Le Libertinage Conclusion

d'abord. "On goûte une douceur extrême..." puis sous une forme adverbiale "mener doucement", enfin "il n'est rien de si doux". III-  Le portrait du libertin 1. Le goût de la beauté - DJ illustre la figure de libertin du XVIIème siècle. Le libertinage traduit un courant de pensée philosophique qui s'inspire largement des théories d'Épicure. Il considère ainsi que le fonctionnement du monde répond aux lois de la nature et de la matière et que l'homme doit user de son raisonnement pour comprendre

13-18). * Fierté irréductible : subordonnée circonstancielle d’opposition « quoi qu’il arrive ». * Il est sourd : il n’entend pas les différents messages. * Dom Juan ressemble à Satan, à l’ange déchu qui défit Dieu jusqu’où bout avec son libertinage. Il court à son destin « oui » (l.22), « la voilà » (l.24). * Il s’exprime en scientifique : * Observation « je veux voir ». * Expérimentation « éprouver ». * Connaissance « connaître ». b) L’attitude de Sganarelle *

et défient à la fois la religion, l'ordre social et le code aristocratique. Don-Juan ira jusqu'a adopter le masque de l'affection pour continuer sa vie de "libre-penseur" mais surtout de grand séducteur. Molière soulève ici le délicat sujet du libertinage. Nous pouvons prendre aussi comme exemple l'Ile des Esclaves de Marivaux, qui nous parle de la nature humaine. Tous les personnages de cette pièce éprouvent l’envie de puissance. Marivaux a ici dénoncé la volonté de puissance mais aussi la distance

femme, mais n'aime pas la posséder. • Loue le charme et la beauté qui sont incompatible avec la fidélité. Conclusion : On constate en fin d’analyse que la seduction selon Dom Juan est une grande conquete.Par son apologie d’un comportement frivole et contraire a l’ordre moral, Dom Juan apparait comme un libertin. On peut neamoins se demander quels sont les differentes sortes de libertinage et quel est l’histoire de ce mouvement.

tout d'abord. "On goûte une douceur extrême..." puis sous une forme adverbiale "mener doucement", enfin "il n'est rien de si doux". III-  Le portrait du libertin 1. Le goût de la beauté - DJ illustre la figure de libertin du XVIIème siècle. Le libertinage traduit un courant de pensée philosophique qui s'inspire largement des théories d'Épicure. Il considère ainsi que le fonctionnement du monde répond aux lois de la nature et de la matière et que l'homme doit user de son raisonnement pour comprendre

Fanchette C’est une jeune paysanne naïve de 12 ans. C’est la fille d’Antonio, le jardinier, ainsi que la cousine de Suzanne. Elle suscite les désirs de deux personnages : le Comte et Chérubin. Fanchette est une victime consentante et innocente du libertinage. Elle joue un rôle de messagère dans des intrigues sentimentales dont le sens lui échappe en partie (IV, 14 et V, 1). II- Suzanne Elle a entre 20 et 25 ans. Elle s’inscrit dans la grande tradition des servantes finaudes et spirituelles mais elle

appelait «  la cabale des dévots  », de ruiner la réputation d’un homme ; ses exigences politiques étaient respectées, mais prenant trop de poids dans la vie de l’État, elle a été dissoute par Louis XIV, en1665. ● Le libertinage  : Le mot « Libertin » est emprunté au XVème siècle au latin «  Libertinus  », « Affranchi, libéré ». Ce terme, s’appliquant dans la Rome antique aux esclaves

de dessiner un schéma actantiel : Suzanne est l'objet convoité par le Comte et Figaro, le Comte est l'adversaire du valet, Marceline et Basile sont les opposants de Figaro et donc les adjuvants du Comte. La motivation du Comte est le désir, le libertinage et le plaisir. Grâce au monologue, Figaro esquisse ce qui va constituer l'action dramatique de la pièce : le schéma actantiel et il projette son action dans la pièce : " D'abord avancer … Monsieur du Bazile et… "  RQ : L'action a venir est exprimée

elle place tout de même des propos plein de « venins » dans ses paroles... Célimène fait alors le pastiche d'Arsinoé, notamment grâce à des symétries de structure, puis v.945-947 Célimène fait apparaître une volonté de défendre puis donne une même conclusion à ses propos, elle dit la même chose qu'Arsinoé ce qui a pour effet un comique de répétition avec une différence v.885 « vertu singulière » puis v.922 « très rare mérite », Célimène avoue qu'ils ont raison de la critiquer. Symétrie des paroles

sentiments intérieurs + attirail du poète). -3eme : poète amoureux mais amour aliénant => double est un étranger (thermes de la souffrance + allusion au suicide v 31-32). Connotation péjorative et tragique (douleur, soucis, illusions...). -4eme : libertinage associé à la misère (citer). Alcool... C'est la farge qui salie le poète, il devient faible (v 48), n'a plus d'inspiration, n'est plus un bon poète, est stérile, impuissant (v 45). -5eme : double orphelin, connotation religieuse (épine, ange) =>