Le Libértinage Au Xviii

ni toucher, ni être touchée, tant elle se sentait faible ou déjà poussière. La duchesse de Langeais, ainsi se nommait-elle, était mariée depuis environ quatre ans quand la Restauration fut consommée, c’est-à-dire en 1816, époque à laquelle Louis XVIII, éclairé par la révolution des Cent Jours, comprit sa situation et son siècle, malgré son entourage, qui, néanmoins, triompha plus tard de ce Louis XI moins la hache, lorsqu’il fut abattu par la maladie. La duchesse de Langeais était une Navarreins

toucher, ni être touchée, tant elle se sentait faible ou déjà poussière. La duchesse de Langeais, ainsi se nommait-elle, était mariée depuis environ quatre ans quand la Restauration fut consommée, c'est-à-dire en 1816, époque à laquelle Louis XVIII, éclairé par la révolution des Cent-Jours, comprit sa situation et son siècle, malgré son entourage, qui, néanmoins, triompha plus tard de ce Louis XI moins la hache, lorsqu'il fut abattu par la maladie. La duchesse de Langeais était une Navarreins

ni toucher, ni être touchée, tant elle se sentait faible ou déjà poussière. La duchesse de Langeais, ainsi se nommait-elle, était mariée depuis environ quatre ans quand la Restauration fut consommée, c’est-à-dire en 1816, époque à laquelle Louis XVIII, éclairé par la révolution des Cent Jours, comprit sa situation et son siècle, malgré son entourage, qui, néanmoins, triompha plus tard de ce Louis XI moins la hache, lorsqu’il fut abattu par la maladie. La duchesse de Langeais était une Navarreins

ni toucher, ni être touchée, tant elle se sentait faible ou déjà poussière. La duchesse de Langeais, ainsi se nommait-elle, était mariée depuis environ quatre ans quand la Restauration fut consommée, c'est-à-dire en 1816, époque à laquelle Louis XVIII, éclairé par la révolution des Cent Jours, comprit sa situation et son siècle, malgré son entourage, qui, néanmoins, triompha plus tard de ce Louis XI moins la hache, lorsqu'il fut abattu par la maladie. La duchesse de Langeais était une Navarreins

ni toucher, ni être touchée, tant elle se sentait faible ou déjà poussière. La duchesse de Langeais, ainsi se nommait−elle, était mariée depuis environ quatre ans quand la Restauration fut consommée, c'est−à−dire en 1816, époque à laquelle Louis XVIII, éclairé par la révolution des Cent Jours, comprit sa situation et son siècle, malgré son entourage, qui, néanmoins, triompha plus tard de ce Louis XI moins la hache, lorsqu'il fut abattu par la maladie. La duchesse de Langeais était une Navarreins

demande ce qu’il aurait dit s’il avait dû prononcer le discours célébrant le bicentenaire de la naissance de Napoléon, de Gaulle rétorque : « Comme lui j’ai été trahi par des jean-foutre que j’avais faits et nous avons eu le même successeur : Louis XVIII ! » Les deux hommes avaient dû restaurer le prestige de la puissance française après des défaites que l’on crut définitives (la guerre de Sept Ans en 1763 et celle de 1940) et un délabrement de l’État et des finances publiques que l’on jugeait

croyance mais de raisonnement arithmétique (quatre et quatre sont huit, l. 18-19), l’exclamation et le présentatif que voici ! (l. 20) dénigrent ce qui a été dit. Pour aller plus loin 8. Recherche. Accueil négatif : – reproches d’impiété et de libertinage. Cf. B. A. Sieur de Rochemont, Observations sur une comédie de Molière intitulée Le Festin de Pierre (1665), et Prince de Conti, Traité de la comédie et des spectacles (1666) ; – mélange des registres : comédie qui se termine en tragédie. => conséquences

des objets que sont les hommes, l’abjecte égalité des victimes. Celui qui pousse son désir jusqu’au bout, il lui faut tout dominer, son véritable accomplissement est dans la haine. La république de Sade n’a pas la liberté pour principe, mais le libertinage. « La justice, écrit ce singulier démocrate, n’a pas d’existence réelle. Elle est la divinité de toutes les passions. » Rien de plus révélateur à cet égard que le fameux libelle, lu par Dolmancé dans La Philosophie dans le boudoir, et qui porte

mots clés de cette génération atteinte par le « mal du siècle », le « vague des passions ». Le héros romantique cherche ce qui peut le détourner de son inquiétude et de sa tristesse. Musset insiste particulièrement sur cette idée. Il cite le libertinage (« les plus riches se firent libertins »), dont le personnage caractéristique est Lorenzo. Certains de ces héros sont des êtres d’action : Hernani - qui se met au service d’une cause noble et généreuse. Le proscrit Hernani cherche à venger son

..................................................... 235 Chapitre XVI ........................................................................ 248 Chapitre XVII ....................................................................... 260 Chapitre XVIII ...................................................................... 271 Chapitre XIX .........................................................................285 Chapitre XX ......................................................................