Le Machinisme Et L Homme

se nie, il n’y trouve pas son bien-être, mais son malheur. Il n'y développe aucune énergie libre, il mortifie son corps, ruine son esprit. L'ouvrier ne se sent chez lui que lorsqu'il a quitté son travail, quand il est à la maison. Avec le machinisme et notamment, en 1880, « l’organisation scientifique du travail » (taylorisme), la division du travail a pour résultat d'en rendre les opérations toujours plus fragmentaires (chaque mouvement est décomposé de façon à réduire les pertes de temps

manufacture, banque, société ou compagnie. L’entreprise est perçue à travers la personnalité de celui qui paraît aux commandes comme un chef : l’entrepreneur. Les deux notions se complètent et se confondent. L’entrepreneur du XIXème siècle est un homme seul, ou associé à un autre individu, mais il ne se confond jamais avec un état-major, une véritable équipe de direction, comme on pourrait l’imaginer aujourd’hui. Nous pourrions nous demander comment se caractérise ce renforcement progressif de l’entreprise

révolution La révolution industrielle est née en Grande-Bretagne à la fin du XVIIIème siècle. Elle repose sur le développement de l’industrie textile, première industrie de consommation, et l’utilisation d’une nouvelle source d’énergie, le charbon. Le machinisme se développe à la suite d’inventions qui modifient les techniques de fabrication : la machine à vapeur, inventée dans les années 1760 par l’Ecossais James Watt. Elle sera ensuite utilisée massivement dans l’industrie et les transports (bateaux à

monde plus juste. III -LA CONDITION OUVRIERE AU 19eSIECLE Au cours du XIX ème siècle, les sciences et les techniques se développent considérablement. Les machines se perfectionnent sans arrêt. Avec ce nouveau système de production se créé le machinisme qui permet d'augmenter la fabrication. Mais les machines n'améliorent en rien les conditions de travail des ouvriers. 1-La condition ouvrière L'ouvrier ne se plaint pas des conditions de travail : "Pensez donc, on vient ici en sortant de l'école

| | |« comme tout le monde, je constate que, de nos jours, le machinisme domine l’univers » | | |« la classe ouvrière sera-t-elle victime ou bénéficiaire du progrès mécanique

familiale. A cette époque, l'hygiène de vie était minime par rapport à aujourd'hui et le taux de mortalité était très élevé, ainsi que le taux de mortalité infantile. Au début du 18e siècle, une révolution agricole se développe grâce à l'apparition du machinisme agricole telle la moissonneuse mécanique de Cyrus Mac Cormick en 1824 ou encore de l'engrais artificielle en 1840. Ces innovations majeures dans le domaine de l'agriculture ont amélioré les conditions de travail des paysans et donc augmenté l'espérance

d’aliénation et alors cela va mener l’homme à une perte de temps ainsi qu’a une perte de son existence en elle-même. Soit le travail est pour l’homme une forme d’épanouissement et alors dans ce cas-là le travail servira à faire une chose autant qu’un homme en lui-même puisque le travail suppose une satisfaction des besoins de l’homme qui mène au bonheur ainsi qu’une contradiction entre la nature et la condition du travail. Nous verrons dans un premier temps que le travail est avant tout une nécessité

développement du commerce. Sa mise en place va de pair avec l'apparition d'institutions qui utilise la répartition des tâches et la circulation des biens. Aussi liée au machinisme, la monnaie revient sur le devant de la scène à l'époque de la révolution industrielle. Les auteurs sont divisés sur la question de savoir qui du machinisme ou de la division du travail a déclenché le développement économique et social. Quel que soit la réponse à cette question, le renforcement de la division du travail est

d’exercer une force, et comme un renard capable de ruser quand cela est nécessaire ; car en face il n’y a que des lions et des renards. - Le principe de pragmatisme : Ce qui compte, ce n’est pas de respecter les normes admises mais d’être efficace. Un homme politique doit être capable de transgresser les normes morales et religieuses si le succès de son action en dépend : « La fin justifie les moyens ». En effet, on juge une action politique à ses résultats et à son efficacité, et non à sa moralité. Un

| |Pour éviter un endettement encore plus grave, il vaudrait peut-être mieux donner la priorité à l'agriculture traditionnelle car, bien| |que le développement de l'agriculture exige des investissements dans le domaine du machinisme agricole, les pays pauvres devraient se| |méfier des techniques avancées et ne pas trop se fier à la mécanisation, étant donné que cette mécanisation les forcerait à dépendre | |encore plus des pays riches.