Le Mariage Dans Une Si Longue Lettre

Merteuil: « ma très belle marquise », « ma très belle amie », « ma belle amie ». -impératifs comme si la marquise était en face de lui: « ne vous fâchez pas et écoutez moi » -emploi de la 2ème personne du singulier dans des formules qui attirent l'attention de Mme de Merteuil sur ce qu'il dit : « comme vous savez », « vous saurez donc », « vous devinez », « vous n'imaginez pas », « vous savez si ». -questions rhétoriques: « ce langage vous étonne, n'est-il pas vrai ? », « que me proposez-vous ? »

 EXPOSE ECOLE: CEM MAME YELLI BADIANE Discipline Tel: 33834 13 13 Travail CLASSE: 3ème C Réussite PROFFESSEUR: M. SALL THEME: Les personnages dans une si longue lettre de Mariama Ba PLAN : 1) INTRODUCTION 2) LES PERSONNAGES PRINCIPAUX DU ROMAN 3) LES PERSONNAGES SECONDAIRES DU ROMAN 4) CONCLUSION EXPOSANTS : Djoly Penda Mboup Khadidiatou Bayo Fatou Diawara Allé Sylla Pape Matar Fall Cheikh Dioum Mouhamed Fall Saye Diouf Fatoumata Diouf Bassirou Minthé INTRODUCTION

FICHE DE LECTURE : Une si longue lettre Titre du livre : Une si longue lettre Auteur : Mariama Bâ Editeur : Nouvelles Editions du Sénégal (NEAS). Date d’édition : 1979 Nombre de pages : 175 I/ Biographie Mariama Bâ est née en 1929 au Sénégal. Ayant perdu sa mère, et son père étant ministre de la santé, elle est élevée par ses grands-parents dans un souci de strict respect de la religion musulmane traditionnelle. Institutrice de formation

profession, elle demande sa mutation au sein de l'Inspection régionale de l'enseignement, sa santé étant devenue fragile. Ayant donné naissance à neuf enfants, elle obtient le divorce de son conjoint, le député Obèye Diop. Suite à son expérience du mariage, Mariama Bâ s'engage pour nombre d'associations féminines en propageant l'éducation et les droits des femmes. À cette fin, elle prononce des discours et publie des articles dans la presse locale. Dès sa publication en 1980, son premier roman en

suite conquise par lui. Il est gentil, passionnel, doux et après quelque fois elle tombe amoreuse de lui. Quelques jours plus tard son père lui annonce que le vicomte lui a demandé sa main et Jeanne accepte sans hésitation. C'est seulement après le mariage que Jeanne a les premières déceptions et commence à voir le vrai caractère du mari. En effet Julien se montre mesquine et avare. Ils retetournes aux Peuples mais la vie de Jeanne est monotone et ennuyante. Julien décide d'abandonner le lit conjugal

André Durand présente “Lettres de deux amants habitants d'une petite ville au pied des Alpes, recueillies et publiées par J.-J. Rousseau” (1761) titre qui devint “Julie ou La nouvelle Héloïse” roman épistolaire de Jean-Jacques ROUSSEAU (544 pages) pour lequel on trouve un résumé puis successivement l’examen de : l’intérêt de l’action (page 6) l’intérêt littéraire (page 7) l’intérêt

Mme de la Fayette. Il y a une analyse psychologique assez précise. C’est un grand roman sentimental -> roman de gare considéré comme un genre mineur jusqu’au 19ème parce que c’était fait pour les femmes. 19ème : Triomphe du roman : prend ses lettres de noblesse avec le début des sciences humaines : exploration personnelle -> romantisme, réalisme, naturalisme. On considéra le romancier comme un témoin de son époque. ← Chateaubriand : René ← Stendal : Le rouge et le noir ; La chartreuse de

Mariana Bâ, Une si longue lettre Mariana Bâ est née en 1929 à Dakar au Sénégal. Elle meurt en 1981, à l’âge de 52 ans dans son pays d’origine. Mariana, orpheline de mère, reçoit donc une éducation par ses grands parents. Encouragée par son père, alors ministre de la santé, elle passe le concours de l’Ecole Normale qu’elle réussit. Diplômée en 1947, elle y enseigne pendant douze ans. Durant toute sa vie, Mariana Bâ aura combattu les castes et la polygamie, ces comportements humains qui

douze ans puis demande sa mutation au sein de l’Inspection régionale de l’enseignement pour raison de santé1. De son premier mariage avec Bassirou Ndiaye elle a trois filles,et du second mariage avec Ablaye Ndiaye une fille,elle obtient le divorce de son trois mari, le député et ministre Obèye Diop.avec qui elle a eu cinq enfants. À la suite de son expérience du mariage, Mariama Bâ s’engage pour nombre d’associations féminines en propageant l’éducation et les droits des femmes1. À cette fin, elle

de l’Heptaméron termine la narration de la première journée. Elle est considérablement plus longue que toutes les autres nouvelles qui la précèdent. En fait, cette nouvelle est la plus longue de cet ouvrage. Sa longueur a été indiquée par Dagoucin qui demande à Parlamente de ne point « crain[dre] à parler longuement » 1 et aussi été soulignée par la devisante Parlamente s’excusant de raconter cette longue histoire. En outre, parmi tous les devisants, Parlamente s’identifie souvent avec Marguerite