Le Malade Imaginaire Conclusion

prouesses techniques, en effets spectaculaires. Des feux d’artifices pouvaient même être tirés. Le spectacle était grandiose pour les comédies-ballets où la danse et la musique démultipliaient les effets artistiques (Le Bourgeois gentilhomme, Le Malade imaginaire…).     II. Du baroque au classicisme   1) Une période de transition   Le théâtre du début du XVIIème siècle est nommé « théâtre irrégulier ». Il doit cette appellation à son goût de l’outrance, à son absence de règles et de mesures. Puis

son temps indirectement. En effet dans Le Malade imaginaire, Molière dresse un portrait assez satirique des médecins de son temps. Il souhaite, dans ses comédies montrer les vices de son temps pour les ridiculiser. On en conclue que le spectacle comique n'est pas qu'un simple divertissement. En effet pour comprendre c'est deux comiques nous avons besoin de connaître la langue française ou de savoir lire entre les lignes. En conclusion, on peut dire que tous les spectacles comique

ceux qui se présente habituellement à l’extérieur, que l’on peut s’apercevoir facilement, tels que : les hallucinations (les plus courants sont des voix ou images imaginaires), les délires (ce sont des erreurs de jugement logique), la désorganisation du comportement (par exemple : capricieux, rire ou pleurer sans raison précis). Les malades entendent souvent une voix intérieure qui les demande à obéir ses ordres. Les symptômes négatifs sont vus à travers la tendance à être insensible, à ne pas vouloir

didactique et finalement la réflexion sur le destin de l’homme. Le théâtre a comme première fonction de devoir divertir le spectateur qui vient voir la pièce. On assiste plus alors à des comédies. Molière montre cette dimension comique dans le malade imaginaire où par exemple utilise le comique de répétition. Il est dit que l’apprentissage se fait plus facilement en se divertissant et cette fonction de divertissement entraine aussi un certain plaisir et émotions au spectateur. Le divertissement

 Acte III scène 10 Le malade imaginaire   De : « Donnez-moi votre pouls » à la fin.   Pour ouvrir les yeux à Argan, Toinette se déguise en médecin et lui faire passer une consultation .     I/ Comique du passage   1 De la parodie à la caricature   -         une consultation habituelle (consultation , diagnostic, se renseigner sur les symptômes pour confirmer le diagnostic, prescrire les remèdes). -         L’imitation deviens irréaliste quand Toinette conseille

que les relations sont bonnes, elles peuvent également l’être dans le couple. En effet, il ne faut pas oublier que le couple peut tout simplement s’aimer. Par exemple, dans Le Malade imaginaire de Molière, le couple Angélique Cléante s’aime du début à la fin. Cette pièce raconte la vie d’Argan, dit le malade imaginaire, qui a une fille Angélique et il veut absolument la marier à un médecin. Or sa fille est amoureuse de Cléante, qui lui n’est pas médecin. Toinette propose alors à Argan de tester

OE1_12 bis_Introduction et conclusion pour la EL4 Extrait de l’œuvre Le Mariage de Figaro , de Beaumarchais, 1778 (créé en 1784) – Epreuve orale du BAC Parcours associé : « Diversité et fonctions des arts du spectacle dans la comédie » Explication linéaire 4 – Acte IV, scène 9 (en entier) : pages 182-184 dans l’éd. Belin/Gallimard – coll. ClassicoLycée 1) Introduction  :

Le malade imaginaire , Acte II, scène 5, La tirade de M. Diafoirus La grande scène 5 de l'acte II du Malade imaginaire nous fait faire la connaissance des Diafoirus, père et fils, venus chez Argan pour présenter Thomas à son futur beau-père et, accessoirement, à sa future femme. Ils se sont soigneusement préparés à cette visite qui est, pour eux, très importante. Ce mariage, en effet, est

s'épanouir et séduire le public grâce a de grand écrivain comme Molière. C'est d'ailleurs grâce a cet homme que la comédie a su se démocratiser car elle était précédemment dévaloriser vis-à-vis de la tragédie.Cet extrait de l'acte 1 scène 1 du Malade imaginaire, comédie écrite par Molière et qui compte les aventures d'un certain Argan, relate la crise de folie du héros principal qui entame alors un monologue ayant la forme d'un dialogue entre lui même et son docteur. Il va alors essayer de persuader

est exemplaire autant par sa sévérité que par sa fulgurance. Dans ces deux œuvres dramatiques, rien n’annonçait un tel dénouement, en décalage avec la logique du reste de l’intrigue. Le sens de l’œuvre prend donc toute son importance dans cette conclusion. Par ailleurs, on observe dans certaines œuvres dramatiques l’intervention d’un « Deus ex machina »  , une personne ou une action se ralliant aux divinités et arrivant de façon impromptue à la fin de la pièce et par laquelle le dénouement