Le Lièvre Et La Perdrix

trouvèrent, dans leur passion solitaire, une campagne où exister à plein, comme l’auteure le fit avec la marquise de Belbeuf. S’habiller en homme, c’était enfiler une tenue de camouflage salutaire, c’était devenir homme parmi les hommes, tant « la perdrix n’ignore pas qu’elle est couleur de glèbe[footnoteRef:16] » ; c’était adopter ce « regard mâle des chattes qui ont décidé d’échapper fréquemment à leur sexe et de vivre à peu près stériles[footnoteRef:17] ». [14: Le Pur et l’impur (1932), Œuvres

longtemps il n'avait vu l'ombre d'un être humain lorsque lui apparût la fillette. C'est pourquoi, à la vue de son visage de rose et de ses petits membres fatigués, le cœur du serpent se fondit de tendresse. L'enfant s'était endormie. Il sortit, tua deux perdrix, cueillit des légumes et des fruits , et rentra. Il alluma le feu, mit en train le repas et alla réveiller la fillette. Il lui demanda avec douceur : Quel est ton nom ? Quel est le nom de ton village et celui de tes parents pour que je te conduise

produits de luxe et le précieux bouillon est servi aux malades et aux femmes enceintes. À l’occasion, la chasse permet aussi à l’habitant de varier sa viande quotidienne avec le lièvre et plus rarement, le castor, l’ours et le chevreuil. Mais l’habitant se gâte plutôt avec la faune ailée, soit la tourte, le canard et la perdrix. De plus, ceux qui vivent près des cours d’eaux, qui sont nombreux, peuvent également s’approvisionner en diverses sortes de poissons.[13] La place du sucre de canne

expéditions lointaines par les explorateurs, aventuriers et autres émissaires de la Royauté. Des jardins merveilleux ont alors vu le jour, mêlant les espèces endémiques et européennes à celles venues du monde tropical. La faune est à l’avenant : perdrix, renards, lièvres, blaireaux, chevreuils…. Sur la côte, on peut observer d’importantes colonies de phoques gris, des dauphins, des marsouins et beaucoup d’oiseaux : pétrel boréal, huitrier pie, crave à bec rouge, mouette tridactyle, macareux, guillemot, fulmar

lever un lièvre, je courais vers l'à-pic, et je faisais de grands signaux, comme un marin du temps jadis : alors ils montaient en hâte me rejoindre, et nous traquions sans pitié l'oreillard. Jamais, non, jamais nous ne revîmes une bartavelle. Pour- tant, sans en parler, nous les cherchions partout, et surtout dans le ravin sacré de la sublime chasse... Nous en approchions en rampant, à plat ventre sous les kermès et les argéras, ce qui nous permit souvent de surprendre des perdrix, des lièvres, et même

traditionnel : avant, pendant, après, ou encore : situation initiale, péripéties, situation finale. Dans le détail : - les circonstances et l’allure du jardin (vers 1 à 8) ; - l’attaque du lièvre et l’appel au Seigneur (vers 9 à 18) ; - l’arrivée du seigneur et son installation (vers 19 à 38) ; - la chasse au lièvre (vers 39 à 52) ; - le résultat : les dégâts occasionnés au jardin (vers 53 à 57) ; - la moralité (vers 58 à 61). 2. Dans les cinq premiers vers de la fable 9, les deux animaux sont évoqués

Perturbation de la Biocénose  Plus d’habitat pour le monde animal Faute d'abri digne de ce nom pour se protéger, Le monde animal éprouve des difficultés à s’abriter. En effet, les perdrix connaissent une forte mortalité lors des hivers rigoureux, et ont des problèmes pour nicher au printemps. Les lièvres, eux, ne trouvent plus de site conforme à leurs besoins. Crapauds, hérissons, orvets .... tous grands prédateurs de nuisibles, et amis de l'homme, connaissent le même sort. D’autres comme

Outre la vanité de son art mensonger, C'est l'image de ceux qui bâillent aux chimères, Cependant qu'ils sont en danger, Soit pour eux, soit pour leurs affaires.   II, 14 Le Lièvre et les Grenouilles   Un Lièvre en son gîte songeait (Car que faire en un gîte, à moins que l'on ne songe ?) ; Dans un profond ennui ce Lièvre se plongeait : Cet animal est triste, et la crainte le ronge. "Les gens de naturel peureux Sont, disait-il, bien malheureux. Ils ne sauraient manger morceau qui leur profite

Gargantua Un géant plus grand que nature Récit tiré de Gargantua de François Rabelais I – La première enfance de Gargantua 1. Sitôt qu‘il fut né, il ne lança pas comme les autres enfants des cris inarticulés ; mais, à haute voix, il s’écriait : « À boire ! À boire ! À boire ! » On aurait dit qu’il voulait inviter tout le monde à boire. Aussi I’entendit- on dans tout le pays. Le bonhomme Grandgousier, buvant et rigolant avec ses convives, entendit les cris horribles que

que ses vieux désirs convoitèrent et qui, proche de la ferme, serait un château indépendant, demeure du maître. Des Parisiens y passaient la belle saison autrefois : une petite fille joueuse et bien mise, un monsieur décoré et rieur qui manquait les lièvres au gîte, une dame lourde un peu, toujours en des lectures. À vendre, maintenant, La Verdière : vingt mille francs. Depuis trois années les Parisiens n’apparurent. Et Cyrille ne l’aura point ayant gâché les économies de son père avec la gueuse. Elle