Le Libertin Manipulateur

l’instruction de quelques autres (un roman épistolaire) DATE DE PUBLICATION: 1782 Personnages: La Marquise de Merteuil: le personage principale du roman; intelligente et cultivée, elle a fait son éducation toute seule; elle represent l’aristocrate libertine; Elle décide, pour se venger de Gercourt, de faire de Cécile de Volanges sa pupille en lui la donnant ; elle s’est mariée jeune et est devenue veuve rapidement en reçevant une grande fortune; autrefois elle a été l’amante de Valmont; Au début du

de suite un grand succès. Comme son titre l’indique, cette œuvre parle du danger de certaines relations, en particulier celles où l’amour et l’amitié sont trahis par la tromperie et le mensonge. Ainsi, le roman met en scène des personnages manipulateurs qui profitent de l’innocence et des faiblesses d’autres personnages pour assouvir leurs désirs de vengeance ou de séduction. Avec cette mise en scène, Laclos aborde les thématiques de l’amour, de la séduction et du libertinage. Il dénonce surtout

on obéit à un prêtre". Cette manipulation est stratégique, s'opérant à deux niveaux : sur le page qui représente le peuple et également sur le spectateur qui reste malgré lui muet, devenant complice de la débauche. Le cardinal joue le rôle d'un manipulateur plutôt que d'un prêtre : il use d'une voix basse. La qualification au début de l'extrait "fidèle serviteur de Dieu" et l'appelation de cardinal, ne sont que des masques de plus pour cacher son véritable jeu. Transition Axe II à Axe III :

belle jeune femme. Elle a comme habits : « une seule mousseline [qui] couvre sa gorge[…] ». La présidente de Tourvel tient la place la plus importante dans ce roman épistolaire, après les personnages libertins ,Valmont et Merteuil, étant le sujet récurrent dans la correspondance des deux manipulateurs ; même n’ayant envoyé que 24 lettres. Valmont projette une image d’elle comme étant une femme pure, joyeuse, mais également différente des autres femmes de la société :  « […] elle n’a point, comme

donc mis en relief par la série de questions de Gusman et son incompréhension face à son comportement, qui déjà suscite des questionnements chez le spectateur. La scène d’exposition semble d’ailleurs avoir comme finalité majeure la présentation du libertin qui occupera désormais l’espace scénique. Indirectement, c’est Gusman qui commence à le peindre en mettant en avant son empressement amoureux auprès de sa maîtresse, il apparaît donc d’abord sous les traits d’un amoureux, pour mieux devenir un séducteur

d’une part d’exprimer des nuances des individus et d’autre part d’incarner différentes conception de l’homme selon les époques. Les quatre extraits présentent quatre héros différents. Tout d’abord, le vicomte de Valmont, personnage de libertin sinique et manipulateur fait figure de héros négatif, dépourvu de moral parce qu’il s’amuse de sa victoire amoureuse sur les femmes qui lui a résisté. La lecture qu’il adresse à sa confidente la marquise de Merteuil témoigne de sa satisfaction en terme militaire

Introduction : Les liaisons Dangereuses est un roman épistolaire, écrit en 1982, par Choderlos de Laclos. Il s’insère dans la société du 18ème, ou les anciens amants libertins, la Marquise de Merteuil et le Vicomte de Valmont, se livrent à une histoire de pouvoir, de séduction, de manipulation et d’apparence. A travers cette intrigue, les deux sexes se jettent dans une bataille sans merci, sans aucune pitié pour leurs victimes, la jeune Cécile de Volanges et la chaste et pieuse Présidente de Tourvel

jures. Tiens il faut jurer. Négation restrictiveNégation prop sub circ de condition + répétition du verbe jurer + impératif +vb falloir à valeur d'injonction DJ insiste sur sa proposition pour faire basculer le pauvre DJ confirme qu 'il est un manipulateur ainsi qu'un impie pour qui la religion n'a aucun intérêt 18I,1 ou II,2L 33 Monsieur !apostropheIndignation du pauvre19I,2 ou II,1L34 tu ne l'auras pasNégation Insistance et cruauté de DJ20II,1 et I, 3Va, va,jure un peu ; il n'y a pas de mal.Répétition

de ses grandes pièces théâtrales, elle a été écrite en 1665. Cette tragi-comédie en cinq actes représente l'histoire d'un fuyard et d'un séducteur libertin, Dom Juan, qui ne croit rien sinon que" deux et deux font quatre". Ici le passage étudié est la tirade de Dom-Juan à l’Acte I scène 2. Dom-Juan explique les raisons qui le poussent à être libertin avec les femmes et à vouloir être infidèle. Nous étudierons d’abord l’éloge paradoxal du libertinage que Dom-Juan fait puis nous analyserons de plus

passionnées et on y devine le plaisir dissimulé lorsque l’auteur a signé sa lettre. Alors pourquoi la vengeance et la séduction doivent-elles être racontées ? Et finalement comment se traduit ce plaisir dans les lettres des deux personnages manipulateurs du livre ? Qu’elle est l’utilité de se venger d’une personne sans qu’elle le sache ? Cela n’a aucun sens. Car la définition même de la vengeance c’est une peine causée à l’offenseur par l’offensé qui rapporte une satisfaction à ce dernier