Le Livre brisé

Éditeur : Hachette Genre : Roman historique Nombre de pages : 288 RÉSUMÉ Collection : Le Livre de Poche Jeunesse Niveau conseillé : 6ème / 5ème Difficulté de lecture : 3 LE SERMENT DES CATACOMBES Odile Weulersse Illustrations de Yves Beaujard (Couverture de Isabelle Dethan) Ch. 1. Au IIème siècle ap. J.-C., la jeune orpheline Toutilla est recueillie à Lugdunum par son oncle Sacrovir, un riche affranchi. Deux individus qui lui reprochent d’être chrétienne l’agressent dans la rue. Elle est

Stormbreaker est le premier tome de la série Alex Rider par Anthony Horowitz qui signifie en français "brise-tempête". Il a été publié le 4 septembre 2000 au Royaume-Uni, le 4 avril 2001 en France et le 21 mai 2001 aux États-Unis. Une adaptation cinématographique, où Alex Pettyfer interprète Alex Rider, est sortie le 21 juillet 2006. Le livre s’est vendu à plus de neuf millions d'exemplaires dans le monde. Alex Rider est un adolescent ordinaire âgé de 14 ans, orphelin, vivant chez son oncle et

de la plate-forme de descente, entra et referma la porte derrière-lui. Il tira de sa poche un livre de Partre, pressa le bouton de commande et se mit à lire en attendant d'atteindre le sol. Le choc sourd de la plate-forme sur le butoir le tira de sa torpeur. Il sortit et gagna son bureau, une boîte vitrée et faiblement éclairée d'où il pouvait surveiller les ateliers. Il s'assit, rouvrit son livre et reprit sa lecture, endormi par la pulsation des fluides et les rumeurs des machines. Une

fusillé pendant qu'ils s'adonnaient à leur passion trop forte. L'adolescent qu'est devenu Philippe ne juge pas ses parents : ni leur amour, ni leur mensonge. Il comprend enfin la pièce du puzzle manquante et devient adulte à son tour. Un secret, est un livre aussi sobre que l'est son titre. Aussi fort et bouleversant que les faits qu'il raconte avec pudeur, petit à petit. Aucun effet de style, aucune remarque superflue dans cette histoire écrite comme un exorcisme. Les morts sont morts, les vivants continuent

il est l’un des représentants majeurs du mouvement de la figuration narrative.  Look : le stetson (chapeau), goût des armes à feu (une Amérique fantasmée)  Il a exposé dans le monde entier 2 Caractéristique de son art …  Jacques Monory se livre depuis le milieu des années 1950 à une entreprise de déconstruction picturale de l’image . Très lié dans les années 1960-1970 à ce qui s’est dénomméé́ alors la Figuration narrative, il n’a eu de cesse, depuis, de poursuivre, en dépit des modes, des

regard immobile aux nattes repliées Le Rhin le Rhin est ivre où les vignes se mirent Tout l’or des nuits tombe en tremblant s’y refléter La voix chante toujours à en râle-mourir Ces fées aux cheveux verts qui incantent l’été Mon verre s’est brisé comme un éclat de rire Idées essentielles du poème : - Il a peur des fées : il ne veut pas les voir - Il préfère des filles blondes, qui ne vont pas l’ensorceler - le poète est ivre - le poème décrit une scène imaginaire - il imagine

Solène1ère5 note :Observations : Écriture d'invention. A chaque pas que je faisais, les feuilles se brisaient sous mon poids et leurs couleurs automnales se mélangeaient. Le soleil ne serait bientôt qu'une illusion lointaine. La brise fouettait mon visage, le rougissait et me faisait larmoyer. Le ciel se paraît de couleurs pourpres et orangées qui étaient en parfaite harmonie avec les milliers de feuilles qui voletaient tout autour de mon être. Une femme était assise sur cet océan

pendant qu'ils s'adonnaient à leur passion trop forte. L'adolescent qu'est devenu Philippe ne juge pas ses parents : ni leur amour, ni leur mensonge. Il comprend enfin la pièce du puzzle manquante et devient adulte à son tour. Un secret, est un livre aussi sobre que l'est son titre. Aussi fort et bouleversant que les faits qu'il raconte avec pudeur, petit à petit. Aucun effet de style, aucune remarque superflue dans cette histoire écrite comme un exorcisme. Les morts sont morts, les vivants continuent

manière concrète en application et se livre à une démonstration du travail poétique dans cette épître : >La virtuosité formelle de l’épître est frappante : rimes léonines (homophonie sur deux syllabes et plus), >équivoquées, c’est-à-dire fondées sur une équivoque, un calembour, sur toute la longueur du poème, composé en rimes plates : « rimailleurs »/rime ailleurs », « rimeur/rime heur »... >A ces rimes équivoquées en fin de vers répondent des rimes brisées où les vers riment par deux à l’hémistiche

rivage, Sous le seul regard pur du doux ciel étoilé. La mer aime le ciel : c’est pour mieux lui redire, À l’écart, en secret, son immense tourment, Que la fauve amoureuse, au large se retire, Dans son lit de corail, d’ambre et de diamant. Et la brise n’apporte à la terre jalouse, Qu’un souffle chuchoteur, vague, délicieux : L’âme des océans frémit comme une épouse Sous le chaste baiser des impassibles cieux. Nérée Beauchemin « Les floraisons matunitales »(1897) Nérée Beauchemin, un poête