Le Journal de Rouen

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d’Yvetot. Il compose quelques vers. 1866 Maupassant sauve de la noyade le poète anglais Swinburne. Cette rencontre lui inspirera quelques contes. 1868 Renvoi du séminaire d’Yvetot pour un poème impertinent. Il poursuit sa scolarité au lycée de Rouen. Il a pour correspondant le poète Louis Bouilhet qui, avec Flaubert, le guide dans ses premiers écrits. 1869 Mort de Louis Bouilhet. Bachelier, Guy s’inscrit en droit à Paris. 1870 Guerre franco-allemande. Guy est mobilisé. 1871 En avril : Armistice

Bovary J’ai choisi cette toile de Fragonard car nous pouvons repérer sur celle-ci une jeune femme qui lit. Ce qui est tout à fait en lien avec la base du roman. Je m’explique, des l’age de 12 ans, Emma lisait. Au couvent des Ursulines à Rouen, là ou son père l’avait amenée, une vieille fille venait conter des légendes, de la poésie, des histoire sentimentales et érotiques. Puis, elle-même s’éprend à des romans de Walter Scott ou encore de Lamartine. C’est sur le contenu de ces livres que

Page 25 La description de lieux et des personnes : La description de lieux et des personnes a un rôle important, dans ce cas on voit des exemples de description de lieux : « La grande et large Seine qui va de Rouen a Havre, couverte de bateaux qui passent » Page 1 « A gauche, là-bas, Rouen, la vaste ville aux toits bleus, sous le peuple pointus des clochers gothiques. Ils sont innombrables, frêles ou larges, domines pas la flèche de fonte de la cathédrale, et pleins de cloches qui sonnent dans

ecclésiastique d 'Yvetot, le souhait de ma mère. C’est en ces lieux que je commençais à versifier. De ma première éducation catholique, je conserverai une hostilité marquée envers la religion; je fini par me faire renvoyer. J'étais alors inscrit au lycée de Rouen, où je montrais un bon élève, m’adonnant à la poésie et participant beaucoup aux pièces de théâtre. À cette époque, je côtoyais surtout Gustave Flaubert, dont je devins le disciple. Bachelier est lettres en 1869, je pars étudier le droit à Paris sur

Corrigé Le Horla, Guy de Maupassant 1. Le récit se présente sous la forme d’un journal intime (date indiquée à chaque début de paragraphe, déroulement chronologique, expression à la première personne…). 2. L’action se passe en Normandie, près de Rouen. 3. Le fleuve qui passe à côté de la maison du narrateur est la Seine. 4. Il a de la fièvre. 5. Son médecin ne lui trouve rien et lui prescrit de prendre des douches et de boire du bromure de potassium. 6. Il est dans son lit, quelqu’un

un beau jeune homme peu scrupuleux. Employé aux chemins de fer du nord, il déambule sur les boulevards parisiens, en quête de fortune et de réussite. Il rencontre un ancien camarade de régiment, Forestier, qui va le recommander au directeur de son journal, la Vie française. Grâce à l'aide de son ami, Georges est embauché comme reporter ce qui lui permet de doubler son salaire. Il plaît beaucoup aux femmes et est bien décidé à en profiter pour "arriver". Mme Forestier, la femme de son ami lui donne

secret qu'elle révéla certainement à Zola après leur mariage[N 5],[10]. Née le 23 mars 1839 à Paris, Alexandrine est la fille d'une petite marchande de dix-sept ans et d'un ouvrier typographe, né à Rouen. L'écrivain consacre un portrait à sa nouvelle conquête, « L'amour sous les toits », dans Le Petit Journal[N 6],[11]. On ne connaît pas l'origine de cette liaison. Peut-être est-ce le fait du hasard, puisque Émile et Alexandrine habitaient tous deux les hauts de la montagne Sainte-Geneviève[N 7].

démocrate. En tant qu’étudiante en 1ère année de master Information, communication et société, je me devais de vérifier si cette « Obamania » a vraiment eu lieu. Une chose est sure, pendant des mois et des mois la France a été « Obamisée » : dans les journaux, à la télévision, dans les cafés, dans les foyers, Barack OBAMA était devenu LE sujet de conversation des français. J’ai moi-même été contaminée par l’Obamania et avec un peu de recul, je me suis dit qu’il serait judicieux de vérifier s’il y a bien

être élevé à Étretat où dans la campagne cauchoise, il apprendra le patois ainsi que le contact avec la nature. A treize ans, il est placé au séminaire d'Yvetot, ce qui le détournera à jamais de la religion. Il passera son baccalauréat au lycée de Rouen. Mais il est mobilisé à la guerre de 1870 et il est témoin des scènes de la défaites des Français face aux Allemands, ce qui le marqua à vie. Il correspond avec Louis Bouilhet, ami de Flaubert. Tous les deux sont des maîtres pour lui. Ils le guident