Le Horla Conclusion

littérature française par ses six romans, dont Une vie en 1883, Bel-Ami en 1885, Pierre et Jean en 1887-88, mais surtout par ses nouvelles (plus de 300), parfois intitulées contes, comme Boule de suif en 1880, les Contes de la bécasse en 1883 ou le Horla en 1887. Ces œuvres retiennent l’attention par leur force réaliste, la présence importante du fantastique et par le pessimisme qui s’en dégage le plus souvent mais aussi par la maîtrise stylistique. La carrière littéraire de Guy de Maupassant se limite

thème du voyage qui permet d’évoquer l’opposition entre les deux frères. 1- Présence fantastique d’une barque Se croyant seul sur le môle, Pierre sent la présence d’une « ombre, une grande ombre fantastique. » On retrouve là un des thèmes du Horla, conte écrit en 1886 (2ème version en 1887, contemporaine du roman.) L’effet est accentué par la soudaineté (« soudain »), l’obscurité (« tranchée large et noire », « haute voile brune », p. 58-59), le silence (répétition de « sans un bruit »), l’aspect

(romancier, nouvelliste, dramaturge/ russe) Emile Zola (romancier/ français) Léon Tolstoï (romancier/ russe) Œuvre : Bel-Ami (roman/1885) Pierre et Jean (roman/1887-1888) Boule de suif (nouvelle/1880) Le Horla (nouvelle/1887) Les Contes de la bécasse (nouvelle/1883) Conclusion : Ces œuvres retiennent l’attention par leur force réaliste, la présence importante du fantastique et par le pessimisme qui s’en dégage le plus souvent mais aussi par la maîtrise de son style. Il est donc

presque la totalité de Pierre et Jean, (quatrième roman dont le thème central est la bâtardise) et, en septembre, à la demande de son éditeur qui juge le manuscrit trop court, il compose sa célèbre préface, son « Etude sur le roman ». Et enfin Le Horla paraît aussi chez Ollendorf. Cette oeuvre ouvre la voie à de nombreuses interprétations ; on pense y voir dans la folie du narrateur des signes prémonitoires de la fin tragique de son auteur. Les publications s’enchaînent toujours au même rythme, Sur

6. La Petite Roque (1885, La Petite Roque) ............................................................ 37 3.2.7. Le Horla (1886, Le Horla) .................................................................................. 40 3.2.8. Le diable (1886, Le Horla) .................................................................................. 42 3.2.9. L’Auberge (1886, Le Horla) ................................................................................ 43 3.2.10. La Morte (1887, La Main Gauche)

_ Films, dépendance La conclusion ; 2 étapes -Clore la réflexion en répondant à la problématique et en rappelant l’essentiel -Ouvrir la réflexion sur une autre perspective artistique (littérature, peinture) en justifiant ce rapprochement. METHODE POUR E COMMENTAIRE : Exemple de conclusion rédigée. Texte support : Pierre et Jean, extrait numéro 3 Pour finir, cet extrait de Pierre et Jean

ne se déroulent pas selon la même progression, bien heureusement. Cependant, des constantes existent, et nous allons les rappeler pour vous aider. Ces étapes sont l’introduction, l’avertissement, la transgression, l’aventure, le châtiment et la conclusion. Vous pourrez l’utiliser avec souplesse. L’introduction Dans l’introduction, le narrateur explique en général pourquoi et comment il est amené à raconter l’aventure qui lui est arrivée, à lui ou à un de ses proches, ou dont il a été témoin

comparaison L.22 «  cette pensée entra en lui à la façon d'une balle » G. est le symbole de la fragilité de l'être humain. Conclusion : Deux «  moi » apparaissent : l'un qui tente de résonner l'autre qui a peur. La peur permet de découvrir une nouvelle facette du héros. Cet extrait reprend ainsi les thèmes chers à son auteur : fantastique, délire. Ce texte peut être comparé à Le Horla ( récit dans lequel Maupassant met en oeuvre un personnage qui sent une présence dans sa maison et fini par la brûler

plutôt oriente ses propos vers “chaque homme”, pour le citer. Il remet en question nos relations avec autrui, dont il s’aperçoit être dépendant. Ce constat peut être considéré comme une critique de l’humain, et il n’est pas le seul auteur qui, en conclusion d’un moment de solitude, remet en question son espèce. Chateaubriand et Rousseau, dans les deux romans René et Rêverie d’un promeneur solitaire, s’attaquent tous deux à la raison : caractéristique qui fait de l’homme un homme. Chateaubriand la considère

Maupassant a marqué la littérature française par ses six romans, dont Une vie en 1883, Bel-Ami en 1885, Pierre et Jean en 1887-1888, et surtout par ses nouvelles (parfois intitulées contes) comme Boule de suif en 1880, les Contes de la bécasse (1883) ou Le Horla (1887). Ces œuvres retiennent l’attention par leur force réaliste, la présence importante du fantastique et par le pessimisme qui s’en dégage le plus souvent, mais aussi par la maîtrise stylistique. La carrière littéraire de Maupassant se limite à