Le Mal Chez Paul Ricoeur

prévisibles de l’acte. Ce qui définit la valeur d’une conduite, c’est le bien qu’elle atteint. Elle cherche à maximiser le bien ou le bonheur et à minimaliser le mal ou le malheur. » Cette définition de l’éthique est proche de ce que vise la morale, lorsqu’elle se définit par la qualification des actes que l’on fait : c’est bien ou mal. D.Müller en fait le constat dans un ouvrage intitulé- Les lieux de l’action. Ethique et religion dans une société pluraliste-, (Labor et Fides, Lausanne, 1992) :

amis, tomber amoureux, faire des enfants... Les valeurs de l'école proviennent donc pour la plupart d'une tradition. Aurait-on simplement remplacé une transcendance par une autre, l’autorité de Dieu par la force de l’Histoire ? Pour Paul Ricoeur, les valeurs de justice, de liberté, d'égalité, de fraternité par exemple, loin d'être « corrompues par l'idéologie », ont un contenu intellectuel qui peut faire l'objet d'analyses : d'un côté une valeur s'impose à chacun de nous avec une certaine

1 La violence d.2 François d.3 "La comédie de la dénonciation" e. Un cas de paranoïa ? 4. La morsure IV. La parole, le silence et les regards 1. Le silence 2. La parole 3. Les regards V. Milieux et circonstances 1. Le repaire du Mal a. Le passage du Pont-Neuf b. Chez les Raquin 2. La sexualité libérée a. La morgue b. La campagne VI. Conclusion: Le cercle infernal Bibliographie "J'ai choisi des personnages souverainement dominés par leurs nerfs et leur sang, dépourvus de libre arbitre, entraînés

B. GEPNER active les mêmes structures cérébrales que l’exécution de ce mouvement, et permet de préparer, anticiper ce mouvement5. Les exercices de simulation mentale, qui s’inspirent de ces résultats, sont de plus en plus utilisés par exemple chez les sportifs de haut niveau et les pilotes d’avion6. Ces faits expérimentaux peuvent, certes, être interprétés en faveur d’un néo-localisationnisme cérébral, et de la théorie moniste matérialiste de l’identité cerveau-conscience. Mais nous allons voir

d.1 La violence d.2 François d.3 "La comédie de la dénonciation" e. Un cas de paranoïa ? 4. La morsure IV. La parole, le silence et les regards 1. Le silence 2. La parole 3. Les regards V. Milieux et circonstances 1. Le repaire du Mal a. Le passage du Pont-Neuf b. Chez les Raquin 2. La sexualité libérée a. La morgue b. La campagne VI. Conclusion: Le cercle infernal Bibliographie "J'ai choisi des personnages souverainement dominés par leurs nerfs et leur sang, dépourvus de libre arbitre

présence affectueuse, de son soutien le plus actif et le plus constant possible, mais apporté avec discernement, comme le propose Cicéron dans De l’amitié : « Posons comme règle absolue que nous ne demanderons jamais à nos amis de faire quelque chose de mal et que nous opposerons un refus à une demande de même sorte », ou Malebranche, dans Recherche de la vérité « un vrai ami ne doit jamais approuver les erreurs de son ami ». Selon Aristote, l'amitié est ce qu'il y a de plus nécessaire pour vivre, quels

présenter quelques moments forts dans la pensée politique italienne et française du XVIe siècle, avec Machiavel, Guichardin, Bodin, Montaigne et Bruno, au premier semestre (D. Couzinet), avant d’aborder leur formulation dans la Renaissance anglaise, chez Francis Bacon et dans la pensée juridique qui l’a inspiré (É. Marquer). Bibliographie : Jean Bodin, La Méthode de l’histoire, dans Id., Œuvres philosophiques, éd. et trad. Pierre Mesnard, Paris, 1951 ; Id., Les Six livres de la République (1593)

ou non les parties, énoncer le plan. Faite un texte cours, 4 pages max, pas de conclusion. Zawadkzi@univ-paris1.fr paul. zamadzki@orange.fr Introduction : Les grands textes politiques sont des réponses aux problèmes de violences qui déchirent la société. Ex : expérience traumatisante de la saint Barthélémy. Objet du cours : ma modernité politique Paul Ricoeur (1913-2005) : modernité → surcharge sémantique. Tocqueville = Passage des sociétés aristocratiques à celles démocratiques

du mal. La conscience morale, c’est ce qui permet à l’homme d’approuver ou de rejeter une situation ou un acte ; c’est elle qui lui permet face à une situation qu'il a trouvée révoltante de s’en indigner et de s’y opposer. C’est aussi elle qui explique le sentiment de faute et les remords qu'on a par exemple quand on a mauvaise conscience ; ou a contrario elle donne une haute estime de soi lorsqu’on a bonne conscience. La conscience morale, c’est cette voix intérieure qui nous détourne de mal agir

groupe se rappeler les origines notamment c’est reconstruire le sens de leur actions en plein affrontement culturel. C’est pour cela que se produisent les oublis : les souvenirs qui ne trouvent plus de significations dans le présent sont effacés. Paul Ricoeur avance même l’idée du devoir d’oubli de nos obligations vis-à-vis du passé. Oublier, c’est sélectionner ce qui nous est utile, adéquat et nous permet dans ce sens d’appartenir à un groupe dont les cadres sociaux nous correspondent et peut alors