Le Malheur Selon Epictete

ces désirs plutôt que l’ordre du monde il existe deux théories, soit les éradiquer ou les modifier. 1) ERADIQUER SES DESIRSSchopenhauer Désir=source de souffrance inévitable alors il faut se débarrasser de ces désirs car dans l’ordre du monde désir=malheur Désir=manque donc souffrance. Ils sont contradictoires car la satisfaction d’un donne la frustration des autres. Et que même s’il y à satisfaction elle est brève alors le fait de désirer est long Déception Alors le plaisir durable est impensable

vivre heureux selon les stoïciens, il ne faut pas lutter en vain contre ce qui dépend pas de nous et sur lesquelles ont a pas d'influence et au contraire l'accepter. Aujourd'hui, une personne stoïque est une personne qui ne s'effondre pas devant le malheur, la tristesse, la peur, etc. Ce courant est issu de l'école du Portique, fondée par Zénon de Cition à Athènes en 301 avant Jésus Christ. Les principaux stoïciens antiques sont Zénon, Diogène Laërce, Plutarque, Cicéron, Sénèque, Epictète. Cynisme :

soumis. Spinoza affirme également que le désir est l'essence ou le « conatus » de l'homme car il lui apporte l'énergie nécessaire pour « persévérer dans son être ». Le conatus (du verbe latin conor, qui signifie « s'efforcer » ou « tendre vers ») selon Spinoza est « l'effort par lequel toute chose tend à persévérer dans son être ». « Le Désir est l'essence même de l'homme, c'est-à-dire l'effort par lequel l'homme s'efforce de persévérer dans son être. » Éthique, Spinoza, 1677 Non seulement le

de sa raison, on avouera que de tous les animaux l’homme est le plus parfait, le plus heureux, et celui qui vit le plus longtemps; car ce qu’on dit des cerfs et des corbeaux n’est qu’une fable. Au lieu donc de nous étonner et de nous plaindre du malheur et de la brièveté de la vie, nous devons nous étonner et nous féliciter de notre bonheur et de sa durée. A ne raisonner qu’en philosophe, j’ose dire qu’il y a bien de l’orgueil et de la témérité à prétendre que par notre nature nous devons être mieux

me précipiter dans la servitude comme un animal se jette dans un piège car il a vu l’appât mais pas le filet. Pour appliquer cela à l’homme, Spinoza dit : « on pense que l’esclave est celui qui agit par commandement et l’homme libre celui qui agit selon son bon plaisir. Cela n’est pas cependant absolument vrai car, en réalité, être captif de son plaisir, c’est le pire esclavage ». Donc, ce sentiment immédiat de liberté n’est peut-être qu’un illusion. Il est vrai que chacun l’éprouve à certains

bouder. Que leurs raisons soient fortes, je le sais; il est toujours difficile d’être heureux; c’est un combat contre beaucoup d’événements et beaucoup d’hommes; il se peut que l’on y soit vaincu; il y a sans doute des événements insurmontables et des malheurs plus forts que l’apprenti stoïcien; mais c’est le devoir le plus clair peut-être de ne point se dire vaincu avant d’avoir lutté de toutes ses forces. Et surtout, ce qui me paraît évident, c’est qu’il est impossible que l’on soit heureux si l’on ne

arrive sans qu'on l'attende véritablement ou même que la réflexion n'a pas lieu d'être d'ailleurs on dit «  au p'tit bonheur la chance » on dit aussi « quel bonheur !» pour dire « Quelle chance ! » Pour répondre à ce problème nous verrons l'idée selon laquelle le bonheur est associé au plaisir. Ensuite nous apporterons des objections à cette idée en nous posant comme question n'y à t-il pas une illusion fondamentale à l'idée même du bonheur. Et enfin pour sortir de cette impasse nous allons redéfinir

bonheur nous échappe tout le temps -On ne ressent donc pas le véritable bonheur mais une succession de bonheur perdu -A trop penser au bonheur perdu ou au bonheur à venir nous nous empêchons d'être heureux et nous participons ainsi a notre propre malheur B:Le désir comme souffrance -Rousseau nous dit "c'est une illusion de croire que le désir puisse venir combler un manque" -Le désir comme souffrance parce que le désir va plus loin que le besoin, il est quête inachevée -Le désir pourrait être

rose lorsque l’on a des problèmes on ne peut pas vivre en fonction de sa. Selon Blaise Pascal rien ne peut nous consoler, lorsque que nous y pensons de près. Que quand une personne essaye de penser de près il ne trouvera que malheur et insatisfaction, rien ne peut nous consoler. Les hommes qui font de la solitude un plaisir sont incompréhensibles pour lui. Alors qu’en contradiction avec Blaise Pascal nous avons Épictète qui nous dit que la pensée nous aide à ne plus souffrir lorsqu’elle nous permet

dépend pas de nous mais relève uniquement de la chance, du hasard, de la Fortune. Mais on est aussi persuadé qu’il ne faut pas tout attendre de la chance et que l’on a aussi à construire son bonheur, et s’activer pour acquérir tous ces biens qui font, selon nous, notre bonheur : inutile pour cela de faire des rêves extravagants. Si le bonheur ne dépend pas de nous, notre vie morale n'est-elle pas la victime du hasard, entraînant pessimisme et désespoir ? Mais s'il dépend de nous d'être heureux, quelles