cluny compte 70 établissements. Un autre fait qui favorise l’extension de cette abbaye

sur le grand écran est largement récompensée : Les Chariots de feu (4 oscars), Million Dollar Baby (4 oscars), Raging Bull (2 oscars), L’Arnaqueur (2 oscars), Sang et Or (1 oscar), ou encore Coup de tête (1 César). Puisés ou non dans la réalité, les films sur le sport ont, pour la majorité, des messages forts à transmettre : le dépassement de soi, la réconciliation avec soi-même et avec les autres, le pardon. Un je-ne-sais-quoi qui nous donne des frissons. Incarnés par des grands comédiens

prendrait plus. Jean de La Fontaine (né le 8 juillet 1621 à Château-Thierry, et mort le 13 avril 1695 à Paris) est un poète français de grande renommée, principalement pour ses Fables. Il a aussi écrit des poèmes divers, des pièces de théâtre et des livrets. Il est reçu à l'Académie française en 1684. Les Fables de La Fontaine sont toujours considérées comme un des plus grands chefs-d’œuvre de la littérature française. Dans ces fables La Fontaine avait l’habitude de transposé le monde réel dans un monde

répète ces noms 21 fois, YA KHABIR, YA BAARIIOU, YA MOUSOWWIR Respire dans un verre d’eau et rompt le jeûne avec cette eau, ALLAH là bénira en lui donnant un enfant INCHA ALLAH AL GAFAAR LA TOLERANT LE GRAND PARDONNATEUR Celui qui pardonne tout. YA GAFAAR Celui qui répète ce nom aura ses péchés pardonnés AL QAKHAAR LE DOMINATEUR SUPREME, LE SOUMETTEUR Celui qui est victorieux et domine tout de la façon dont il veut faire quelque chose selon sa volonté YA QAKHAAR L’âme de celui qui répète ce nom conquerra

et l'occasion et les faits de discrimination. Gargantua le plan détaillé Ø  Un souverain généreux :                      - Gargantua oublie et leur rend leur indépendance, il ne tient pas à faire des prisonniers. P385 « Aujourd’hui, je vous pardonne et vous délivre et vous rends libres et indépendants comme avant. », « comme avant » : comparaison + CCT (Complément Circonstanciel de Temps) à faire comme si rien ne s’était passé, la guerre n’a jamais eu lieu et appui sur le mot « libre, liberté »

raisonnée, car la tirade est construite. Cet Arlequin n'est pas aliéné, il comprend très bien les nouvelles règles du jeu. - 2 attitudes opposées d'Arlequin (le rire et le sérieux) II - Les relations entre les personnages - Relations marquées par une grande tension entre les deux personnages (enchaînement des répliques, communication...). On passe de l'insulte (l.88 "esclave insolent") à la moquerie et l'insolence (189) et la provocation (interrogation, exclamation). - Ton très passionné (1110 et 111

- Complaisance de Dubois -Dorante amoureux - Refus de Dorante III : Dubois en metteur en scène .-Dubois prend l'avantage sur son ancien maître-Relation de confiance et d'amitié entre les deux hommes-Dubois orchestre le rôle du metteur en scène en grand manipulateurConclusion : -présentation des enjeux et de la marche à suivre (scène d'exposition)- Comédie , avec quelques faces plus sérieuses ( Marivaudage) -Dubois, le metteur contrôlant l'histoire Falanga Nicolas 105Français :Analyse littéraire

Je jette avec grâce mon feutre, Je fais lentement l'abandon Du grand manteau qui me calfeutre, Et je tire mon espadon; Élégant comme Céladon, Agile comme Scaramouche, Je vous préviens, cher Mirmidon, Qu'à la fin de l'envoi, je touche! Vous auriez bien dû rester neutre; Où vais-je vous larder, dindon?... Dans le flanc, sous votre maheutre?... Au coeur, sous votre bleu cordon?... Les coquilles tintent, ding-dong! Ma pointe voltige: une mouche! Décidément... c'est au bedon, Qu'à la

champ lexical du pardon « frères », « pauvres », « Dieu », « mercis », « priez »-Les arguments relèvent, cependant, de deux ordres ou, pour ainsi dire, de deux stratégies de persuasion. Dans les vers 3 et 4 Car si pitié de nous pauvres avez Dieu en aura plus tôt de vous mercis. l'expression de la condition, renforcée par la mise en incise de la proposition hypothétique et la dislocation emphatique de ses constituants, joue sur l'intéressement du destinataire à « l'affaire » du pardon. L'argument s'inspire