Le Heros Racinien

amante insensée ? A la scène 4, un monologue d’Oreste préfigure le dénouement : Quoi ? j’étouffe en mon cœur la raison qui m’éclaire. Problématisation : Oreste et Pylade ouvrent et ferment la pièce. On ne sait pas bien dans cette pièce qui en est le héros : Andromaque, rare sur scène mais qui survit, Hermione, qui mène l’action mais qui échoue, ou bien Oreste qui sombre dans la folie ? Cette dernière scène pose un problème scénique : comment représenter la folie ? Et pourquoi finir ainsi ? I Du dialogue

race des dieux et des héros (liens entre les personnages) ( D’un aveu l’autre : structure de Phèdre ( Phèdre et l’antiquité : les sources littéraires ( Au cœur du mouvement classique : les règles ( ANALYSE ( étude de la préface ( ACTE I, scène 1 : Le portrait de Thésée par Hippolyte (vers 65 à 113) ( L’Hippolyte racinien : un jeune premier languissant. ( ACTE I, scène 3 : l’aveu de Phèdre à Œnone (vers 269 à 316) ( L’Eros racinien : autopsie d’une passion

sens littéraire nait de la confrontation du héros avec une force qui le dépasse.(« Fatum », fatalité) La fatalité permet de susciter les deux émotions que la tragédie se propose de provoquer chez le spectateur : ▪ La terreur devant un destin implacable ; ▪ Et la pitié pour le héros qui en est victime. Plus profondément, le spectateur s’interroge avec le héros . il est censé se purger des mauvaises passions : 2.4.1.1.1 Le héros tragique Le héros tragique est toujours de haute condition

Corneille   Pierre Corneille est né à Rouen le 6 juin 1606. Son père était maître des eaux et forêts et sa mère, fille d'un avocat. Aîné de cinq frères et sœurs, il fait ses études au Collège des Jésuites de Rouen. Il y découvre la rhétorique latine, les héros de l'Antiquité et le théâtre. Il devient avocat en 1628, non par vocation mais pour faire plaisir à son père, qui lui achète deux modestes charges dont il s’occupera jusqu'en 1651. Trop timide pour plaider, il préférera très vite s'orienter vers une

du Monde réel », et de fait l’incipit est plus ou moins traditionnel. Nous attendons également une intrigue amoureuse. Mais il y a une complexité de la relation entre narrateur et personnage : à travers ce récit de pensée, on peut voir une crise du héros, une crise du réalisme-socialisme. Il y a cependant une mise en ordre rigoureuse du monde réel selon le modèle balzacien. Le personnage d’Aurélien est le point focal des hésitations du narrateur. Aurélien éprouve des réticences intérieures, il est

l’espace tragique racinien : « se sentant prisonniers de l’espace, les personnages évoquent le passé comme un havre où le monde, dans sa vastitude, leur était grand ouvert. » // évocation nostalgique du lac de Côme par Nell, fascination pour la blancheur. Ces personnages désirent quitter l’espace aliénant de la scène, mais changer de lieu, chez Racine, c’est courir à la mort. » (citations de M.C Hubert) // chez Beckett, dehors se situe « l’autre enfer » et le même sort que le héros racinien attend Clov

LE DRAME ROMANTIQUE PLAN : I. Une révolution théâtrale 1. Définition 2. Objectifs II. Esthétique et critiques III. Le héros romantique IV. En conclusion… I. Révolution théâtrale 1. Définition Le drame romantique est un genre théâtral créé par Victor Hugo (chef de file du mouvement romantique) au XIXème siècle, appartenant au mouvement du romantisme. Ce drame est basé sur le rejet de l’esthétique classique. Il s’inspire de faits historiques. De toute évidence,

Romantique (Littérature française) Affiche pour la tournée mondiale de Sarah Bernhardt. On y décerne les armoiries des Médicis et un Lorenzo tourmenté par des démons. On y retrouve pleinement le but du drame romantique, qui confronte en vain le héros au monde, pour changer la société ou son propre cas de conscience Etymologie, Epoque et Définition Le mot « drame » vient du grec drama, qui signifie « action» et romantique est relatif au romantisme c'est-à-dire l’époque littéraire dont il est

ensevelie » (v 72) paroles rappelant non seulement le conflit par « ennemi », mais aussi la puissance illustre de la royauté troyenne et l’issue des combats avec  « tant de rois » et « Troie ensevelie ». De même, Pyrrhus évoque le sort de la ville « en héros si fertile » et ne voit « [...]  que des tours que la cendre a couverte Un fleuve teint de sang, des campagnes désertes » (I, 2, 198, 201-02) L’ampleur des affrontements, les images

souffrance jusqu’à avoisiner la folie. III/Une folie furieuse A/La culpabilité de Phèdre -P=consciente de sa folie (v1264) -Choquée de son comportement (v 1265) -P=lucide (v1267à1272) -Retour à la situation réelle (1291à1294) -P=désespérée -Le héros racinien se juge responsable de ses actes. -P aspire au bien mais succombe au mal B/Les hallucinations - Délire hallucinatoire =évocation du soleil =jugée par l’univers entier =Imagine fuir aux enfers =Rencontre