Le Jour où la Terre s'arrêta

Ayeravath l’éléphant au cœur d’or de tous les animaux sauvages pour ses décisions justes et ses défenses imposantes. Un jour, un homme qui était venu couper du bois dans la jungle où vivait Ayeravath se perdit au milieu des banyans, ces arbres gigantesques qui ont des racines qui pendent des branches au sol. Au secours! Je ne retrouve plus mon chemin ! Au secours! Je ne veux pas mourir! Aidez-moi ! Quelqu’un m’entend ? Au secours! Au secours! Il était une fois un éléphant qui s’appelait Ayeravath

les cieux et la terre. 2 Et la terre était désolation et vide, et il y avait des ténèbres sur la face de l'abîme. Et l'Esprit de Dieu planait sur la face des eaux. 3 Et Dieu dit : Que la lumière soit ! Et la lumière fut. 4 Et Dieu vit la lumière, qu'elle était bonne ; et Dieu sépara la lumière d'avec les ténèbres. 5 Et Dieu appela la lumière Jour ; et les ténèbres, il les appela Nuit. Et il y eut soir, et il y eut matin : -premier jour. Après avoir créé les cieux et la terre, la première chose

de faire un tri dans sa tête. Il s'arrêta au bord du lac tandis que de plus en plus de flocons se mettaient à tomber. Il se pencha pour observer sa surface. Gelée. Un peu comme lui, en fin de compte... Il boitait toujours. Ses mains étaient devenues rouge vif. Le froid lui mordait la peau, et ses jointures saignaient doucement alors qu'il se remettait en route. Il porta alors sa main à ses lèvres, suçotant le liquide vermeille. Il avait entendu dire un jour que le masque du bonheur était le

m’adossais aux barreaux rouges. Si la réflexion s’appuie sur le doute, l’instant du choix s’éteint. » Aaron, sa journée de cours finie, prit le chemin du retour vers chez lui. Alors qu’il marchait tranquillement sur un pont. Il trouva une lettre par terre. Sur cette lettre, il y a avait écrit « Papa. » Il s’assit contre le rebord de la passerelle et commença sa lecture : «  Je m’appelle Luna. Mon histoire n’aura surement aucun sens à vos yeux mais croyez moi, je n’invente rien. Je m’éveillai. Ma

rarement la célérité du mulet, où les voitures à bras n’excédaient pas l’allure du gueux se traînant de déboires en contretemps ? » Dans son style inimitable, Fouad Laroui nous entraîne à la suite de son héros – un ingénieur marocain décidé à rompre du jour au lendemain avec son mode de vie moderne et occidentalisé – dans une aventure échevelée et picaresque. Une tentative de retour aux sources semée d’embûches et à l’issue plus qu’incertaine, derrière laquelle se dessine une des grandes interrogations

cinquante ans d'usage et qui ne tenait presque plus debout ; d'autres étaient assis par terre. On posait devant eux une grande gamelle de pattes où il se servaient à la main ; et les enfants mangeaient jusqu'à plus faim. Parfois, grâce à des associations, il y avait de la viande à manger et le père ajoutait au repas : « j'm'y ferait bien tous les jours. ». Par un après-midi du mois d'août, une légère voiture s'arrêta brusquement devant l'immeuble, et une jeune femme, qui conduisait elle-même, dit au

connaissances. Sous-argument 1.1 : Le Survenant est libre de choisir où et quand il s’arrête pour vivre dans une famille qui vit de façon sédentaire. Justification : Dans le texte de Germaine Guèvremont, le Survenant arrive chez les Beauchemin un beau jour d’automne et demande si il peut y passer l’hiver. Illustration : «Un soir d’automne, au Chenal du Moine, comme les Beauchemin s’apprêtaient à souper, des coups à la porte les firent redresser. C’était un étranger de bonne taille qui demandait à manger»

elle. Elle avait pourtant une très belle maison dans laquelle elle avait tout ce qu'il lui fallait. Mais les enfants aiment partir à l'aventure, même lorsqu'ils n'ont besoin de rien, et c'est là un avantage considérable qu'ils ont sur les adultes. Un jour qu'elle se baladait, elle vit au loin passer un chien errant. Il semblait sale et hargneux, et bien qu'elle fût jolie et bien vêtue, elle se prit d'affection pour lui. « J'ai toujours rêvé d'avoir un chien. », pensa t-elle. « Mais papa et maman m'ont

: « Pour John Rivoire».  Elle en conclut qu’elle était destinée à son mari, qui ne s’était même pas rendu compte de l’absence de sa compagne, obnubilé par le potage et l’engloutissant à grande cuillérées.  Anna lui posa la lettre sous le nez, il s’arrêta de manger et regarda l’enveloppe d’un air étonné, tout comme sa femme quelques minutes auparavant. Il l’ouvrit ; en lettres italiques était écrit : «  Cher monsieur John Rivoire. Je me présente, George Neil,  patron du Times à New York. Lors de 

d’une épidémie de peste. Dans l’avant-dernier chapitre, alors que l’épidémie dévaste la ville, le docteur Rieux et son ami Tarrou s’accordent un bain de mer, pour oublier un instant les difficultés auxquelles ils sont confrontés en soignant chaque jour les habitants malades. Elle sifflait doucement au pied des grand blocs de la jetée et, comme ils les gravissaient, elle leur apparut, épaisse comme du velours, souple et lisse comme une bête. Ils s’installèrent sur les rochers tournés vers le large