Le Héros Passif

l'un que l'autre, n'aimant d'ailleurs même pas leurs sœurs, ni leur père, n'étant ni l'un un héros, ni l'autre un traître, mais tous deux des crapules, avides et cupides, s'étant bêtement entretués pour le pouvoir. Il avoue alors n'avoir aucune conviction que l'un est un héros ou l'autre un traître, c'est seulement pour le peuple... pour donner un bon et un mauvais exemple, le peuple a besoin d'un héros et d'un traître... Il avoue aussi qu'il ne sait même pas si le corps qui croupit là-dehors est

l'un que l'autre, n'aimant d'ailleurs même pas leurs sœurs, ni leur père, n'étant ni l'un un héros, ni l'autre un traître, mais tous deux des crapules, avides et cupides, s'étant bêtement entretués pour le pouvoir. Il avoue alors n'avoir aucune conviction que l'un est un héros ou l'autre un traître, c'est seulement pour le peuple... pour donner un bon et un mauvais exemple, le peuple a besoin d'un héros et d'un traître... Il avoue aussi qu'il ne sait même pas si le corps qui croupit là-dehors est

romantique du XIXe siècle dont la poésie se caractérise par une volonté d’exprimer Les sentiments, plutôt que la raison. En 1829, il écrit « Mazeppa ». Ce poème est le 34e de son recueil les Orientale. Il est inspiré de la légende de la vie du héros ukrainien Yvan Mazeppa. Ce dernier, après s’être fait surprendre avec la femme de son patron, est attaché nu à un cheval et envoyé jusqu’en Ukraine. Victor Hugo s’empare de ce thème et compose un poème divisé en deux parties: la première décrivant

premier et du pape Paul troisième. » Ajoutons a ceci, que le portrait qui présente l'héroïne est souvent assuré dans le récit traditionnel par un narrateur omniscient qui présente le corps, l'esprit du personnage et aussi son passé. L'enfance du héros est un moment essentiel de la narration car le personnage y révèle ou annonce ses futures vertus. Le romancier peut alors multiplier les signes qui révèlent la grandeur native du personnage et annoncent son destin (comme dans Stendhal). Une tragédie :

pure lamentation, le discours énonce des maximes stoïciennes, qui ne changent rien à la sinistre réalité, mais préservent la dignité du héros et suscite une admiration intemporelle. Le ressort essentiel est le pathétique, c’est à dire la rencontre d’un héros lucide et totalement impuissant, et d’un destin inexorable et horrible. Un combat inégal oppose le héros à sa destinée, il supporte avec dignité et stoïcisme ses malheurs. L’issue est dévoilée à l’avance par un personnage protatique (technique

Gogo, le paterne comme un enfant, c'est le père nourricier, par référence à l'analyse transactionnelle. Il a une culture : la Bible et son langage peut être mystique : il a la volonté de se repentir. Estragon (Gogo) Il est négatif, pessimiste, passif, atone. Il a des sautes d'humeur, il est instable et impulsif. Il a un caractère plus rustre, plus primaire que Didi. Il s'endort, il a faim, il a mal au pied : c'est essentiellement un corps : il serait les jambes si Didi était la tête. Il se fait

impression de puissance et de charisme. Dc le narrateur fait de son pers un ê extra ordinaire, lui donnant une dimension quasi mythique.   3. Un pers quasi mythique Vautrin semble une force de la nature possédant une prescience qui l’apparente aux héros ou aux dieux antiques. - Morphologie de Titan, Hercule des temps modernes à travers les adjectifs hyperboliques : « les épaules larges », « le buste bien développé », « les muscles apparents », « des mains épaisses ». - Enumérations et accumulation

est également un récit de formation, récit d'un voyage qui transformera son héros éponyme en philosophe, un Télémaque d'un genre nouveau. L'onomastique, en matière d'interprétation des textes voltairiens, se révèle souvent féconde[n 4]. Le mot « candide » vient du latin « candidus » qui signifie « blanc » et a pour second sens « de bonne foi, avec candeur, simplement ». Le choix d'un tel nom indiquerait l’innocence du héros, voire sa naïveté. Cire vierge sur laquelle on marque en apparence tout, il

événements se fait uniquement par le personnage) On retrouve plus de 22 fois "je" en anaphore, renforcé par les pronoms possessifs. - Simultanéité entre moment où il écrit et le déroulement des événements. Le lecteur est projeté dans le présent du héros. 2. la chronologie - Elle est à peu près respectée puisque la succession des événements suit la progression des paragraphes: "je prendrai […] à deux heures" -> "j'ai pris […] à deux heures." - Les temps: présent d'énonciation ("je ne sais pas")

monde qui n’est pas le sien, ridicule et petitesse. Décadence de sa faillite, honte de devoir emprunter. ETOURDISSEMENT : Birotteau ne signifie rien pour monde de la finance auquel il est extérieur, « introduit » adj qualificatif qui montre Birotteau passif, peu de moyens d’agir sur son sort, FATALITE. Etourdissmt aussi pcq « au milieu d’une société nombreuse » univers fermé qui se dvlpe mais sans lui. Asyndète lignes 2-3 : DISCONTINUITE du mvmt, paragraphe pour une seule phrase. Mouvement encercle Birotteau :