Le Loup Garou

ta ... euh compassion.- Tu sens très mauvais !- Oui, toi aussi.Nous rime. La situation était plutôt atypique. Et risible.Je comprenais ce qu'elle était. Elle comprenait aussi ce que j'étais moi.- Ça fait longtemps que tu es ... différente ?- Un loup-garou tu veux dire ? Oui. Beaucoup plus longtemps que toi en tout cas.Mais ce n'est pas pour ça que ça me plait plus. Il y a quelques inconvénients vois-tu !C'est dur de s'habituer à ne plus être humain.- Pourquoi m'as-tu emmené si tu savais ce qui ce

? Lecture : de « je n’ai pas grande peine » à « que tu aurais manti » Commentaire : I) Un mecreant les idées les procèdés Dj est athée « qui ne croit… ni loup garou) ® énumération de termes péjoratifs dj: ennemi de la religion Dj méprise toutes les crayance ® expression hyperbolique => superlatifs « le plus grand »

plaisir-------------------- Vis à l’instant présent------------------------- Mais paradoxe: c’est finalement une fuite de lui-même, de ce qu’il est devenu (pauvre noble) On retrouve le portrait de Sg là-dedans: Sg = double antithétique de DJ «Loup-garou» : superstition de Sg Matérialisme de DJ «Sardanapale / Epicure» : vantard (de sa culture) «Pourceau / Epicure» : Philosophe Grec --> Développer culture du plaisir Servilité --> Charisme de DJ Gradation vers le burlesque Périphrase Collectionneur

Séquence VSéance 3L’acte I est-il l’exposition de l’œuvre théâtrale.Support Activités ObjectifsMolière, Dom Juan, Acte IAnalyser le rôle de la première scène Relever les différentes intrigues qui se nouent dans l’acte I Prouver que les scènes 2 et 3 créent un sentiment d’attente chez le lecteur.Tracer le portrait de Dom JuanProuver qu’il y a un mélange des genres. Analyser la scène 2 pour dresser un portrait ambigu de Dom JuanRelever les paradoxes de la pièceDémontrer que l’acte I est l’exposition

ne dis pas que... mais (l57). Sganarelle veut se rendre intéressant auprès de Gusman à travers un portrait hyperbolique et de nombreuses exagérations. On peut aussi voir quelle est la culture de Sganarelle : il a faible culture religieuse : un loup-garoux ? utilisation d'une sous culture populaire et opposition entre : dogme religieux / croyance populaire, superstition. Il est donc issus d'un milieu très populaire et il est superstitieux mais croyant. Il apparaît aussi que Sganarelle admire Dom

sous la forme d’une bête (souvent un loup) qui représente notre nature animale. En minaudant avec le loup, notre héroïne régresse au stade œdipien de l’enfant qui ne cherche que son plaisir. Tout au long du conte, l’importance du rouge est fortement soulignée. Cette couleur symbolise les émotions violentes et plus particulièrement celles de la sexualité7. Le bonnet de velours rouge serait donc le transfert prématuré du pouvoir de séduction sexuelle. Face au loup, les anciennes aspirations œdipiennes

point entretenu ; mais, par précaution, je t'apprends, inter nos, que tu vois en Don Juan, mon maître, le plus grand scélérat que la terre ait jamais porté, un enragé, un chien, un diable, un Turc, un hérétique, qui ne croit ni Ciel, ni Enfer, ni loup-garou, qui passe cette vie en véritable bête brute, en pourceau d'Epicure, en vrai Sardanapale, qui ferme l'oreille à toutes les remontrances qu'on lui peut faire, et traite de billevesées tout ce que nous croyons. Tu me dis qu'il a épousé ta maîtresse

l’avoir épousée, l’a abandonnée. Dom Gusman s’interroge sur le pourquoi de la fuite de celui-ci. Sganarelle esquisse le portrait d’un maître « grand seigneur méchant homme », « épouseur à toutes mains », « libertin » qui ne craint ni « Ciel, ni loup-garou », et auquel l’attache la peur, à défaut du zèle. Scène 2 : Sganarelle, Dom Juan Arrive Dom Juan qui répond aux remontrances de son valet d’une longue tirade dans laquelle il expose sa conception de l’amour. Le plaisir ne repose que sur l’inconstance

des aspects sur lequel Aranofsky insiste beaucoup lorsqu’il parle de Black Swan, qu’il considère comme tel. Il estime qu’on peut le comparer à certains contes, surtout ceux des frères Grimm, effrayant et violent, avec, comme dans les histoires de loup-garou, une transformation de la danseuse en cygne.

Il nous décrit Dom Juan avec des mots, et expressions péjoratives. « Dom Juan, mon maître, le plus grand scélérat que la terre ait jamais porté, un enragé, un chien, un diable, un Turc, un hérétique, qui ne croit ni Ciel, ni saint, ni Dieu, ni loup-garou, qui passe cette vie en véritable bête brute, en pourceau d'Épicure, en vrai Sardanapale » « C'est un épouseur à toutes mains. Dame, damoiselle, bourgeoise, paysanne, il ne trouve rien de trop chaud ni de trop froid pour lui » Acte 1 Scène 1 Ensuite