Le Horla Conclusion

la littérature française par ses six romans, dont Une vie en 1883, Bel-Ami en 1885, Pierre et Jean en 1887-1888, et surtout par ses nouvelles (parfois intitulées contes) comme « Boule de suif en 1880 », « les Contes de la bécasse 1883 » ou « Le Horla 1887 », et l’écriture se caractérise par la rapidité et l'absence de développements qui créent une narration efficace et un réalisme fonctionnel adaptés au genre de la nouvelle de Prosper Mérimée. Ses œuvres les plus importantes sont : « la Vénus

thème de la folie et renvoie le lecteur au Horla qui constitue un autre exemple de ce même thème : « Cette présence de l’inconnu, animant les objets familiers, annonce les données les plus captivantes du Horla » (641 n1). Que les deux nouvelles aient une certaine ressemblance est évident – Forestier ne fait que documenter cette ressemblance en ajoutant un renvoi explicite. Il n’y a rien de systématique dans ses renvois cependant ; aucun commentaire du Horla ne renvoie réciproquement à La Petite Roque

troubles nerveux, il se condamnera en refusant les traitements . Après une tentative de suicide manqué, il sera interné en 1889. Il mourra dans la démence le 6 juillet 1893. Maupassant aura été caractérisé par son pessimisme et la peur de mourir. Le Horla de Guy de Maupassant écrit en 1887. L’histoire est sous forme d’un journal, daté du 8 Mai au 10 Septembre, il n’y pas d’année précise. Il est tenu par un homme, on ne sait pas plus de précision sur son âge et sa situation. On pourrait penser que

plus quoi penser , et se demandant s’il devient fou, il décide de réaliser quelques expériences : la nuit avant de se coucher, il place divers aliments et boissons à coté de son lit. « On » boit la carafe d’eau , puis le lait. Il en arrive à la conclusion effrayante que quelqu'un est présent dans sa chambre chaque nuit et que celui-ci boit son eau et mange ses aliments. Il décide de se rendre à Paris où il reste trois semaines. Il assiste à une séance d'hypnotisme qui le trouble profondément

d’augmenter son intelligence, de servir son génie, la maladie n’a fait que les diminuer jusqu’à les abolir ; 3° Qu’on reconnaît dans certaines nouvelles les progrès de la maladie et les ravages qu’elle produit dans le cerveau de l’écrivain. Ces deux conclusions absolument opposées n’enlèvent d’ailleurs rien, ni à l’intérêt, ni à la valeur, ni au sérieux des deux oeuvres que nous venons de présenter. À cause de la tournure scientifique de son sujet, nous parlerons plus spécialement de la deuxième publication

fantastique · Guy de Maupassant, Le Horla , 1887. Qu’en est-il quand le moi connaît un phénomène de dédoublement qui brouille encore davantage ses limites ? Peut-on perdre la conscience de soi ou même percevoir son moi comme un autre ? La littérature fantastique exploite ce topos : dans la seconde version du Horla , Guy de Mau- passant joue avec la forme du journal pour restituer les méandres

l'heure fatidique, la mort. Bibliographie : Pour les récits : -MAUPASSANT, Guy. Le horla, Ollendorf, 1887. -DEGOUSEE, Valérie. Le costume, 1999. -MAUPASSANT, Guy. L'auberge,1886. Pour les peintures : -DALI, Salvador. Laïcité. http://laicite.over-blog.com/categorie-12061853.html -MEMLING, Hans. Wodka. http://wodka.over-blog.com/article-1613410.html Textes fantastiques I-Le horla de Maupassant. « Ayant soif un soir, je bus un demi-verre d'eau et je remarquai que ma carafe

Guy de Maupassant (1850-1893), Le Horla, 1887, « La nuit », commentaire Commentaire : Introduction : Disciple de Flaubert, Guy de Maupassant (1850-1893) a côtoyé les écrivains réalistes et les naturalistes du groupe de Médan. Il est l'auteur de plusieurs romans, Boule de Suif (1880), Bel ami (1885), Une Vie (1883), de contes et de nouvelles. Son plus célèbre recueil de nouvelles, intitulé Le Horla, fut publié en 1887. Dans ces nouvelles qui nous peignent une conscience maladive, angoissée

Maupassant, qui aime changer tout le temps d’endroit, fait voyager ses personnages jusqu’à obliger le lecteur à penser à la dromomanie. Les deux auteurs usent de l’onomastique pour souligner l’effet que produira le climat fantastique : dans Le Horla, par exemple, la cousine du héros s’appelle Mme Sablé, nom qui éveille en nous le souvenir du sable, c’est-à-dire de la mer, de l’eau douce, mais aussi celui du désert dans La Peur. Le ton de Maupassant joue sur toute la gamme en passant de l’inquiétude

Harriet (1884) * Un fou ? (1884) * Adieu ! (1884) * L’Héritage (1884) * Monsieur Parent (1885) * Lettre d'un fou (1885) * Bel-Ami (1885) * Contes du jour et de la nuit (1885) * Le Horla 1ère version (1885) (livre électronique) * Le Horla deuxième version (1887) * Sur l’eau (1888) (livre électronique) * Pierre et Jean (1887/1888) (livre électronique) * Le Rosier de Madame Husson (1888) * Le Port (1889) * Fort comme la mort (1889)