Le Libértinage Au Xviii

une persistance du baroque, comme dans les pièces à machines (le Dom Juan de Molière) ou dans la thématique funèbre de Bossuet. Tout cela a conduit les commentateurs à multiplier les étiquettes: préclassicisme, préciosité, burlesque, grotesque, libertinage, jansénisme, littérature mondaine, etc. Malgré cette confusion lexicale et la diversité des œuvres produites à l'époque dite classique, on peut tenter de définir le classicisme comme moment historique : alors que les pays du Sud sortent de leur

une persistance du baroque, comme dans les pièces à machines (le Dom Juan de Molière) ou dans la thématique funèbre de Bossuet. Tout cela a conduit les commentateurs à multiplier les étiquettes: préclassicisme, préciosité, burlesque, grotesque, libertinage, jansénisme, littérature mondaine, etc. Malgré cette confusion lexicale et la diversité des œuvres produites à l'époque dite classique, on peut tenter de définir le classicisme comme moment historique : alors que les pays du Sud sortent de leur

Louis XVII décède, Louis XVIII lui succède. Il est alors réfugié à Vérone. Il y fait la déclaration de Vérone. Il y développe deux points. Il promet le châtiment des régicides (ceux qui ont voté la mort de Louis XVI) et expose que si la royauté est rétablie, les biens nationaux seront restitués à leur propriétaire par rétroactivité (acquisition de terres). L'article 2 veut permettre de se prémunir contre une éventuelle restitution à leur propriétaire. En 1815, le roi Louis XVIII s'abstiendra finalement

longue errance où le héros passe par l’expérience de l’esclavage (chap. X) et subit plusieurs épreuves (chap. XI à XVII) dont il tire des leçons de valeur. Sa rencontre avec l’ermite lui révèle quelques aspects du fonctionnement de la destinée (chap. XVIII). Enfin, Zadig retourne à la cour, résout les énigmes, gagne le royaume et épouse Astarté (chap. XIX). Le narrateur omniscient définit les rôles des multiples personnages en fonction de leur rapport avec le personnage principal. En outre, ces personnages

le rapport de l'essence que sous le rapport de l'existence, et ne lui ressemble que d'une façon toute nominale, comme il s'agissait de le démontrer. Or chacun voit aisément qu'on ferait la même démonstration pour la volonté de Dieu. PROPOSITION XVIII Dieu est la cause immanente, et non transitive, de toutes choses. Démonstration : Tout ce qui est, est en Dieu et doit être conçu par son rapport à Dieu (en vertu de la Propos. l5), d'où il suit (par le Coroll. 1 de la Propos. 16) que Dieu est la

XVIIIème s.: dépopulation générale du monde rural dont villes, «tombeaux de l'humanité», seraient grandes responsables. ╘> «Les habitants de la campagnes fuyant la milice, les corvées, les impôts, et attirés à la ville par la paresse et le libertinage, ont laissé les campagnes presque désertes.» Avis au peuple sur sa santé, médecin TISSOT. MAIS statisticiens fin XVIIIème s. pointent originalités démographie grandes villes tout sauf exagérées. ╘> Surmortalité. ╘> Faible natalité.

l’hôtesse, ni pour l’histoire ni pour la forme) raconte le Conte de la Gaîne et du Coutelet, raconté traditionnellement aux veillées de son pays : l’unité de ton est conservée. Le conte / fable de la G et du C à son tour proclame l’inconstance et le libertinage amoureux plus naturels que la fidélité. P. 158 -161 Jacques raconte une anecdote de son enfance : le bâillon. Par une « singulière idée »p. 158 du maître (marier Jacques le bavard avec l’hôtesse prolixe) Jacques se remémore son enfance et raconte

étudie les mœurs et met en scène des «types» dont les vices sont les ressorts de l'intrigue (ex : la «femme savante», le «malade imaginaire»...). - La comédie de mœurs, au-delà du personnage central, s'intéresse aux travers d'une société tels le libertinage ou l'hypocrisie (ex : "Le Misanthrope") - La «grande» comédie naît dans les années 1630. En cinq actes, en vers, elle respecte les règles du théâtre classique et vise à une «vérité humaine» (ex : les comédies de Corneille). - Le vaudeville se

de la France littéraire Plan du cours : Chapitre 1 : Le Moyen-Âge Commence au XI jusqu'au XV siècle Chapitre 2 : La Renaissance Le XVI siècle Chapitre 3 : Le Classicisme Le XVII = Le siècle classique Chapitre 4 : Les Lumières Le XVIII = Le siècle éclairé Chapitre 5 : Le romantisme Première moitié du XIX siècle Chapitre 6 : Modernité De 1850 jusqu'au début du XX siècle. Chapitre 1 : Le Moyen-Âge Leçon 1 Introduction C'est l'âge intermédiaire, médian, souvent perçue

(Lamoignon) et le haut clergé (Bossuet), a été considérablement exagérée par les historiens anticléricaux de la fin du XIXe et du début du XXe siècles62, il n’en reste pas moins que les dévots étaient toujours présents à la Cour où ils critiquaient le libertinage des mœurs, le luxe, les fêtes, la politique de prestige et même la politique extérieure du royaume. On comprend donc en même temps que cette satire de la dévotion ait scandalisés ces milieux dévots, et que Louis XIV, qui venait de confier à l’archevêque