Le Lièvre Et La Tortue Fontaine

détour est une perte de temps, il nous fait utiliser des petits chemins, des combinaisons dangereuses, la planification est une des clés de la réussite. Dans la fable de La Fontaine, Le liévre et la tortue, on comprend que le meilleur moyen de perdre est de faire des détours comme le liévre et que pour gagner (comme la tortue) le meilleur moyen est d'aller tout droit, c'est a dire de suivre le « droit chemin ». Enfin, notre société a vue l'arriver de moyens de transport bref et direct comme de TGV

soignaient la folie par ce moyen. (4) ces 2 vers font certainement référence au texte ésopique, dont La Fontaine supprime les détails inutiles. (5) aux calendes grecques.... (6) les sénateurs romains, dont la majesté est proverbiale (7) le pari (8) au bout de la course (9) n'avais-je pas LE LIÈVRE ET LA TORTUE Rien ne sert de courir ; il faut partir à point. Le Lièvre et la Tortue en sont un témoignage. Gageons, dit celle-ci, que vous n'atteindrez point Si tôt que moi ce but

Jean de La Fontaine était un écrivain, un artiste et un poète français du XVII ème siècle. - Naissance à Château-Thierry le 18 Juillet 1621. - Mort chez les d'Hervart, rue Plâtrière le 13 Avril 1695. - Tout d'abord, il fait ses études au collège de Château-Thierry, puis à l'Oratoire ou il fait ses études de droit à Paris. - La Fontaine se marie en 1647 avec Marie Héricart avec qui il aura un fils, Charles. - En 1659, Fouquet l'invite dans son château de Vaux Le Vicomte. C'est pendant cette

parlent à l’imaginaire des petits. Tout cet univers permet donc à l’enfant de s’évader, tout en le rassurant par la présence de caractéristiques, propres à l’être humain. De plus, pour captiver l’enfant et éviter sa lassitude, les histoires de La Fontaine sont assez courtes, avec un nombre restreint de personnages et la présence récurrente d’un dominant et d’un dominé, facilite la compréhension enfantine. On peut prendre l’exemple du loup qui, dans la plupart des fables, apparaît comme le bourreau

MARASSI Magdalena 1ère S2 ANTHOLOGIE DE 10 FABLES Jean de La Fontaine, Fables SOMMAIRE “ Le Renard et la Cigogne “ “ Le Cochet, le Rat et leSouriceau “ “ Le Lion et le Rat “ “ La Colombe et la Fourmi “ “ Le Renard et les raisins “ “ Le Lièvre et la Tortue “ “ La Tortue et les deux canards “ “ Le Rat de ville et le Ratdes champs “ “ La Grenouille qui veut se faire plus grosse que le Boeuf “ “ La Cigale et la Fourmi “ “ Le Renard et la

détour est une perte de temps, il nous fait utiliser des petits chemins, des combinaisons dangereuses, la planification est une des clés de la réussite. Dans la fable de La Fontaine, Le lièvre et la tortue, on comprend que le meilleur moyen de perdre est de faire des détours comme le lièvre et que pour gagner (comme la tortue) le meilleur moyen est d'aller tout droit, c'est a dire de suivre le « droit chemin ». Enfin, notre société a vue l'arriver de moyens de transport bref et direct comme de TGV

Loïc. Jeanne avait donné son sac à Bruno, et était partie rejoindre Louis. Après avoir été servi, Bruno, comme à son habitude, ouvra le cartable de sa fille et lança à Loïc : - « tiens, tu as vu, en ce moment les enfants apprennent les fables de La Fontaine ! - Oui j’ai vu ça, je pense que c’est une bonne idée ! J’adorais les fables à cet âge-là, pas toi ? - Oh... Je ne m’en souviens plus vraiment, mais maintenant que c’est Jeanne qui les apprend je me demande si c’est une bonne idée… Je me demande

enseignement didactique à pour destinataires autant les adultes que les enfants, exprimé le plus souvent grâce à une morale comme dans la fable « Le lièvre et la tortue » de Jean de La Fontaine où une course est organisée entre un lièvre et une tortue, le lièvre se moquant de son adversaire et étant sur de le vaincre se permet de s'assoupir. La tortue gagnera la course. « Rien ne sert de courir, il faut partir a point » . Un poète appartenant au registre pathétique dénonce une situation extrême

l’implicite du texte, soit exprimée à la fin ou, plus rarement, au début du texte. Certain, comme Anouilh considère qu’ « écrire des fables soit une entreprise futile » mais au contraire beaucoup d’autres écrivains comme le grand fabuliste Jean de la Fontaine pensent que les fables sont utiles. Dans un premier temps, les Fables sont crées pour instruire les enfants et leurs montrer la réalité de la vie. C’est le cas dans « Le Corbeau et le Renard ». Cette histoire qui paraît anodine car elle parle

---------------------------- SOMMAIRE : 3 parties : - 1) Au temps de La Fontaine - 2) Postérieure à La Fontaine - 3) La dernière partie permettra de comparer les différents illustrateurs à différentes échelles (différents styles, différentes interprétation de la fable, etc). --------------------------------------------------------------------------------------------------------------- 1) Au temps de La Fontaine : - François Chauveau (1613-1676) - Baptiste Oudry  1686-1755