Le Heros Vertueux

une tension naît et l’homme déploie tout les efforts pour contenter ces besoins d’appartenance et d’amour. Dans le présent mémoire de maîtrise nous allons essayer de démontrer le fonctionnement de l’amour comme la plus puissante des motivations des héros raciniens. L’amour dans l’œuvre racinien joue le rôle principal. Il revêt plusieurs fonctions. L’amour devient le moteur de toute action. C’est dans l’amour que la fatalité réside. C’est à la fois l’amour et les amours. Racine a dépeint l’affection

illusion de puissance, prête à tout pour sauver les apparences. Si Candide n’est pas reconnu comme neveu du baron, c’est parce que son père n’était pas assez noble, bien qu’honnête gentilhomme du voisinage. Ainsi, la noblesse préfère refuser un homme vertueux et considérer un fils comme un bâtard s’il n’a pas les titres requis. Il en résulte des personnalités involutives, comme le fils du baron qui s’oppose jusqu’au bout à l’union de Candide et de Cunégonde. Le gouverneur de Buenos Aires est ridicule

la cause de sa mort. Nous allons donc voir cet extrait. Quelle vision de l’homme et du monde est donnée à travers la mort de Monsieur de Clèves ? Nous verrons dans un premier temps que le récit est pathétique. Ensuite nous étudierons si le héros est tragique. Nous terminerons par une mort exemplaire. LECTURE DU PASSAGE I. Un récit pathétique. 1. Le récit d’un homme souffrant. Ce passage est le récit pathétique d’une dernière entre vue entre les deux époux après la scène de l’aveu

admirable en raison de son parcours qui comporte plusieurs étapes. Tout d’abord il vient d’un milieu provincial et n’est pas habitué à la ville souvent perçue par le personnage comme une sorte de ruche bourdonnante. Nous pouvons associer cette image du héros qui arrive sans un sou et veut réussir dans le monde à celle du rêve américain qui consiste à construire quelque chose à partir de rien. Par exemple dans Le Père Goriot de Balzac, Rastignac arrive à Paris avec juste de quoi se loger et se nourrir et

succombe pas face aux difficultés ,il tente d’être vertueux ,voire parfait. Le surhomme repousse les limites de l’humain . Dans l’extrait, Harry est divisé , car son instinct d’animal est parfois plus dominant ,mais il est conscient du besoin de vivre en société pour tenter de surpasser les autres ,ce qui le ramène à son côté humain . Après avoir succombé à la liberté, il essaie de dépasser l’humain ordinaire qui n’a rien du héros ou de quelqu’un de vertueux pour tenter de se rapprocher du «surhomme».Harry

gloire ; | |Psychoaffectif |aspire à la plus complète réalisation de lui-même ; | | |un héros de l’honneur familial et féodal ; | | |un saint ;

tragédie où les personnages principaux, Hippolyte et Phèdre, ont pour unique destinée, la mort. Les origines de la tragédie remontent à l'Antiquité, mais c’est au XVIIe siècle, en pleine période du classicisme, que le genre connaît son apogée. Le héros tragique, souvent issu des légendes, de l'histoire ou de la mythologie hellénique, s'exprime avec noblesse et grandeur conformément à son rang. Il est victime de la fatalité, généralement divine, contre laquelle il lutte en vain, suscitant à la fois

1 Que représentent pour vous les héros ? Vous vous demanderez ce que signifie ce besoin d'admirer des êtres réels ou de fiction, de les aimer ou de les imiter, et vous appuierez votre réflexion sur des exemples pris dans vos lectures et dans votre expérience personnelle. 4 Qu'est-ce qu'une œuvre engagée? 9 « Nous n'avons pas besoin de connaître l'auteur pour comprendre et aimer son œuvre. On peut légitimement se passer de tout recours à ce que l'on sait de l'auteur en dehors de son œuvre pour

d'éviter l'invraisemblance. -unité de lieu → l'action doit se dérouler en un lieu unique. L'espace scénique coïncide ainsi avec le lieu de l'action représentée. C] DES HEROS ''MEDIOCRES'' : Dans le théâtre classique, conformément aux principes d’Aristote, le héros doit être médiocre. C'est à dire ni franchement vertueux, ni entièrement monstrueux. Cette médiocrité permet dans la tragédie de provoquer chez le spectateurs la pitié et la crainte qui est le but des dramaturges.

certaine ambiguïté dans l'acte commis par Lorenzo et chez Lorenzo lui-même. En effet, il savait déjà bien avant que ce meurtre n'aurait aucune conséquence donc on peut dire que ce meurtre était plus une vengeance entre les deux visages de Lorenzo, le vertueux et le débauché • Il se désigne comme une « machine à meurtre » → héroïsme • Il veut braver le danger « allons se promener » • Injonction qui montre l’audace du personnage, malgré toutes les mises en garde de Philippe • Hyperbole « je suis